"La disparition du racisme, comme c'est le cas chez les Musulmans, est une des réussites les plus marquantes de l'Islam et il y a dans le monde contemporain, une urgente nécessité à propager cette vertu islamique..."
A.J. Toynbee "Civilization on Trial", New York, 1948, p. 205.
La fête chrétienne de Pâques trouve ses racines dans la fête juive de la Pâque. La Pâque juive (Pessah en hébreu) a pour origine une fête des bergers nomades (la Pâque sacrifice de printemps) et une fête agricole (la fête des Azymes ou des pains sans levain). Elle commémore la libération du peuple juif de l’esclavage qu’il subissait en Égypte. Le mot Pessah signifie "passage". Il désigne le passage de Yahweh qui frappa les maisons des égyptiens et épargna les israélites et il commémore le passage de la mer Rouge.
Elle commence au soir du 14 Nissan, dernier jour avant la pleine lune qui suit l’équinoxe de printemps et dure 8 jours du 15 au 22 Nissan qui est le premier mois de l’année selon la Bible. Selon le rituel au temps de Jésus, le repas pascal (Seder) était préparé à la fin de l’après-midi du 14 Nissan. On ne pouvait consommer du pain fermenté pendant les 7 jours qui suivaient. La Pâque se célèbre par un repas pris en famille (Seder) et un caractère public qui est le sacrifice des agneaux fait par les prêtres au Temple.
Signalons qu’on emploi le singulier pour la Pâque juive et le pluriel pour la Pâques chrétienne.
La fête de Pâques est fixée le premier dimanche après le 21 Mars. Cette fête est tout à la fois une célébration religieuse et une fête du printemps et du renouveau. A cette occasion, il est traditionnel de se réunir en famille autour d'un bon repas et d'organiser une chasse aux oeufs pour les enfants.
C'est également une période où l'on envoie de jolies cartes à ses proches, pour leur souhaiter de Joyeuses Pâques. Nous vous proposons à cet effet des modèles de textes pour vos voeux de Pâques.
La signification religieuse de Pâques
La fête de Pâques est une journée de réjouissances pour les Chrétiens, car elle commémore la résurrection du Christ. Le mot "Pâques" vient de "Pessa'h", mot qui désigne la Pâque juive qui célèbre la sortie des Israélites d'Égypte. En effet, la passion du Christ a eu lieu durant les fêtes de Pessa'h, que Jésus célébrait alors en tant que Juif. Certains symboles sont d'ailleurs communs aux deux fêtes, comme l'agneau pascal, le pain sans levain et l'oeuf.
Traditionnellement, cette période est favorable aux baptêmes. L'Église considère également que les Chrétiens doivent communier au moins une fois dans l'année, au moment de Pâques. D'où l'expression "faire ses pâques", qui signifie se confesser et communier durant la période pascale.
La date de la fête de Pâques n’est pas fixée par le calendrier civil. Elle est fixée par les autorités ecclésiastiques. Selon des règles établis au IV° siècle, par le concile de Nicée en 325, on célèbre Pâques le dimanche qui suit la pleine lune de printemps. L’équinoxe de printemps étant le 21 mars, Pâques est au plus tôt le 22 mars et au plus tard le 25 avril. Cependant à cause de la réforme du calendrier, les chrétiens d’Orient ne célèbrent pas Pâques à la même date que les chrétiens d’Occident, car ils ont gardé le calendrier Julien. Les chrétiens d’Occident (catholique, anglican, protestant...) ont adopté la réforme du calendrier promulguée par le pape Grégoire en 1582 (calendrier grégorien). Ils ont la même date de la fête de Pâques.
Les traditions de PâquesL'oeuf, symbole de vie
Bien avant l'ère chrétienne, l'œuf était déjà chargé de sens et la coutume de s'offrir des œufs au printemps est donc antérieure à la fête de Pâques. L'œuf symbolise en effet la promesse de la vie et a donc toujours été considéré comme un présent de bon augure. Lorsque l'œuf a été associé à la fête de Pâques, le rapprochement était évident entre la promesse de vie que représente l'œuf et la résurrection du Christ. Par ailleurs la belle forme de l'œuf en fait un symbole de perfection.
La tradition d'offrir des œufs à Pâques vient également de l’interdiction de manger des œufs pendant la durée du carême. Les œufs pondus pendant cette période étaient alors conservés après cuisson et décorés pour être offerts le jour de Pâques. Autrefois, à une époque où le chocolat était encore une denrée rare, c'était un régal d'œufs durs qui était offert aux enfants le jour de Pâques.
Lièvres et les cloches de Pâques
De nos jours, on offre plus facilement un œuf en chocolat qu'un œuf décoré, pour le plus grand plaisir des enfants et des gourmands. Les friandises en chocolat peuvent également prendre la forme de cloches et de lapins. La légende dit en effet que le dimanche de Pâques les cloches des églises, restées muettes depuis le jeudi saint, reviennent de Rome où elles s'étaient rendues en pèlerinage et déversent sur les jardins des friandises en chocolat. On dit également, en Allemagne et en Alsace, que ce sont les lièvres qui apportent ces friandises et les cachent dans le jardin. Les enfants fabriquent de jolis nids garnis de mousse qu'ils installent dans le jardin la veille de Pâques afin d'inciter les lièvres de Pâques à les remplir d'œufs.
Chasse aux œufs pour les enfants
Si vous avez dans votre entourage des enfants, préparez-leur dans votre jardin ou dans votre appartement une chasse aux œufs. Vous aurez pris soin de cacher les friandises la veille de Pâques, de façon à pouvoir leur mettre en main un petit panier au saut du lit. Pour une chasse aux œufs réussie, pensez à multiplier les friandises de petit format, de façon à rendre la recherche plus intéressante et plus longue. Et pour une fois, autorisez les enfants à manger du chocolat au petit déjeuner, ils en seront ravis !
Table de Pâques
Le repas de Pâques réunit généralement la famille pour un repas exceptionnel. Pour le décor de la table, une ambiance printanière est facile à réaliser avec du matériel naturel : jeunes branchages, premières fleurs, mousse.... On peut y ajouter des symboles de Pâques, avec des oeufs de poule vidés et peints, des bougies en forme de poule ou de cloche, des petits nids de branchages remplis d'oeufs en sucre.
Pour votre dessert, nous vous proposons d'opter pour un gâteau que les Orthodoxes préparent pour Pâques, léger et délicieux, que l'on appelle Paskha et dont voici la recette .
Agneau pascal
Le repas traditionnel de Pâques fait toujours la part belle à l'agneau, que l'on mange généralement sous la forme d'un superbe gigot accompagné de haricots blancs. Le gigot d'agneau peut se cuisiner de diverses manières : en croûte de sel, rôti dans un jus de thym ou de romarin... Vous découvrirez nos recettes dans l'article sur le choix et la cuisson de l'agneau. Ce n'est pas un hasard si l'agneau est la viande par excellence du menu de Pâques, car l'agneau, par son innocence et son obéissance, rappelle le sacrifice du Christ. Par ailleurs, c'est à cette saison que l'agneau est disponible et savoureux. Le fin du fin étant l'agneau de pré salé, à la saveur inimitable.
http://www.lemagfemmes.com/Religion-chretienne/Joyeuses-Paques.html
http://cybercure.fr/les-fetes-de-l-eglise/careme-paques/semaine-sainte-veillee-pascale/article/origine-histoire-date-de-la-fete
Si l’on sait précisément en quoi il est utile que notre cœur batte ou quels avantages nous procure la respiration, le rôle du sommeil reste bien plus difficile à définir. Évidemment, on l’associe à la récupération, mais également au renforcement de la mémoire de la journée ainsi qu’à la régulation du métabolisme du système immunitaire. Mais planent autour encore de nombreuses inconnues, notamment sur les mécanismes spécifiquement impliqués.
Pourtant, à n’en pas douter, sa fonction est cruciale. Car des insectes aux mammifères, en n'oubliant pas les autres espèces animales, tout le monde ou presque dort . Les Hommes passent entre un quart et un tiers de leur vie à se reposer. Ce temps de repos ne permet pas d'amasser des ressources alimentaires ou de se reproduire, et expose les animaux à leurs prédateurs. Pourquoi y consacrer toutes ces heures s’il n’y a pas d’utilité biologique derrière ?
Une première réponse concrète vient d’être apportée par des chercheurs new-yorkais de l’université Cornell, sous l'égide de Maiken Nedergaard. Leur spécialité : la façon dont le cerveau se débarrasse de ses déchets. Dans la science , ils viennent de montrer que la mécanique se met en place durant le sommeil. Des résultats importants qui pourraient avoir des répercussions sur le traitement de la maladie d’Alzheimer.
Le système glymphatique, laveur de cerveaux
Pour bien comprendre, il faut reprendre l’histoire depuis le début. Le cerveau étant un organe fondamental, il se trouve bien protégé et isolé du reste du corps par une barrière quasi imperméable, la barrière hématoencéphalique, évitant ainsi l’intrusion de toxines ou de pathogènes. De ce fait, à la différence du reste de l’organisme qui évacue ses déchets par le système lymphatique, on pensait que l’encéphale devait systématiquement recycler tout le matériel cellulaire.
Cette idée a été mise à mal dernièrement par cette même équipe de scientifiques, d’abord dans Science Translational Medicine en août 2012, puis en juillet dernier dans Science. Sur des souris, ils ont mis en évidence un réseau de canaux microscopiques dans le cerveau, équivalent au système lymphatique, qu’ils ont baptisé glymphatique, du fait de l’intervention des cellules gliales, qui soutiennent les neurones. Cette fois pas de lymphe, mais du liquide céphalorachidien (LCR), qui récolte les déchets amoncelés qui finissent, en passant par des pores bien calibrés, par être dégradés dans le foie.
Notre cerveau dispose d'un système d'élimination des déchets qui s'active surtout durant le sommeil.
Notre cerveau dispose d'un système d'élimination des déchets qui s'active surtout durant le sommeil. © Mark Lythgoe, Chloe Hutton, Wellcome Images, Flickr, cc by nc nd 2.0
Ces scientifiques sont même allés plus loin en démontrant que le mouvement du LCR était dû à l’activation de canaux microscopiques, présents dans les membranes des cellules gliales. En effet, dès lors qu’ils les ont éteints, le liquide devenait stagnant. Or, activer les canaux demande beaucoup d’énergie à la cellule. Est-il possible que les cellules gliales utilisent leurs ressources simultanément pour soutenir l’activité neuronale, et l’élimination des déchets ? Les auteurs ont supposé que non, et que ces deux activités devaient être séparées. Ainsi, selon leur théorie, durant l’éveil, les cellules nerveuses sont privilégiées, tandis que la nuit, on met en place le processus d’évacuation des détritus.
Des déchets principalement éliminés durant le sommeil
Les auteurs ont voulu vérifier leur hypothèse. Des souris ont été entraînées pour se détendre et s’endormir dans un dispositif d’imagerie biphotonique, capable de déceler des mouvements de fluides dans un tissu vivant. Lorsque l’électroencéphalogramme révélait que les animaux plongeaient dans une phase de sommeil, les scientifiques injectaient un colorant vert, afin de suivre ses déplacements dans le cerveau. Une demi-heure plus tard, d’une petite caresse sur la queue, les rongeurs se réveillaient. Alors, un colorant rouge était inoculé. Les chercheurs pouvaient ainsi comparer distinctement les deux situations.
Ils en ont conclu que durant le sommeil, le débit du LCR était environ dix fois plus important que pendant la phase d’éveil, ce qui confirmait leur intuition. Ils expliquent cette situation par une adaptation physiologique jamais observée : les cellules gliales semblent perdre du volume, ce qui se traduit par une augmentation de 60 % du diamètre des vaisseaux du système glymphatique, augmentant alors le rendement de l’évacuation des déchets.
Une nouvelle voie contre les maladies neurodégénératives
En parallèle, ils ont effectué un autre test. Ils ont administré aux souris des bêta-amyloïdes marquées. Ces protéines s’amoncellent dans le cas de la maladie d’Alzheimer et contribuent à la mort des neurones. En phase de sommeil, leur élimination est deux fois plus rapide que durant l’éveil.
Voilà donc une piste qui pourrait expliquer pourquoi de nombreux troubles neurologiques sont associés à des troubles du sommeil. Un déficit de repos pourrait directement être impliqué, en facilitant l’accumulation de protéines nocives, comme les bêta-amyloïdes, mais également l’alpha-synucléine, impliquée quant à elle dans la maladie de Parkinson.
D’autres questions interpellent les chercheurs. D’abord, ils pensent que ce « lavage du cerveau » contribue à la récupération. Mais dans quelle mesure l’accumulation des résidus du métabolisme intervient-elle dans la sensation de fatigue ? D’autre part, comment les canaux des cellules gliales changent-ils de conformation durant le sommeil ? Si les chercheurs semblent avoir décrit l’une des fonctions du sommeil, il se pourrait sûrement que celle-ci ne soit pas la seule. L’enquête est donc bien loin d’être terminée.
http://www.futura-sciences.com
La télépathie 1 5 par grandeetoile
La télépathie est la faculté de transmettre et de recevoir d’un individu à un autre ou à tout autre corps organique, des paroles, sons, images et sensations en un instant. Tout le monde a cette faculté ancrée en lui. Mais bien peu en ont conscience et encore moins l’utilise. Pourtant, nous sommes en présence d’une manière de communiquer extrêmement fiable et efficace par rapport à toutes les technologies actuelles. Aucune distance, aucun obstacle ni aucune personne ne peut entraver une transmission.
La télépathie a fait l’objet de multiples tests scientifiques très diversifiés. La conclusion est implacable, la télépathie existe bel est bien. Il ne s’agit pas d’une capacité illusoire, et elle peut s’exercer sous différentes manières. Les communications télépathiques les plus répandues se déroulent généralement entre les être humains, mais il est aussi possible de correspondre avec les animaux et même les matières organiques que l’on pense complètement insensibles ou inertes, comme les plantes, arbres et autres végétaux.
L’exemple le plus flagrant de télépathie entre deux êtres humains est en rapport avec les jumeaux. Pour les vrais jumeaux, il n’est plus à démontrer qu’ils sont sans cesse en relation l’un avec l’autre, même s’ils se trouvent à deux endroits distants de plusieurs milliers de kilomètres. Lorsque l’un commence une phrase, l’autre est en mesure de la terminer, lorsque l’un subit une épreuve quelle qu’elle soit, l’autre en ressent également la charge. Il s’agit là bien sûr de cas extrêmes, tout le monde ne fonctionne pas télépathiquement parlant à ce niveau très élevé. Pour la plupart des gens, les transmissions télépathiques ne se font pas toujours aussi clairement et surtout il est difficile de les contrôler.
Une transmission télépathique entre deux êtres humains « lambda » se produit souvent lorsque l’un des deux subit ou ressent une très grande émotion. Que ce soit une forte joie venant d’un événement heureux inattendu, ou encore une peur démesurée due à une agression ou un appel à l’aide suite à un accident de la route, la force et la qualité de la transmission télépathique en sont décuplées. La transmission devient alors souvent limpide à un point tel, que le récepteur ressent et voit les choses comme s’il s’y trouvait. La force émotionnelle envoyée avec la transmission télépathique, agit comme un véritable décodeur envers la personne réceptrice. Le doute ne peut subsister dans ce type de message. Le récepteur en a la plupart du temps parfaitement conscience.
La qualité des transmissions, est due également, au lien qui existe entre les deux personnes concernées. Un lien d’amour fort permettra un échange plus net et plus régulier. On retrouve par exemple plusieurs cas de télépathie extrêmement forts entre une mère et sa fille. Généralement, quand celle-ci se retrouve en danger, la mère le ressent quasi immédiatement, et peut agir en conséquence.
Il est également possible qu’un échange télépathique soit effectif entre deux personnes n’entretenant pas de lien fort, mais dans ce cas, la transmission risque de ne pas être comprise ou tout simplement ignorée. Aussi, l’ouverture d’esprit du récepteur joue un grand rôle dans la qualité des transmissions, qui seront beaucoup moins efficaces, si la personne cherche à comprendre systématiquement de façon intellectuelle, tout ce qui se présente à elle.
La science s’intéresse depuis très longtemps à la télépathie. On rapporte que des tests s’effectuaient déjà au XVIIIème siècle. Il est vrai que cette pratique attire l’attention. Imaginez un instant que l’on arrive à une parfaite maitrise de la télépathie. Les possibilités de communications et de découvertes seraient infinies. On pensait, dans le milieu du XXème siècle, que la télépathie relevait d’un échange utilisant les ondes radios. Mais cette idée fut très rapidement mise à mal, étant donné qu’aucune interférence, et ce, quelque soit le milieu dans lequel le test était effectué, n’était constatée. Ce qui n’est pas le cas des ondes radios, qui sont sujettes aux obstacles physiques qu’elles peuvent rencontrer.
Les tests qui ont été majoritairement entrepris pour démontrer que la télépathie existe bien, ont été très souvent, accomplis de manière très simple, mais ne pouvant pas faire l’objet de discordes. Les tests relevaient de la transmission d’images ou d’idées, d’une personne que l’on appelle « émetteur » à une autre appelée « récepteur ». L’émetteur était le seul à connaître le contenu de ce qu’il devait envoyer au récepteur, et surtout, il le découvrait au dernier moment, par le biais d’un ordinateur, qui sortait aléatoirement des images ou des textes. Il ne pouvait y avoir tricherie ou connaissance du contenu à transmettre avant que l’ordinateur ne l’affiche. Le récepteur se trouvait dans une pièce totalement close, et devait noter au fur et à mesure, les images, textes et sensations qui lui venaient à l’esprit. Les résultats sont assez édifiants. Le récepteur arrive à décrire exactement ce que l’émetteur lui transmet à plus de cinquante pour cent.
Les tests sont encore plus concluants lorsque le récepteur est endormi ou se trouve en phase d’endormissement. Les barrières intellectuelles tombent et offrent la voie idéale pour capter toutes sortes de messages extrasensoriels. Dans ces cas là, lorsque le récepteur fait part, à son réveil, de tout ce dont il se souvient, les résultats sont encore plus probants, et s’avère juste à plus de quatre vingt pour cent.
Mais les messages envoyés par télépathie ne semblent pas toujours arrivés à leurs buts. Et cela dépend grandement de la personne réceptrice. Celle-ci fait inconsciemment un tri, qui lui permet de classifier les informations qui lui parviennent en fonction de leur importance. Si vous essayez d’effectuer une communication dont la valeur représente quelque chose de tout à fait banal et sans conséquences graves ou vitales, il est fort probable que le récepteur rejette inconsciemment et instantanément votre message.
Fait que l’on pourrait tout à fait qualifier d’irrationnel voir de loufoque, la télépathie entre les êtres humains et les animaux sont choses courantes, même bien plus souvent que l’on pourrait le concevoir. Souvent les liens qui unissent un chien à son maitre sont très forts et enduits d’amour. Il n’est pas rare par exemple de voir l’animal comprendre que son maitre traverse une passe difficile. L’animal fera fréquemment preuve d’empathie et de soutien envers son maître dans la mesure du possible. Evidemment il va de soi que la relation entretenue entre le maitre et l’animal doit être saine. L’exemple des chevaux est aussi particulièrement frappant. Il faut dire qu’il s’agit là certainement des animaux les plus sensibles et les plus sujets aux tensions environnementales et personnelles de leur entourage. Mais lorsque le lien est suffisamment fort entre un cheval et son cavalier ou éleveur, celui-ci comprend souvent instantanément ses émotions et pensées.
Un autre exemple qui est intéressant pour démontrer la transmission de pensée avec les animaux, est lorsque ceux-ci arrivent à retrouver leur propriétaire alors qu’il se trouve a plusieurs centaines voir milliers de kilomètres. Il arrive de temps en temps de retrouver dans les journaux locaux ce type d’histoire, où les animaux de compagnie, souvent les chiens, retrouvent leur propriétaire des semaines plus tard, après avoir parcouru des centaines de kilomètres. Comment l’animal peut alors se diriger sans aucuns repères. Il s’agit sans nul doute de transmissions, souvent inconscientes, entre l’animal et le maitre, du lieu où il se trouve et du moyen permettant d’y accéder.
La télépathie envers les végétaux a fait également l’objet de plusieurs tests concluants. Lorsque l’on porte atteinte à l’écorce d’un arbre, on observe des modifications au niveau des manifestations bioélectriques de celui-ci et de ses congénères, et ce alors qu’ils sont séparés parfois de plusieurs dizaines de kilomètres.
La télépathie, bien que l’on commence à en savoir beaucoup plus via les multiples tests scientifiques effectués, en est encore à ses balbutiements. Peu de personnes la maitrise consciemment. Le commun des mortels ne peut pas gérer cette faculté aussi aisément que l’on apprend à parler avec le langage humain. Comme toute pratique, et je dirai surtout celle-ci, qui permet à tout être humain d’être en relation les uns avec les autres sans aucune gêne ni obstacle, est dédiée à évoluer et par la suite à être maitrisée. Imaginez un instant que tout ce dont vous souhaitez faire part à vos proches le soit fait en un instant, couplé des émotions que vous souhaitez transmettre. Aucun moyen de communication actuel n’est en mesure de pouvoir vous offrir la pareille, et encore faut-il qu’ils soient en état de marche et dans un lieu approprié.
Cela offrirait des possibilités inimaginables. Un ami qui se trouve en vacances vous ferait part de son voyage par télépathie, et vous aussi le temps de la transmission, vous ressentiriez les plaisirs des vacances et les sensations de celles-ci, sans bouger de chez vous.
Et nous pourrions imaginer encore bien des applications. Supposons que vous butez sur un problème dont vous n’arrivez pas à vous « dépatouiller ». Lancez un message, et attendez que quelqu’un le perçoive et y réponde par un retour de pensée. Voilà qui permettrait d’avancer, et de faire avancer notre monde à fière allure ! Tous les cerveaux se connecteraient entre eux, et mettraient à profit leurs connaissances et expériences, sans restriction aucune de distance.
On pourrait finir par penser que plus rien ne serait caché et que les informations, peu importe leur contenu, soient diffusées à qui veut bien les réceptionner. Voilà un monde dans lequel il serait certainement agréable de vivre ne pensez vous pas ? Plus rien ne serait secret, plus aucune manipulation ne serait possible, tout le monde saurait à qui il s’adresse en tout temps et en tout lieu. On comprendrait les intentions de chacun à notre égard. On saurait exactement ce que notre interlocuteur pense de nous. On en viendrait à vivre dans un monde où la fourberie, la mesquinerie, la tromperie, l’égoïsme et la haine finiront par être désuets, de honte qu’elles soient visibles et compréhensibles de tout notre entourage
http://www.avenir-fr.com/articles/la_telepathie/transmissions_telepathiques_7_1.html
En pleine nuit, une coupure de courant se produit. Le temps de trouver une lampe de poche, vous pouvez vous déplacer dans la maison grâce à votre vision nocturne. Comment ça marche ? Explications.
Les vertébrés et les arthropodes sont les animaux dotés d'une vision très développée. L'œil humain est perfectionné et est comparable à un appareil photo dont la rétine est la pellicule. A tout moment de la journée, de jour comme de nuit, notre œil s'adapte à notre environnement pour nous assurer la meilleure vision possible.
Le cristallin et la cornée s'occupent d'ajuster l'image, l'iris s'occupe de la luminosité. Les photons, particules lumineuses, pénètrent jusqu'à la rétine qui va se charger de remplacer le stimulus lumineux en stimulation électrique qui va parvenir au cerveau via le nerf optique. Le cerveau reconstitue ensuite l'image. Cette conversion de stimulus est possible grâce à des cellules rétiniennes spécialisées sensibles à la lumière, les photorécepteurs. Mais s'ils sont réactifs à la lumière, comment cela fonctionne dans l'obscurité ?
A chacun sa spécialité
Deux types de récepteurs sont présents dans la rétine de l'œil humain : les cônes et les bâtonnets. Les cônes permettent de discerner les couleurs ; quant aux bâtonnets, ils confèrent une vision panchromatique, c'est-à-dire en noir et blanc.
Dans l'obscurité, les bâtonnets sont les plus utiles pour notre vision dite scotopique, à savoir avec une faible luminosité. Ils possèdent une sensibilité importante à la lumière ; à faible intensité, les bâtonnets entrent en activité grâce à leur pigment, la rhodopsine.
Un pigment en cascade
A la lumière, la rhodopsine est sous forme inactive. Elle est décomposée en deux éléments, l'opsine et le rétinène (un aldéhyde de la vitamine A). Dès le passage en obscurité, le stock actif de rhodopsine doit se reconstituer de manière à atteindre le maximum de sensibilité pour que la vision scotopique soit optimale. Cela prend un peu de temps ce qui explique la période d'adaptation de notre œil pour que nous voyions correctement dans le noir. Cela réclame ne moyenne une trentaine de minutes.
La synthèse de rhodopsine active s'effectue par deux voies :
la voie rapide à partir de rétinène
la voie plus lente à partir de la vitamine A nécessite une oxydation ce qui réclame une dépense métabolique importante.
Quand la rhodopsine atteint son seuil de sensibilité qui est autour de 500 nanomètres, elle excite alors le bâtonnet qui envoie l'info nerveuse au cerveau.
Les bâtonnets se trouvent majoritairement à la périphérie de la rétine. Ceci explique que nous ne distinguons pas un objet de face dans l'obscurité, mais par contre on voit très bien son contour.
http://www.linternaute.com/science/biologie/article/comment-voit-on-la-nuit.shtml?f_id_newsletter=649
1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité