Les auteurs de la bible prétendent que le prophète lot -paix sur lui- aurait commis l'adultère avec ses deux filles
Genèse 19, de 17 à 38
Après les avoir fait sortir, l'un d'eux dit: Sauve-toi, pour ta vie; ne regarde pas derrière toi, et ne t'arrête pas dans toute la plaine; sauve-toi vers la montagne, de peur que tu ne périsses.19.18 Lot leur dit: Oh! non, Seigneur!19.19 Voici, j'ai trouvé grâce à tes yeux, et tu as montré la grandeur de ta miséricorde à mon égard, en me conservant la vie; mais je ne puis me sauver à la montagne, avant que le désastre m'atteigne, et je périrai.19.20 Voici, cette ville est assez proche pour que je m'y réfugie, et elle est petite. Oh! que je puisse m'y sauver,... n'est-elle pas petite?... et que mon âme vive!19.21 Et il lui dit: Voici, je t'accorde encore cette grâce, et je ne détruirai pas la ville dont tu parles.19.22 Hâte-toi de t'y réfugier, car je ne puis rien faire jusqu'à ce que tu y sois arrivé. C'est pour cela que l'on a donné à cette ville le nom de Tsoar.19.23 Le soleil se levait sur la terre, lorsque Lot entra dans Tsoar.19.24 Alors l'Éternel fit pleuvoir du ciel sur Sodome et sur Gomorrhe du soufre et du feu, de par l'Éternel.19.25 Il détruisit ces villes, toute la plaine et tous les habitants des villes, et les plantes de la terre.19.26 La femme de Lot regarda en arrière, et elle devint une statue de sel.19.27 Abraham se leva de bon matin, pour aller au lieu où il s'était tenu en présence de l'Éternel.19.28 Il porta ses regards du côté de Sodome et de Gomorrhe, et sur tout le territoire de la plaine; et voici, il vit s'élever de la terre une fumée, comme la fumée d'une fournaise.19.29 Lorsque Dieu détruisit les villes de la plaine, il se souvint d'Abraham; et il fit échapper Lot du milieu du désastre, par lequel il bouleversa les villes où Lot avait établi sa demeure.19.30 Lot quitta Tsoar pour la hauteur, et se fixa sur la montagne, avec ses deux filles, car il craignait de rester à Tsoar. Il habita dans une caverne, lui et ses deux filles.19.31 L'aînée dit à la plus jeune: Notre père est vieux; et il n'y a point d'homme dans la contrée, pour venir vers nous, selon l'usage de tous les pays.19.32 Viens, faisons boire du vin à notre père, et couchons avec lui, afin que nous conservions la race de notre père.19.33 Elles firent donc boire du vin à leur père cette nuit-là; et l'aînée alla coucher avec son père: il ne s'aperçut ni quand elle se coucha, ni quand elle se leva.19.34 Le lendemain, l'aînée dit à la plus jeune: Voici, j'ai couché la nuit dernière avec mon père; faisons-lui boire du vin encore cette nuit, et va coucher avec lui, afin que nous conservions la race de notre père.19.35 Elles firent boire du vin à leur père encore cette nuit-là; et la cadette alla coucher avec lui: il ne s'aperçut ni quand elle se coucha, ni quand elle se leva.19.36 Les deux filles de Lot devinrent enceintes de leur père.19.37 L'aînée enfanta un fils, qu'elle appela du nom de Moab: c'est le père des Moabites, jusqu'à ce jour.19.38 La plus jeune enfanta aussi un fils, qu'elle appela du nom de Ben Ammi: c'est le père des Ammonites, jusqu'à ce jour.
La réponse :
Remarquez le manque de cohérence dans l'enchaînement des faits. Au début, il est indiqué que Lot, ayant peur d'habiter la montagne, choisit de demeurer dans la petite ville de Tsoar. L'auteur de cette histoire le fait ensuite regagner la montagne pour lui faire accomplir le crime de la fornication incestueuse. Ce portrait sordide du prophète Lot fait par la Bible, l'Islam le condamne violemment.Toute cette histoire a été inventée de toute pièce par les théologiens Israélites dans le but de supprimer toute descendance noble en dehors de la leur, c'est-à-dire, la descendante d'Israël (qui est l'autre nom de Jacob). Ceci leur accorde une place privilégiée qui leur vaudra à eux seuls, une Terre Promise.
Sur plusieurs plans, l'authenticité de cette histoire est compromise :
D'abord, cette contradiction entre la crainte d'habiter la montagne citée au début (« mais je ne puis me sauver à la montagne, avant que le désastre m'atteigne, et je périrai ».) et l'exil vers elle (après avoir séjourné à Tsoar paisiblement ), sans aucune raison apparente, à part la volonté des auteurs de lui faire endosser un crime qui ne saurait être l'œuvre d'un prophète de Dieu.
Avant la destruction de Sodome et Gomorrhe, le prophète Lot avait également des fils qui vivaient au même endroit. Ils ont été avertis au même titre que sa femme, ses filles et ses gendres. Le sort des gendres et de la femme est mentionné. Mais alors, où sont passés les fils du prophète Lot ? Cette question n'a pas de réponse dans la version biblique des faits. On est forcé de conclure à l'altération délibérée des évènements (disparition inexpliquée des fils) pour que l'histoire puisse prendre le dénouement (la fornication incestueuse) voulu par les auteurs.
Même si nous reconnaissions le fait que les gendres du prophète Lot n'ont pas cru en lui, comment croire que ses propres filles qui sont nées et ont grandi dans l'aura de la prophétie n'aient pas cru en lui ?
Un mensonge a été attribué aux filles du prophète lorsque l'auteur leur fait déclarer qu'il n'y a point d'homme dans la contrée. En effet, Tsoar est à deux heures de marche de Sodome. (d'après le récit, ils sortirent de Sodome à l'aube pour arriver à Tsoar vers le lever du soleil, voir gen 19.15,19.23). De plus, il est assez improbable qu'elles aient vécu 14 ans à Tsoar sans se marier. Il est également inconcevable qu'on puisse vivre en autarcie dans une grotte sans aucun lien avec l'extérieur.
En ce qui concerne l'acte de la fornication, il peut être démenti à plusieurs titres :
D'abord, un homme qui est arrivé à un degré d'enivrement tel qu'il est incapable de reconnaître ses propres filles, est également incapable d'accomplir un acte sexuel. Et puis, comment le prophète n'a pas interrogé ses filles vierges sur l'origine de leur grossesse? Par ailleurs, en supposant qu'il est eu un acte sexuel avec ses propres filles, les mettant ainsi enceintes, cela aurait dû le couvrir de honte et de déshonneur. Cette suite logique méritait de figurer dans le récit biblique. Or, rien de tout cela n'est mentionné dans la Bible: l'histoire s'arrête seulement à l'avènement de cette soi-disant progéniture : les Moabites et les Ammonites.
Puisque, selon la Bible, les Ammonites et les Moabites sont issus d'une union illicite, on s'attend, d'après la tradition biblique, à ce qu'ils soient maudits. En effet, on peut lire dans le Deutéronome, 23-2 : « Celui qui est issu d'une union illicite n'entrera point dans l'assemblée de l'Éternel; même sa dixième génération n'entrera point dans l'assemblée de l'Éternel. ».
Or, paradoxalement, d'après la Bible toujours, Dieu était tellement satisfait d'eux qu'Il les protégea des Israélites et leur offrit une terre « Ar » avant même la terre promise au peuple Hébreux:
« L'Éternel me dit: N'attaque pas Moab, et ne t'engage pas dans un combat avec lui; car je ne te donnerai rien à posséder dans son pays: c'est aux enfants de Lot que j'ai donné Ar en propriété.» ( Deutéronome 2.9).
Aussi, la mère du prophète David était une Mohabite, alors que chacun sait que David est béni dans la Bible. La même contradiction apparaît aussi en ce qui concerne le prophète Salomon, fils de David, et considéré par la bible comme un roi appartenant à l'assemblée divine.
Comment des personnages que Dieu a glorifié, honoré et béni peuvent-ils être issus d'union illicite ? On peut donc en déduire que les Ammonites et les Moabites ne sont pas issus d'union illicite car Dieu ne saurait se méprendre. La conclusion est évidente, les évènements relatés dans ce récit ne sont que purs mensonges.
Comment les Hébreux peuvent encore prétendre qu'ils sont un peuple élu puisque Dieu leur a préféré un peuple issu d'une union illicite ? Dans cette optique, le dogme de peuple élu tombe à l'eau.
Comment un Dieu juste peut-Il condamner un peuple issu d'union illicite pour une faute commise par ces ancêtres et dont-il n'est pas coupable. Est-ce un traitement juste vis-à-vis d'un innocent ? Quel serait alors le jugement de Dieu vis-à-vis des vrais coupables, des bandits et autres malfaiteurs ? Lisez donc la version biblique de l'histoire du prophète Jacob, qui (selon la bible) usa de ruse contre son frère et son père et lutta contre Dieu et qui le vainc:
« Jacob demeura seul. Alors un homme lutta avec lui jusqu'au lever de l'aurore. Voyant qu'il ne pouvait le vaincre, cet homme le frappa à l'emboîture de la hanche; et l'emboîture de la hanche de Jacob se démit pendant qu'il luttait avec lui. Il (Dieu) dit: Laisse-moi aller, car l'aurore se lève. Et Jacob répondit: Je ne te laisserai point aller, que tu ne m'aies béni. Il lui dit: Quel est ton nom? Et il répondit: Jacob. Il dit encore: ton nom ne sera plus Jacob, mais tu seras appelé Israël; car tu as lutté avec Dieu et avec des hommes, et tu as été vainqueur. » (Genèse 32-24 à 32-28).
Mais quel est l'intérêt de telles altérations ?
Un célèbre théologien et rabin juif converti à l'Islam, Samuel Ben Yahia Al Maghribi, nous indique : « Moïse avait confié les enseignements aux descendants de Aaron. Lorsque vint Saül, il leur ôta les enseignements et en extermina beaucoup parmi eux. Les enseignements furent transmis à David, c'est alors que les Aaroniens ont altéré par différente manœuvre certains passages de la Thorah dans le but de discréditer la lignée de David ".
Pour terminer : la réponse du coran
Lot est parmi les grand prophètes de Dieu ,il a combattu la turpitude de son peuple et le coran témoigne de sa sainteté , cette sainteté que les auteurs de la bible ont souillée par leurs mensonges , Dieu dit à propos de lot :
[21:74] Les prophètes (Al-Anbiya) : Et Lot ! Nous lui avons apporté la capacité de juger et le savoir, et Nous l'avons sauvé de la cité où se commettaient les vices; ces gens étaient vraiment des gens du mal, des pervers.
même le peuple mécréant de sodom témoignait de la pureté du prophète et de sa famille :
[27:56] Les fourmis (An-Naml) :
Puis son peuple n'eut que cette réponse : "Expulsez de votre cité la famille de Lot ! Car ce sont des gens qui affectent la pureté.
http://www.aimer-jesus.com/defense_prophete_lot.php
L'élocution est l'un des grands bienfaits accordés par Allah à l'homme ; par elle Il l'a honoré et l'a distingué de l'ensemble des créatures :
"Le Miséricordieux a fait connaître le Coran. Il a créé l'homme ; Il lui a appris à s'exprimer"
[Sourate 55 - Al-Rahmân - Le Miséricordieux - versets: 1- 4 ].
Ainsi, plus le bienfait est immense, plus son droit est grand, plus le remerciement s'impose pour ce bienfait, plus est blâmable l'ingratitude à son droit. L'Islam a montré comment les gens doivent tirer profit de ce bienfait accordé et comment ils doivent se servir de leurs conversations qui remplissent leurs journées pour le bien recherché et désiré. La plupart des gens ne cessent de parler et leurs langues connaissent rarement le repos. Pourtant, si on recense leurs propos, on découvrira que l'essentiel relève des futilités ou des délires nocifs.
Or, ce n'est pas pour cela qu'Allah a placé les langues dans les bouches et ce n'est pas ainsi qu'on reconnaîtra ce don accordé:
"La plupart de leurs conversations ne comportent rien de bon, sauf la parole de celui qui ordonne une aumône, un bien notoire ou une réconciliation entre les hommes. Nous donnerons bientôt une récompense sans limites à celui qui agit ainsi avec le désir de plaire à Allah" [ Sourate 4 - An-Nissâ' - Les Femmes - verset : 114 ]
L'Islam a accordé un soin particulier à propos des paroles et à la manière de les formuler et de les échanger. Ceci parce que les paroles émanant d'un homme reflètent le degré de son intelligence et la nature de son caractère ; aussi parce que les types de conversations d'un groupe donné déterminent son niveau général et le degré d'enracinement de la vertu dans son milieu.
L'individu doit s'interroger avant de parler à autrui. Y a-t-il quelque chose qui nécessite son intervention ? S'il découvre un motif louable, qu'il parle, sinon il vaut mieux garder le silence. S'abstenir de parler là où ce n'est pas nécessaire est pour lui une forme d'adoration qui rapporte une grande rétribution.
'Abdallâh Ibn Mas'ûd - qu'Allah soit satisfait de lui - a dit : "Par le Dieu Unique! Il n'y rien sur toute l'étendue de la terre qui ait besoin d'être enfermé aussi longuement que la langue !" [ Rapporté par At-Tabarânî ]
De son côté Abdallâh Ibn' Abbâs a dit :
"Il y a 5 choses qui valent mieux que les chevaux pur sang : ne parle pas de ce qui ne te concerne pas, car c'est de l'indiscrétion, en plus tu risques de t'exposer aux pires conséquences ; ne parle pas de ce qui te concerne que lorsque tu en as l'opportunité, car bien des hommes ont parlé inopportunément de ce qui les regarde et ils eurent tort ; ne te mesure ni au magnanime ni au menteur, car le magnanime t'écrase et le menteur te nuira ; parle de ton frère pendant son absence comme tu aimerais qu'il parle de toi et excuse-le de ce que tu aimerais qu'il t'excuse ; agis comme un homme qui estime qu'il recevra des récompenses pour ses bonnes actions et répondra de ses forfaits" [ Rapporté par Ibn Abî Ad-Dunya ]
Le fidèle musulman ne peut agir ainsi que s'il maîtrise sa langue et la domine fermement en la réprimant quand il faut garder le silence et en la contrôlant lorsqu'il veut parler. Quant à ceux qui se laissent mener par leurs langues, elles ne les conduisent qu'à leur perte. Le bavardage produit un tumulte qui fait perdre la raison et le bon sens. Devant ceux qui occupent le devant de la scène dans les réunions pour débiter leurs paroles saccadées, leur auditeur conclut définitivement qu'ils ne tirent pas leurs propos d'une conscience alerte ou d'une pensée profonde. Il en viendrait même à se demander s'il n'y a pas un abîme entre l'entendement et ce flot de paroles débitées !
Du reste, quand l'individu veut rassembler ses idées et revoir ses affaires, il se réfugie dans le silence. Pour faire le point et mettre de l'ordre dans ses idées, il lui arrive même de fuir le tumulte de la ville pour se réfugier dans une campagne silencieuse ou une banlieue calme.
Nul doute, d'ailleurs, que l'Islam recommande le silence et le considère comme un moyen efficace d'une bonne éducation.
Ainsi, parmi les bons conseils donnés par l'Envoyé d'Allah à son Compagnon Abû Dhar :
"Attache-toi au long silence: il chasse le démon et t'aide dans ta Foi" [ Rapporté par Ahmad ]
Assurément, la langue lâchée est une corde molle aux mains du démon qui dispose de son auteur à sa guise. Ainsi, lorsque l'homme ne se maîtrise plus, sa bouche devient une entrée pour les déchets qui corrompent son coeur et multiplient autour de lui les voiles de l'inadvertance et de l'incrédulité. D'autant plus que l'Envoyé d'Allah a dit : " La Foi du serviteur n'atteint la rectitude qui si son coeur devient droit, et son coeur ne devient droit que si sa langue acquière la droiture" [ Rapporté par Ahmad ]
Or, la première étape sur le chemin de cette rectitude consiste pour le fidèle à se laver les mains de ce qui ne le regarde pas et à ne pas s'engager là où on ne lui demande pas: "L'excellence de la Foi de l'individu consiste à laisser de côté ce qui ne le concerne pas" [ Rapporté par At-Tirmidhi ]
Eviter les propos vains fait partie des règles de la réussite et des signes de la perfection. Le Coran munificent l'a mentionné au milieu de deux prescriptions fondamentales de l'Islam, à savoir la prière et l'aumône légale :
"Heureux sont les croyants qui sont humbles dans leurs prières, qui évitent les propos vains,
et qui font l'aumône prescrite" [ Sourate 23 Al-Mu' minûn - Les Croyants - versets: 1- 4 ]
Si le monde entier recensait les propos vains dans les actes et les paroles qui remplissent ses moments d'inaction, il serait stupéfait en découvrant que la plupart des récits publiés, des journaux célèbres et des discours des médias forment un débit ininterrompu de vains propos qui accrochent la vue et attirent l'ouïe sans beaucoup d'utilité. Or, l'Islam abhorre les propos vains parce qu'il répugne les futilités et les bassesses. D'autant que les propos vains, c'est perdre sa vie dans des choses contraires au sérieux et aux activités productrices pour lesquelles l'homme a été créé. C'est pourquoi le degré d'élévation du fidèle musulman auprès d'Allah se mesure en fonction de son éloignement des propos vains.
Anas Ibn Mâlik rapporte ceci : "A la mort d'un musulman, un autre lui a dit, en présence de l'Envoyé d'Allah qui l'a entendu : "Réjouis-toi du Paradis !" L'Envoyé d'Allah a dit à cet homme qui a parlé : "En es-tu sûr ? Peut-être a-t-il parlé de ce qui ne le concerne pas ou a-t-il été avare dans ce qui n'était pas indispensable pour lui". [Rapporté par At-Tirmidhi]
Le radoteur, du fait de la faiblesse du rapport entre sa pensée et son élocution, lâche ses mots inconsidérément. Il lui arrive ainsi de lancer un mot qui cause sa perte ou aliène son avenir. Le proverbe dit du reste: "Plus les propos vains d'un homme sont débités, plus ses erreurs sont multiples".
Un poète dit : "L'homme valeureux meurt des suites d'un écart de son langage Et l'individu ne meurt pas des suites d'un trébuchement du pied". Il est dit aussi dans le hadith :
"Le serviteur lâche un mot et ne le fait que pour amuser l'assistance, pourtant il chute avec ce mot plus loin que la distance entre le ciel et la terre. Et l'individu glisse avec sa langue plus dangereusement qu'en glissant avec ses pieds" [Rapporté par Al-Baïhaqî ]
Aussi, il convient pour l'individu de ne dire que du bien et d'accoutumer sa langue à user des belles paroles. Les belles expressions qui reflètent les sentiments intérieurs de l'âme relèvent de la grande politesse qu'Allah exige des adeptes de toutes les Religions. Ainsi, le Coran indique que les bonnes paroles font partie de la réalité même de l'alliance des fils d'Israël à l'époque de Moussa :
"Nous avons fait alliance avec les fils d'Israël : "vous n'adorez qu'Allah ; soyez bons à l'égard de vos parents, de vos proches, des orphelins et des pauvres. Usez envers les hommes de paroles de bonté; acquittez-vous de la prière; faites l'aumône" [ Sourate 2 Al-Baqara - La Vache - verset : 83 ]
Les bonnes paroles conviennent aussi bien avec les amis qu'avec les ennemis et produisent des fruits agréables. Avec les amis, elles sauvegardent leur affection, maintiennent leur amitié et empêchent les machinations de Satan de briser leur liens et de gâcher leur amitié :
"Dis à Mes serviteurs de prononcer de bonnes paroles. Le démon se glisse entre eux ;
le démon est l'ennemi déclaré de l'homme" [ Sourate 17 Al-Isrâ - verset : 53 ]
Le démon est toujours aux aguets pour piéger les humains ; il veut semer la haine et l'hostilité entre eux et transformer un petit différend en querelle sanglante. Voilà pourquoi il n 'y a que les bonnes paroles qui peuvent lui barrer le chemin. Avec les ennemis, les bonnes paroles atténuent leur dispute et cassent leur emportement ou tout au moins arrêtent l'aggravation du mal et la propagation de ses étincelles malfaisantes :
"L'action bonne n'est pas semblable à la mauvaise. Repousse celle-ci par ce qu'il y a de meilleur: Celui qu'une inimitié séparait de toi deviendra pour toi un ami chaleureux"
[ Sourate 41 Fussilat - Les versets clairement exposés - verset : 34 ]
L'Envoyé d'Allah dit sur la nécessité pour tout le monde de se familiariser et de s'habituer à la bonté du propos : "Vous ne pourrez pas gagner les gens avec vos biens. Tâchez du moins de les gagner par le sourire et le bon caractère " [ Rapporté par Al-Bazzâr ]
D'ailleurs, l'Islam préfère de loin le refus de donner, dit avec politesse, au don fait avec méchanceté et grossièreté :
"Une parole convenable et un pardon sont meilleurs qu'une aumône suivie d'un tort.
Allah se suffit à Lui-même et Il est plein de mansuétude" [ Sourate 2 verset : 263 ]
Les bonnes paroles sont une qualité liée à la pratique du bien et aux formes de bienfaisance qui présente son auteur comme un candidat a l'agrément d'Allah et lui assure les délices inépuisables dans la Vie future. Anas rapporte ceci : "Un homme a demandé au Prophète : Enseigne-moi une action qui me fera entrer au Paradis ! Il lui a dit : Distribue la nourriture, répand la Paix autour de toi et prie la nuit pendant que les gens sont endormis, tu entreras au Paradis en paix" [ Rapporté par Al-Bazzâr ]
De même, Allah a ordonné que notre discussion avec les adeptes des autres religions doit s'inscrire dans ce cadre calme et convenable où il n'y ni violence ni provocation, sauf si un homme unique nous agresse ; dans ce cas on doit l'arrêter dans son emportement et empêcher son agression :
"Ne discutez avec les gens du Livre que de la manière la plus courtoise.
Sauf avec ceux d'entre eux qui sont injustes"
[ Sourate 29 Al- 'Ankabût - l'Araignée - verset : 46 ]
Parmi les gens il y a ceux qui ont un visage impudent et un mauvais caractère, aucune certitude ne peut les retenir contre les gaspillages, et aucune grandeur d'âme ne peut leur imposer les nobles qualités. Ils ne s'embarrassent de scrupules pour dire à autrui ce qu'il n'aime pas et, quand ils trouvent un terrain où ils assouvissent leur nature impulsive et aveugle, ils s 'y lancent tête baissée, dans le cri et la méchanceté. Il ne sied pas à l'homme noble de se quereller avec ce genre d'individus, car provoquer leur impulsivité est en soi une grande corruption et ne pas leur en donner le prétexte est un devoir.
C'est pourquoi le Coran munificent considère comme l'une des qualités propres des serviteurs du Miséricordieux cette attitude protectrice qui consiste à ménager les ignorants :
"Voici quels sont les serviteurs du Miséricordieux: ceux qui marchent humblement sur la terre et qui disent : Paix - aux ignorants qui s'adressent à eux" [Sourate 25 Al-Furqân - La loi - verset: 63 ]
"Quand ils entendent des futilités ils s'en détournent en disant : A nous nos actions, à vous vos actions. Paix sur vous! Nous ne recherchons pas le contact avec les ignorants" [ Sourate 28 Al-Qassas - Le Récit - verset : 55 ]
L'homme, en général, peut réprimer sa colère une ou deux fois avant d'exploser. Or, il est demandé au bon musulman de résister davantage à la provocation pour ne pas permettre au mal d'avoir, en définitive, le dessus dans l'affaire. Sa'îd Ibn al-Musaiyyb rapporte ceci:
"Pendant que l'Envoyé d'Allah était assis au milieu de ses Compagnons , un homme agressa Abû Bakr avec ses paroles, mais Abû Bakr garda le silence. Puis l'homme revint à la charge mais Abû Bakr ne céda pas à la provocation.
Finalement Abû Bakr triompha de cet homme. Au moment où l'Envoyé d'Allah se leva, Abû Bakr lui demanda : me reproches-tu quelque chose, ô Envoyé d'Allah ? Il lui dit : Non. Mais un Ange est descendu du ciel infirmer les propos de cet homme. Quand tu as triomphé de cet homme, l'ange partit et Satan s'installa. Or, je ne peux m'asseoir là où s'installe Satan" [ Rapporté par Abû Dâwud ]
Mais ménager les insolents ne signifie pas accepter la bassesse, car la différence est incommensurable entre les deux états. Dans le premier état il s'agit de se maîtriser face à la provocation et s'interdire, de gré ou de force, de céder à la colère et aux tentations de la revanche. Dans le second état, il s'agit d'une idiotie de l'âme qui s'avilit et s'accommode de ce que ne se permet pas un homme doué de raison et de grandeur d'âme.
Le Coran exprime clairement sa préférence pour le management des effrontés et sa répugnance pour l'acceptation de la bassesse :
"Allah n'aime pas que l'on divulgue des paroles méchantes, à moins qu'on en ait été victime.
Allah est celui qui entend et qui sait. Si vous divulguez le bien ou si vous le cachez,
ou si vous pardonnez le mal, sachez qu'Allah est celui qui efface les péchés et qui est Puissant"
[ Sourate 4 An-Nissâ' - Les Femmes - versets: 148-149 ]
Pour préserver l'échange des paroles et des conversations contre l'impulsivité et les passions, l'Islam a institué, entre autres garde-fous, l'interdiction de la dispute et la circonspection, qu'il s'agisse de dispute fondée ou non. Car il existe des états qui dominent l'âme, lui font miroiter la tentation de s'imposer et de vaincre à n'importe quel prix, et poussent l'individu à provoquer autrui par les paroles et à priser les griefs qui soutiennent sa position et les expressions qui font admettre ses justifications. Ainsi, l'envie de l'emporter devient chez lui plus important que d'exprimer la vérité et de la faire triompher. Voilà comment les caractères d'entêtement et d'égoïsme épousent des formes abjectes, qui ne laissent aucune place à l'explication ou à la sérénité. Or, l'Islam abhorre ces états et les considère comme une menace pour la Foi et la Vertu.
L'Envoyé d'Allah a dit :
" Pour celui qui délaisse la querelle alors que son intervention n'était pas justifiée, on construira une maison en bas du Paradis. Pour celui qui délaisse la querelle alors que son intervention était justifiée, on construira une maison au centre du Paradis. Et pour celui qui a un bon caractère moral, on construira une maison dans les hauteurs du Paradis" [ Rapporté par Abû Dâwud ]
Il y a des gens doués d'une certaine facilité d'élocution qui les incite à accrocher le savant et l'ignorant et rend chez eux la parole comme un désir dominant dont ils ne peuvent se lasser. Quand ce genre d'homme lâche sa volubilité contre les affaires des gens, il ne fait que leur nuire ; et quand il la lance sur les réalités de la Foi, il pervertit leur beauté et déprécie le caractère sacré de la religion. Aussi, l'Islam considère abominable ce type de radoteurs invétérés. En effet, le Prophète a dit :
"L'homme le plus détestable pour Allah est le querelleur invétéré" [ Rapporté par Al-Bukhârî ]
Il a dit également :
"Chaque fois qu'un peuple s'égare après avoir été guidé il s'enfonce dans la dispute" [ Rapporté par At-Tirmidhî ]
Ce type d'homme ne connaît aucune limite au déchaînement de sa langue, il ne veut que parler; il veut uniquement briller par sa parole et s'imposer sans vergogne. Pour lui les mots viennent en premier; le sens vient après. Quand au dessein noble, il occupe éventuellement la dernière position, quand il ne l'élimine pas simplement au milieu de son bavardage sonore.
De nombreux Compagnons rapportent ceci : "Un jour, l'Envoyé d'Allah vint à notre rencontre pendant que nous nous disputions sur une question de la Foi. Il se fâcha terriblement comme on ne l'avait jamais vu auparavant et il nous interpella en ces termes : Attendez ô membres de la Communauté de Muhammad ! Ceux qui ont été avant vous n'ont péri que par cela. Abandonnez la dispute car il n'y a aucun bien, abandonnez la dispute car le croyant ne se dispute pas; abandonnez la dispute, car le comble du péché est que tu restes un de ceux qui se disputent, abandonnez la dispute car je n'intercède pas au Jour de la Résurrection en faveur de celui qui se dispute, abandonnez la dispute car je garantis trois maisons au Paradis - en bas, au centre et dans les hauteurs - pour celui qui délaisse la dispute avec sincérité, abandonnez la dispute, car la première chose que mon Seigneur m'a interdit de pratiquer, après l'adoration des idoles, c'est fa dispute" [ Rapporté par At-Tabarânî ]
Les gens ont habituellement des réunions et des séances où ils échangent leurs conversations. Or, l'Islam déteste les réunions des oisifs qui passent leur temps à scruter les nouvelles et à rechercher les défauts, parce qu'ils disposent d'un surplus d'argent à l'ombre duquel ils se reposent, et parce qu'ils n'ont pas d'autre occupation que celle de s'amuser des affaires des autres.
"Malheur au calomniateur acerbe qui amasse des richesses et qui les compte !
Il pense que ses richesses le rendront immortel ! Non ! Il sera précipité dans l'Enfer"
[ Sourate 104 Al-Humazat - Le Calomniateur- versets : 1- 4 ]
Or, à notre époque, les gens s'assoient de plus en plus nombreux dans les Clubs et les lieux de boissons. C'est là un fléau qui a causé bien des maux à la société, tant ces lieux de réunion sont répandus dans les villes et les villages souvent sans qu'aucune nécessité les justifie.
Il est dit, pourtant, dans le hadith : "Evitez surtout de vous asseoir sur les chemins. Les gens ont dit alors: Ô Envoyé d'Allah ! Nous ne pouvons pas nous passer de nos séances où nous nous rencontrons et parlons.
Il leur a dit : Si vous voulez absolument tenir séance, accordez au chemin son droit. Ils ont dit : Quel est son droit, ô Envoyé d'Allah ?
Il a dit : Détourner le regard, cesser de nuire, répondre à la salutation, ordonner le bien et interdire le mal" [Rapporté par Muslim]
http://www.sajidine.com/rappels/ethique/conversation.htm
Dr Zakir Naik: Pourquoi l'alcool est interdit en... par alwaysmuslim43
L'interdiction de l'alcool dans le Coran
Les prescriptions normatives de la révélation islamique ont introduis dès leur avènement (à partir de 622 J.C.), un changement révolutionnaire dans l'histoire du commerce et de la consommation des boissons alcoolisées. Et malgré quelques controverses doctrinales, les préceptes coraniques auxquelles leur sont associés les hadiths (paroles) du prophète Salalahu alayhi wa salam sont clairs et nets. Si les premiers interpellent, raisonnent et persuadent le croyant de la souillure, la turpitude, l'égarement et l'abomination que représente la consommation du vin, les seconds condamnent non seulement la consommation mais aussi la commercialisation des alcools en général comme haram, illicites, donc interdites.
Passage du Saint Coran sur l’alcool :
Versets 216-219, annoncent : " Ils t'interrogent sur l'alcool et sur le jeu d'argent. Dis : " En l'un comme en l'autre résident un péché grave et certaines utilités pour l'homme, mais dans les deux cas, le péché l'emporte sur l'utilité".
sourate IV, verset 43 : " Vous qui croyez, n'approchez la prière ni en état d'ivresse, avant de savoir ce que vous dites, ni en état d'impureté ..."
[90] " Vous qui croyez, l'alcool, le jeu d'argent, les bétyles, les flèches (divinatoires) ne sont que souillure machinée de Satan... Écartez-vous en, dans l'espoir d'être des triomphants ". [91] " Satan ne veut qu'embusquer parmi vous la haine et l'exécration sous forme d'alcool et de jeux d'argent, vous empêcher de rappeler Dieu et de prier. N'allez-vous pas en finir ?" .
L'alcool est interdit dans les hadiths
Le Prophète Mohammed (paix sur lui) a dit:
a) Dans Sounan Ibn-Majah, Volume 3, Livre des Intoxicants, Chapitre 30, Hadith No. 3371:
"L'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux."
b) Dans Sounan Ibn-Majah, Volume 3, Livre des Intoxicants, Chapitre 30, Hadith No. 3392:
"Tout ce qui peut intoxiquer en grande quantité est interdit en petite quantité."
Il n'y a donc aucune excuse pour un "petit verre".
c) Non seulement ceux qui boivent de l'alcool sont-ils maudits, ceux qui traitent avec de façon directe ou indirecte sont également maudits par Allah. Dans Sounan Ibn-Majah, Volume 3, Livre des Intoxicants, Chapitre 30, Hadith No. 3380:
Anas (qu'Allah soit satisfait de lui) rapporte que le Prophète Mohammed (paix sur lui) a dit: Allah a maudit dix personnes qui traitent avec l'alcool. Celui qui le distille, celui pour qui il est distillé, celui qui le boit, celui qui le transporte, celui chez qui il est transporté, celui qui le sert, celui qui le vend, celui qui profite de l'argent obtenu par sa vente, celui qui l'achète pour lui-même et celui qui l'achète pour quelqu'un d'autre."
Les effets psychotropes.
L'alcool est un produit qui stimule initialement l'individu, et qui ensuite le calme ou l'endort. Il est également désinhibiteur, c'est à dire favorisant l'échange avec les autres, mais aussi "les passages à l'acte" (violences, agressions). L'usage chronique d'alcool aboutit à un état dépressif si tant est que celui çi n'était pas déjà préexistant.
L'alcool est classé parmi les drogues. La dépendance psychique est relativement modeste, l'impression de dépendance psychique est surtout sous-tendue par l'amélioration passagère de l'état mentale lors de la prise d'alcool. La dépendance physique est très importante. En effet, l'état de manque ou le sevrage alcoolique engendre des tremblements, des confusions mentales (prédélirium ou délirium tremens) qui, sans soins, peuvent aller jusqu'au décès. Lors de ces états, la personne tremble, transpire, a souvent des hallucinations à type d'animaux (rats, araignées, reptiles). Cet état est une urgence médicale.
Les autres effets sur le cerveau et les nerfs.
L'alcool a comme autre particularité de détruire les neurones soit directement lors de l'absorption de doses massives, soit en empêchant l'absorption digestive des vitamines B. Les neurones ayant absolument besoin de ces vitamines pour vivre, il y a mort neuronale.
Cette mort neuronale se traduit par trois grands types de symptômes:
-des troubles définitifs de l'équilibre, la personne reste "ébrieuse " à vie du fait de lésions situées au niveau du cervelet (ataxie) et des nerfs périphériques (polynévrite).
-des troubles de la mémoire des faits immédiats, la personne devient définitivement incapable de mémoriser les faits récents, tout en gardant intact les faits anciens. Cela est dû à des lésions de la région hippocampique du cerveau.
-des troubles démentiels plus généraux, liés à des atteintes moins localisées du cortex.
Les effets sur le foie.
L'alcool induit trois types d'effets sur le foie: l'hépatite, la stéatose, la cirrhose.
-l'hépatite traduit la destruction des cellules du foie ,ou hépatocytes. (Voir article) Contrairement à l'idée reçue, l'hépatite n'est pas une pré-cirrhose et le dosage des enzymes signifiant la destruction cellulaire (transaminases ou TGO-TGP STGO STGP) est un très mauvais critère de suivi de cirrhose. En générale, une hépatite est réversible à l'arrêt de l'intoxication.
-la stéatose correspond à un dépôt de graisses dans le foie. Ces graisses sont des triglycérides. On les retrouve dans le sang à des taux anormalement élevés chez les consommateurs excessifs d'alcool, mais aussi de sucres rapides ou lents (féculents). Le dépôt de triglycérides disparaît difficilement après un régime sévère et l'arrêt de l'alcoolisation.
La stéatose se traduit pas un gros foie mou et sensible.
-la cirrhose est un dépôt de protéines dans le foie. Ce dépôt n'est pas réversible. Le foie devient dur, pierreux, rempli de nodules. La cirrhose peut évoluer l'insuffisance hépatique (jaunisse, hémorragies) ou vers le cancer du foie.
Les effets sur le pancréas.
La prise d'alcool engendre des inflammations pancréatiques (pancréatites) et des destructions pancréatiques. Les conséquences en sont des insuffisances des fonctions digestives (diarrhées chroniques), des cancers du pancréas, et du diabète puisque le pancréas régule le taux de sucre.
Les effets sur l'estomac.
Les effets classiques sont des reflux oesophagiens et des inflammations des muqueuses. Cette inflammation des muqueuses est à l'origine de la malabsorption de certaines vitamines, et donc indirectement des troubles neurologiques.
Le consommateur se plaint de reflux alimentaires le matin et de brûlures digestives.
Les effets sexuels.
L'alcoolisation chronique s'accompagne régulièrement mais pas systématiquement d'une impuissance chez l'homme et d'une disparition des cycles menstruels chez la femme. Ces états correspondent déjà à une altération conséquente de l'état général.
Les effets sur les vaisseaux et le coeur.
L'effet le plus classique est la réduction de l'artérite. Cet effet bénéfique est un peu controversé car peut être dû aux folâtes qui sont des molécules présentent dans beaucoup de boissons alcoolisées.
L'hypertension artérielle est assez régulièrement constatée, L'alcool est considéré comme étant la première cause d'hypertension artérielle en France.
Sur le système veineux, les boissons alcoolisées aggravent les douleurs veineuses et les problèmes hémorroïdaires.
Enfin, on constate chez les grands alcooliques une atteinte du muscle cardiaque pouvant aller jusqu'à l'insuffisance cardiaque et la mort. Les palpitations favorisées par la prise de certaines boissons alcoolisées sont un moindre mal.
Les effets cancérigènes.
Ils sont souvent favorisés par la prise concomitante de tabac. Les cancers les plus fréquents sont, outre le cancer du pancréas déjà cité, les cancers de la langue, de la gorge (larynx, cordes vocales) et les cancers de l'oesophage.
Les effets sur la moelle osseuse.
L'alcool a un effet délétère sur le développement des globules rouges et des globules blancs. Cet effet est direct, toxique, ou indirect, carences vitaminiques. Son expression la plus connue est le VGM (volume globulaire moyen), augmenté chez les alcooliques (et les fumeurs), et qui sert de test de surveillance pour les alcooliques chroniques.
La liste n'est pas exhaustive. Ces symptômes ne touchent pas tout le monde mais il est bien rare qu'un consommateur régulier ne souffre pas d'un petit quelque chose. Accessoirement cela donne une idée des effets toxiques que l'on peut répertorier sur un produit lorsqu'il est bien référencé. Lorsque l'on sait qu'au décours de la prohibition aux USA, les gens qui souhaitaient revoir légaliser la vente d'alcool trouvaient des médecins pour dire que les effets nocifs de l'alcool étaient liés uniquement liés à sa mauvaise qualité, on est en droit de demander une évaluation et une information un peu plus sérieuse pour des produits actuellement illicites et qui pourraient devenir autorisés.
http://lejardindessoeurs.over-blog.com/article-6911443.html
http://www.medecine-et-sante.com/maladiesexplications/alcoolorganisme.html
Pendant une grande partie du 20e siècle, les scientifiques de renom ont théorisé que les cellules du cerveau ne se divisaient pas comme les autres cellules du corps. L’on comprenait généralement que les neurones ne pouvaient plus s’ajouter au cerveau après la petite enfance. Un partisan respecté de cette théorie était Pasko Rakic, président du service de neurobiologie de l’université de Yale, dont les recherches effectuées au début des années 80 avaient conclu qu’aucun nouveau neurone ne se formait dans les cerveaux de primates adultes.
Cependant, à la lumière de récentes recherches, de nombreux neuroscientifiques (y compris Rakic) ont changé d’avis.
En étudiant les effets nuisibles du stress chronique sur les cerveaux de rats et de primates, Elizabeth Gould, professeur de psychologie à l’université Princeton, a observé des signes inexplicables de la capacité du cerveau à se soigner lui-même en créant de nouveaux neurones – processus que l’on appelle neurogenèse.
Gould a démontré que les mécanismes du cerveau sont affectés par son environnement. Jonah Lehrer, soulignant le travail de Gould dans un article pour le numéro de février-mars 2006 du magazine Seed intitulé « The Reinvention of the Self » (la réinvention du soi), utilise le terme « conditions environ-mentales. » Il décrit les découvertes de Gould comme suit : « La structure de notre cerveau, des détails de nos dendrites à la densité de notre hippocampe, est formidablement influencée par notre environnement. Mettez un primate dans des conditions stressantes et son cerveau commence à dépérir. Il arrête de créer de nouvelles cellules. Les cellules qu’il a déjà se replient sur elles-mêmes. L’esprit est défiguré. »
Si la structure du cerveau est endommagée par des conditions « environ-mentales » stressantes ou négatives, ses fonctions peuvent-elles être soulagées, voire guéries, par des force « environ-mentales » positives ? Comme Lehrer le souligne, les implications sociales de cette étude de pointe sur la neurogenèse sont énormes.
La bonne compagnie, le choix des bons compagnons est extrêmement important .Le prophète (Prières et bénédictions d’Allah sur lui) a expliqué la question de la fréquentation, pour que rien ne soit laissé dans le doute ou la confusion, quand il a dit : « l’homme a la religion de son khalil (ami proche), prenez garde de bien choisir vos amis. » [Abou Dawoud et At-Tirmidhi]
Ainsi, le rapport entre les croyants est basé sur la foi et la fraternité sincère. Prenez garde de prendre un compagnon si cette camaraderie est basée sur autre que cela, car si vous deviez le faire, vous mordriez alors vos mains dans le chagrin. De même que les injustes mordront leurs mains dans le chagrin le jour dernier. « Le jour où l’injuste se mordra les deux mains et dira : « [Hélas pour moi] Si seulement j’avais suivi le chemin avec le messager ! Malheur à moi ! Hélas ! Si seulement je n’avais pas pris « un tel » pour ami ! Il m’a, en effet, égaré du rappel [le Quran], après qu’il me soit parvenu. » [25:27]
Ne sommes-nous pas en train de découvrir que nous pouvons littéralement changer nos esprits ? La neuroscience tombera peut-être sur certaines vérités spirituelles ; la puissance positive de l’amour et de la bienveillance que Dieu le Créateur a souhaité que nous connaissions et illustrions pourrait bien régénérer le cerveau humain.
Il faut également prendre en considération que les Écritures religieuses sont remplies d’appels pour que des personnes se repentent de leurs attitudes et actions néfastes. Est-ce que les personnes repentantes profitent à la fois des bienfaits physiques et spirituels en changeant leurs modes de vie ?
Il semble que ce soit le message adressé par Allah:
"Et repentez-vous tous devant Allah, ô croyants!, afin que vous récoltiez le succès." Coran,S24:V31.
Le succès ultime est donc fonction du repentir comme l'effet est fonction de la cause. Personne ne peut espérer le succès en dehors de Tawbah. Allah Exalté soit-Il dit:
"Et quiconque ne se repent pas, les-voilà les injustes." Coran,S49:V11.
http://www.fondation-vision.ch/visionmedia/article.aspx?id=1896
http://www.islamhouse.com/p/151282
Coran sourate 065 le divorce ( At-Talaq ) qassim... par tiss38
D’après la lecture du Coran nous apprenons que Dieu n’est pas en faveur des divorces et en fait encourage la continuation du mariage. Dieu a imposé des interdictions sur certaines catégories en mariage. Cependant pour ceux qui ont eut connaissance de ces interdictions après cela ont été commandé de ne pas rompre des mariages existants – voir 4 : 22 – 23.
L’on doit recourir au divorce seulement dans des circonstances exceptionnelles. Les lois ayant un rapport avec le divorce ainsi que les versets correspondants d’après le Coran sont donnés ci-dessous :
Nommé un médiateur
[4 : 35] « Si un couple craint la séparation, vous devrez nommer un médiateur de la famille de l’homme et un médiateur de la famille de la femme ; s’ils décident de se réconcilier, Dieu aidera à les réunir. Dieu est Omniscient, Connaissant. »
Attendre 4 mois pour s’apaiser avant le divorce
[2 : 226 – 227] « Ceux qui ont l’intention de divorcer de leurs femmes devront attendre quatre mois (pour se calmer) ; s’ils changent d’avis et se réconcilient, Dieu est le Pardonneur, le Plus Miséricordieux. S’ils vont jusqu’au divorce, alors Dieu est l’Entendeur, le Connaisseur. »
Si le couple séparé choisit la rupture ils doivent le faire équitablement. Il doit y avoir deux témoins équitables qui témoignent le divorce devant Dieu.
[65 : 2] « Une fois que l’intérim est accompli, vous pouvez vous réconcilier avec elles équitablement, ou aller vers la séparation équitablement. Vous devrez avoir deux témoins équitables qui témoignent du divorce devant Dieu. Ceci afin d’éclairer ceux qui croient en Dieu et au Jour Dernier. Quiconque révère Dieu, Il créera une issue pour lui. »
La femme divorcée doit observer une période d’intérim
[2 : 228] « Les femmes divorcées devront attendre trois menstruations (avant de marier un autre homme). Il n’est pas légitime pour elle de dissimuler ce que Dieu a créé dans leur utérus, si elles croient en Dieu et au Jour Dernier. (En cas de grossesse,) les souhaits du mari devront supplanter les souhaits de la femme, s’il veut la remarier. Les femmes ont des droits, aussi bien que des obligations, équitablement. Ainsi, les souhaits de l’homme prévalent (en cas de grossesse). Dieu est Tout-Puissant, le Plus Sage. »
[65 : 4 – 5] « Quant aux femmes qui ont atteint la ménopause, si vous avez des doutes leur intérim devra être de trois mois. Quant à celles qui n’ont pas de menstruations, et découvrent qu’elles sont enceintes, leur intérim s’achève en donnant naissance. Quiconque révère Dieu, Il fait toute chose facile pour lui. Ceci est le commandement de Dieu qu’Il vous envoie. Quiconque révère Dieu. Il rachète ses péchés, et le récompensera généreusement. »
Exception pour l’observation de la période d’intérim
[33 : 49] « O vous qui croyez, si vous avez marié des femmes croyantes, puis avez divorcé d’elle avant d’avoir de relations sexuelles avec elles, elles ne doivent pas de période d’attente (avant de marier un autre homme). Vous devrez les compenser équitablement, et les laisser partir amicalement. »
Après l’accomplissement de l’intérim les femmes divorcées sont libres de faire ce qu’elles veulent.
Bien le verset suivant est dans un contexte de veuvage, il apparaît qu’il est applicable aux divorcées aussi.
Vous devrez observez les intérims prénuptiales
[2 : 234] « Ceux qui meurent et laissent des épouses, leurs veuves devront attendre quatre mois et dix jours (avant qu’elles ne se remarient). Une fois qu’elles accomplissent leur intérim, vous ne commettez pas d’erreur en les laissant faire toutes les choses justes qu’elles désirent faire. Dieu est pleinement Connaissant de tout ce que vous faîtes. »
[2 : 235] « Vous ne commettez pas de péché en annonçant vos fiançailles aux femmes, ou en le gardant secrètes. Dieu sait ce que vous pensez à leur sujet. Ne les rencontrez pas secrètement, à moins que vous ayez quelque chose de droit à discuter. Ne consommez pas le mariage jusqu’à que ce leur intérim soit accompli. Vous devriez savoir que Dieu connaît vos pensées les plus secrètes, et observer-Le. Vous devriez savoir que Dieu est Pardonneur, Clément. »
Les femmes divorcées doivent être approvisionnées.
Ceci est certainement une des lois le plus abusées dans le Coran. Mais Dieu nous tient responsable pour nos pensées les plus profondes. Si quelqu’un observe les lois de Dieu alors Dieu lui (il ou elle) rend cela facile.
[65 : 7] « Le riche mari devra fournir un soutien en concordance avec ses moyens, et le pauvre devra fournir selon les moyens que Dieu lui a accordé. Dieu n’impose pas à une âme plus qu’Il ne lui a donné. Dieu fournira la facilité après la difficulté. »
La pension alimentaire pour les veuves et les divorcées
[2 : 240] « Ceux qui meurent et laissent des épouses, un testament devra fournir à leurs femmes le soutien d’une année, à condition qu’elles restent au sein du même foyer. Si elles partent, vous ne commettez pas d’erreur en les laissant faire tout ce qu’elles désirent, aussi longtemps que la droiture est maintenue. Dieu est Tout-Puissant, le Plus Sage. »
[2 : 241] « Les divorcées aussi devront être équitablement approvisionnées. Ceci est une obligation sur les justes. »
Compensation quand le mariage n’est pas consumé
Rompre les fiançailles
[2 : 236] « Vous ne commettez pas d’erreur en divorçant des femmes avant de les toucher, ou avant de donner leur dotes. Dans ce cas, vous devrez les compenser – le riche comme il peut se le permettre et le pauvre comme il peut se le permettre – une compensation équitable. Ceci est une obligation sur les justes. »
[2 : 237] « Si vous divorcez d’elle avant de les toucher, mais après que vous ayez donné leur dote, la compensation devra être de la moitié de la dote, à moins qu’elles abandonnent volontairement leurs droits, ou que le parti responsable de provoquer le divorce, choisit d’abandonner la dote. Abandonner est plus proche de la droiture. Vous devrez maintenir les relations amicales parmi vous. Dieu est voyant de tout ce que vous faîtes. »
Les femmes divorcées ont le droit de rester dans la même maison où elle séjournait avant le divorce
Ne jeter pas les divorcées dans la rue
[2 : 231] « Si vous divorcez des femmes, une fois qu’elles accomplissent leur intérim (trois menstruations), vous devrez leur permettre de vivre dans la même maison amicalement, ou les laisser partir amicalement. Ne les forcer pas à rester contre leur volonté, par vengeance. Celui qui fait ceci trompe son âme. Ne prenez pas les révélations de Dieu en vain. Souvenez-vous des bénédictions de Dieu sur vous, et qu’Il vous descendit l’écriture sainte et la sagesse pour vous éclairer. Vous devrez observer Dieu, et savoir que Dieu est conscient de toute choses. »
[65 : 6] « Vous devrez leur permettre de vivre dans la même maison où elles vécurent avec vous, et ne pas leur faire la vie trop misérable, pour qu’elles partent d’elles-mêmes. Si elles sont enceintes, vous devrez les entretenir jusqu’à ce qu’elles donnent naissance. Si elles nourrissent l’enfant, vous devrez les payer pour ce service. Vous devrez maintenir des relations amicales entre vous. Si vous n’êtes pas d’accord, vous pouvez engager une autre femme pour nourrir l’enfant. »
Le divorce peut être rétracté deux fois
En d’autres termes, si le couple souhaite se réconcilier après le premier divorce et souhaite être mari et femme à nouveau, ils peuvent se remarier. C’est seulement permit pour deux divorces. Si le couple divorce la troisième fois ils doivent observer le commandement de Dieu en 2 : 230 (cité ci-dessous). Dieu ne facile pas le divorce pour le couple. Cette loi sert de dissuasion pour ceux qui veulent un divorce pour la troisième fois et feront très attention avant de franchir cette étape.
[2 : 229] « Le divorce peut être rétracté deux fois. La femme divorcée aura le droit de vivre amicalement dans la même maison, ou la quitter amicalement. Il n’est pas légitime pour le mari de reprendre quelque chose qu’il lui avait donné. Cependant, le couple peut craindre qu’ils puissent transgresser la loi de Dieu, ils ne commettent pas d’erreur si la femme redonne volontairement tout ce qu’elle choisit. Ce sont les lois de Dieu ; ne les transgressez pas. Ceux qui transgressent les lois de Dieu sont les injustes. »
[2 : 232] « Si vous divorcez des femmes, une fois qu’elles accomplissent leur intérim, ne les empêcher pas de remarier leurs maris, s’ils se réconcilient amicalement. Ceci devra être pris en compte par ceux parmi vous qui croient en Dieu et au Jour Dernier. Ceci est plus pur pour vous, et plus juste. Dieu sait alors que vous ne savez pas. »
[2 : 230] « S’il divorce d’elle (pour la troisième fois), il est illégitime pour lui de la remarier, à moins qu’elle se marie à un autre homme, puis il divorce d’elle. Le premier mari peut alors la remarier, aussi longtemps qu’ils observent les lois de Dieu. Ce sont lois de Dieu ; Il les explique pour les gens qui savent. »
À noter également les mots « Il n’est pas légitime pour le mari de reprendre quelque chose qu’il lui avait donné. » en 2 : 229.
Dans le cas où il y a un bébé pendant l’intérim.
Si durant l’observation de la période d’intérim l’on découvre que la femme divorcée est enceinte alors comme il est déclaré en 65 : 4 l’intérim prend fin à l’accouchement. Dieu a décrété la loi suivante en ce qui concerne l’enfant.
[2 : 233] « Les mères divorcées devront nourrir leurs nouveau-nés deux années entières, si le père le souhaite. Le père devra fournir équitablement la nourriture et l’habillement. Personne ne devra être chargé au-delà de ses capacités. À aucune mère, il ne devra être fait de tort à cause de son nouveau-né, et à aucun père, il ne devra être fait de tort à cause de son nouveau-né. (Si le père meurt), son héritier devra assumer ces responsabilités. Si les parents du nouveau-né se sont mis mutuellement d’accord pour se séparer, après dues consultations, ils ne commettent pas d’erreur en le faisant. Vous ne commettez pas d’erreur en louant les services de nourrices, aussi longtemps que vous les payez équitablement. Vous devrez observer Dieu, et savoir que Dieu est Voyant de tout ce que vous faîtes. »
Sous quelle condition une femme peut divorcer de son mari ?
Quel que soit le parti qui choisit le divorce il faut obéir aux lois susmentionnées. Normalement le divorce est mutuellement décidé par le couple. Si les lois susmentionnées sont observées, il pourrait y avoir une situation où un des époux peut ne pas donner son consentement mais si les médiateurs des deux familles décident que le divorce est la meilleure solution pour le couple séparé alors ils pourront, néanmoins aller jusqu’au divorce. Les lois du divorce sont applicables à la fois pour l’homme et pour la femme (4 : 34 et 2 : 237 indique ceci) à part qu ‘il y a certaines lois additionnelles que les femmes divorcées doivent observées.
Ce qui suit semble être les seules conditions où les femmes croyantes quittent leurs maris sans observer les lois ci-dessus. En fait, je pense que dans ces cas un divorce même formel n’est pas demandé dans le Coran. Cependant si la loi du pays demande un divorce formel alors l’on doit faire de même.
En cas de guerre
[60 : 10] « O vous qui croyez, lorsque des femmes croyantes (abandonnent l’ennemi) et vous demandent l’asile, vous devrez les tester. Dieu est pleinement conscient de leur croyance. Une fois que vous avez établi qu’elles sont croyantes, vous ne devrez pas les renvoyer chez les mécréants. Il n’est pas légitime pour elles de rester mariées avec eux, les mécréants ne devront pas être autorisés à les marier non plus. Redonnez la dote que les mécréants ont payé. Vous ne commettez pas d’erreur en les mariant, aussi longtemps que vous leur payez leurs dotes dues. Ne gardez pas les femmes mécréantes (si elles souhaitent joindre l’ennemi). Vous pouvez leur demander la dote que vous aviez payé, et elles peuvent vous demander ce qu’elles ont payé. Ceci est le décret de Dieu ; Il décrète parmi vous. Dieu est Omniscient, le Plus Sage. »
http://quran.al-shia.org/fr/ejtema/36.htm
Que tu te Maries ou que tu Divorces, Fais-le... par Bobby-Gold
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1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité