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Articles divers

"La disparition du racisme, comme c'est le cas chez les Musulmans, est une des réussites les plus marquantes de l'Islam et il y a dans le monde contemporain, une urgente nécessité à propager cette vertu islamique..."

A.J. Toynbee "Civilization on Trial", New York, 1948, p. 205.


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Savez-vous vraiment à quoi vous ressemblez ?

 
 
Qui connaît votre visage mieux que vous ? Ce nez trop imposant, ces lèvres bien trop fines ou encore ces fossettes très creusées, vous les connaissez par cœur. Et pourtant, alors que ces traits font partie intégrante de vous-mêmes, ce sont des individus qui, en vous observant une minute à peine, seraient plus à même de vous reconnaître que vous sur des photos. L'étude a été publiée dans la revue The British Journal of Psychology et c'est au docteur David White que nous devons ces résultats.

Les heures passées à vous admirer devant le miroir n'auront servi à rien. Vous pensez connaître parfaitement chaque centimètre carré qui vous constitue et cependant une simple étude vous prouve le contraire. En Australie, l'équipe de chercheurs dirigée par le Dr White a réalisé une expérience amusante qui démontre qu'un étranger reconnaît mieux un visage que son propriétaire.

130 participants ont fourni une dizaine de photos de leur visage qu'ils ont dû trier du cliché qu'ils estimaient le plus ressemblant au moins ressemblant. Des travaux précédents montrent en effet que toutes les photos ne capturent pas parfaitement l'identité des individus, et que par conséquent, certaines s'approchent davantage de la réalité que d'autres. Les visages immobiles ont ensuite été filmés pendant une minute et deux photos ont été prises, l'une en souriant l'autre neutre. Puis 16 autres volontaires, qui ne connaissaient pas les précédents, ont visionné la vidéo et trié à leur tour les photos avec la même consigne. Enfin, un dernier groupe a effectué un test d'association de visages en utilisant les photos des premiers participants, dans le but de déterminer quel classement est le plus juste.

L'ordre de classement des photos s'est révélé différent entre les deux groupes. Mais ce qui est surprenant, c'est que le test d'association de visages a montré que les inconnus ont mieux classé les photos que les autres, qui ont ordonné leur propre visage.

« Bien que nous vivions avec notre visage au jour le jour, il semble que nos connaissances à propos de notre apparence visuelle a une contrepartie. Les représentations de nous-mêmes dans notre mémoire interfèrent avec notre capacité à choisir des images qui sont une bonne représentation ou qui dépeignent fidèlement notre apparence actuelle. »

Enfin, les clichés avec des personnes souriantes ont obtenu de meilleurs résultats au test des associations de visages. C'est à se demander si les consignes très strictes que l'on doit respecter lors d'une demande de passeport sont vraiment pertinentes.
 
 
Source : White D., Burton A.L., Kemp R.I. Not looking yourself: The cost of self-selecting photos for identity verification. Br J Psychol. 2015 Jun 23. doi: 10.1111/bjop.12141. [Epub ahead of print]
 
 
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Les battements de votre coeur accroissent votre vision!

 
 
Posez votre index et votre majeur sur votre cou, au niveau de la carotide et détendez-vous. Vous sentez les pulsations de votre cœur ? La prochaine fois que vous avez des difficultés à voir, parce qu’il fait sombre, parce que c’est loin ou pour tout autre raison, prenez votre pouls et concentrez-vous sur l’image en question à chaque battement. Vous ne voyez pas le rapport ? Vision et battements cardiaques semblent pourtant bien liés…

Puisque le cerveau reçoit des signaux de tous les organes du corps et notamment ceux en provenance du cœur, des chercheurs de l’INSERM ont eu l’idée de tester l’hypothèse selon laquelle certains signaux influenceraient les capacités sensorielles, cognitives voire même comportementales des individus. Plus précisément, ils ont mesuré l’acuité visuelle de dix-sept sujets qu’ils ont comparée aux fluctuations du rythme cardiaque.

Grâce à la magnétoencéphalographie, une technique d’imagerie cérébrale permettant de mesurer finement l’activité neuronale grâce à plus de 300 capteurs disposés sur le crâne, les scientifiques ont pu localiser les zones du cerveau dont l’activité est associée aux pulsations du cœur. Dans une seconde étape, ils ont montré plusieurs fois aux volontaires une image très faiblement contrastée, si bien qu’elle n’est visible qu’une fois sur deux. « Nous avons testé ce phénomène dans des conditions normales : il ne s’agissait pas de stimuler artificiellement le rythme cardiaque, mais de savoir si les variations de l’activité spontanée et normale du cerveau générée par les battements du cœur interfère avec l’acuité visuelle » explique Catherine Tallon-Baudry, co-auteur de l’étude qui est parue dans la prestigieuse revue Nature.

Et de façon assez inattendue, les résultats ont confirmé l’hypothèse de départ, montrant que plus l’activité cérébrale associée aux battements cardiaques est importante, plus les sujets sont capables de distinguer les images. « C’est comme si les signaux en provenance des organes du corps pouvaient permettre à la personne de développer des sensations plus fines qui, finalement, nous différencient d'un robot équipé d'une caméra traitant l'information visuelle » commente la chercheuse.

La perception de signaux corporels par le cerveau influe donc bien sur les capacités sensorielles, en l’occurrence la vue. Et pour aller plus loin le Dr Tallon-Baudry suggère que les autres sens, comme l’ouïe, pourraient tout aussi bien être modulés par l’activité cardiaque.
 
 
http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/les-battements-de-votre-coeur-accroissent-votre-vision
 
 
 

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Pourquoi pleure-t-on lorsque l'on est très heureux ?

 
Lorsqu'arrive un événement très heureux dans notre vie, beaucoup d'entre nous ne peuvent s'empêcher de verser quelques larmes. Et les situations sont très diverses, des parents qui voient leur enfant recevoir leur diplôme, un couple d'amoureux qui se retrouve après une absence prolongée ou encore des sportifs qui gagnent une rencontre. Mais pourquoi pleurons-nous là où nous devrions sourire ou rire ? Les larmes de joie auraient une explication scientifique.

Selon Oriana Aragon, pleurer après une émotion positive très forte permet de restaurer l'équilibre émotionnel. La scientifique et son équipe, issus de l'université de Yale, ont réalisé une expérience dont les résultats seront très prochainement publiés dans la revue Psychological Science.

Afin de vérifier cette hypothèse, l'équipe scientifique a demandé aux participants à l'étude de visionner une série de photos de bébés dont certains avaient des traits plus infantiles que d'autres (un visage plus rond et des yeux plus grands notamment). Leurs réactions ont ensuite été mesurées et mises en parallèle avec le degré d'infantilité des nourrissons.

Alors que les enfants qui paraissaient les plus infantiles ont suscité des réactions d'attention plus importantes, ils ont également provoqué des réactions « d'agression » plus grandes. Les participants ont en effet manifesté un besoin de les protéger et de s'en occuper, et dans le même temps de leur pincer les joues et de les « manger tout cru ».

Pour les chercheurs, ces situations de « dimorphisme d'expression », dans lesquelles un événement positif est accompagné d'une réaction émotionnelle négative permettrait de réguler les émotions positives très fortes et donc de retrouver un équilibre émotionnel plus rapidement. Et en effet, ils ont constaté que les personnes qui présentaient ce type d'expression montraient une diminution plus importante des émotions positives cinq minutes après avoir visionné les images.

A l'inverse, ce type de comportement pourrait également expliquer les situations où l'on « rit jaune », dans lesquelles un rire ou un sourire fait suite à une émotion négative.
 
 
http://www.happyneuron.fr/actualite-scientifique/pourquoi-pleure-t-on-lorsque-l-on-est-tres-heureux
 
 

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Quels sont les plantes, les épices et les aliments anti-âge ?

Vieillesse

Les plantes, les antioxydants et notre santé

Les aliments et les plantes peuvent agir de deux facons. Ils sont eux-mêmes riches en antioxydants ou bien ils aident notre propre système antioxydant interne. Rappelons que les antioxydants sont des molécules qui, apportées par notre alimentation, sont également produites par l'organisme. Elles aident à lutter contre les radicaux libres, des molécules qui accélèrent le vieillissement. Les mettre régulièrement au menu est une excellente facon de lutter contre le vieillissement.

Précisons que ces aliments, épices et plantes, aussi bénéfiques soient-ils, doivent accompagner une alimentation variée et équilibrée. Pas question de manger à l'excès des pruneaux et des épinards, et de négliger les autres aliments.

 

Les plantes les plus antioxydantes

  • Thé
  • Ginkgo biloba
  • Ginseng

Les aliments les plus antioxydants

  • Pruneau, prune
  • Raisin sec, raisin noir
  • Myrtille, mûre, framboise, fraise, cerise
  • Kiwi
  • Pamplemousse rose
  • Ail
  • Chou frisé, chou de Bruxelles
  • Épinard
  • Brocoli
  • Betterave
  • Poivron rouge
  • Oignon

Les épices les plus antioxydantes

  • Gingembre
  • Curcuma
  • Poivre noir
  • Muscade
  • Vanille

 

http://www.e-sante.be/quels-sont-plantes-epices-aliments-anti-age/actualite/1234

http://www.allodocteurs.fr/actualite-sante-quels-sont-les-aliments-riches-en-antioxydants-_6295.html

 

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Soubhana Allah; des cellules fœtales viennent à la rescousse de la mère en cas de maladie

Echange cellulaire entre le f tus et sa mere

 

Durant toute grossesse, il existe un échange cellulaire entre mère et fœtus. Des cellules souches hématopoïétiques ou mésenchymateuses constituent une partie des cellules fœtales transférées dans la circulation maternelle et pourraient constituer un réservoir de cellules. .

Les échanges entre le sang de l'enfant et celui de sa mère se fait par l'intermédiaire du placenta, auquel l'embryon est relié via le cordon ombilical.

Le placenta (gâteau en latin) est l'organe reliant le futur bébé et le corps maternel au niveau de l'utérus, permettant les échanges entre le futur bébé et la mère. De plus, il produit les hormones de la grossesse. A terme, c'est un disque de 20 cm de diamètre, de 3 cm d'épaisseur et pesant environ 500 g.

Grâce à la membrane des villosités placentaires (Replis du tissu placentaire qui baignent dans le sang maternel, permettant les échanges entre la mère et le fœtus), le sang maternel et celui du fœtus restent toujours séparé. Ces villosités forment un filtre.

Chaque heure, 4 litres de sang sont filtrés par le placenta. La plupart des bactéries sont arrêtées mais certains virus (par exemple celui responsable de la toxoplasmose) passent la barrière placentaire. C'est aussi le cas de certaines drogues et du tabac. Il ne faut prendre aucun médicament sans connaître le risque de passage et de l'effet éventuel sur le fœtus.

Le cordon ombilical relie le nombril du futur bébé au placenta (et non pas au nombril de la maman comme on l'imagine parfois...). Les veines du cordon ombilical puisent du sang oxygéné et plein de nutriments dans le placenta et l'artère ombilical rejette le sang chargé de déchets et de dioxyde de carbone du fœtus.

Echange cellulaire entre le fœtus et sa mère

Durant toute grossesse, il existe un échange cellulaire entre mère et fœtus. Des cellules souches hématopoïétiques ou mésenchymateuses constituent une partie des cellules fœtales transférées dans la circulation maternelle et pourraient constituer un réservoir de cellules. .

Une cellule souche est une cellule indifférenciée, capable de s'autorenouveler, de se différencier en d'autres types cellulaires et de proliférer en culture. Les cellules souches sont issues soit de l'embryon, soit du fœtus, soit de tissus adultes avec ou sans transformation, elles peuvent aussi être obtenues par transfert de noyau. Grâce à ces propriétés, elles peuvent servir à régénérer ou recréer des tissus détruits : c'est la thérapie cellulaire.

Rôle des cellules souches

Les cellules souches ont différentes fonctions dans les organismes.

À l'état fœtal ou dans les premières phases du développement embryonnaire, elles se multiplient pour générer peu à peu toutes les cellules du corps, qu'elles soient différenciées ou non.

Dans les tissus adultes, les cellules souches sont beaucoup plus rares et regroupées dans des régions particulières des organes. Elles contribuent au renouvellement naturel des tissus (un globule rouge vit en moyenne 120 jours et doit être remplacé, par exemple) ou à leur réparation en cas de lésion. Cependant, tous les organes n'en sont pas pourvus, comme le cœur et le pancréas.


Des Cellules du Fœtus Survivent dans le Sang Maternel

C'est vrai : des cellules fœtales peuvent franchir la barrière que le placenta constitue entre la mère et son enfant. On le sait depuis la découverte en 1969 de cellules masculines (porteuses du chromosome Y) dans le sang de femmes enceintes de garçons.

Nornalement, des cellules fœtales ne devraient pas pouvoir passer la barrière du placenta, censée n'autoriser que les échanges nécessaires à la nutrition et à l'oxygénation du fœtus à travers les vaisseaux sanguins maternels et fœtaux qui s'y côtoient étroiement. Et quand bien même elles y parviendraient, elles devraient être immédiatemenl éliminées par le système immunitaire maternel, puisque son rôle est de traquer dans l'organisme tout élément étranger.
Comment sont-elles alors arrivées là ? Eh bien, cela reste un mystère complet ! Il est vrai que la présence de ces cellules est difficile à étudier. "En eflet, il n'y a que de une à trois cellules fœtales par millilitre de sang maternel, dans lequel elles sont mélangées à 10 millions de globules blancs et 5 milliards de globules rouges", explique Patrizia Paterlini, de l'unité Inserm carcinogenèse hépatique et virologie moléculaire de l'hôpital Necker, à Paris. Plusieurs types de cellules s'échappent ainsi du fœtus : des globules blancs et rouges, des cellules du placenta (lui-même constitué de cellules fœtales et de cellules maternelles), et des cellules "précurseurs" qui peuvent donner naissance à plusieurs types de cellules sanguines. Et le plus étonnant, c'est que ces dernières peuvent persister dans l'organisme maternel après l'accouchement pendant... des décennies ! A tel point qu'on a trouvé des cellules fœtales dans le sang d'une femme ayant accouché 51 ans auparavant. Phénomène également observé en cas de fausse couche ou d'avortement.
On a d'abord cru que ces cellules baladeuses s'attaquaient à la mère, un peu comme des cellules greffées détruisent parfois l'organisme qui les accueille (c'est la réaction du greffon contre l'hôte). Dans ce scénario, les cellules fœtales étaient alors désignées comme l'origine d'un dérèglement du système immunitaire, causant des maladies auto-immunes telles que le lupus ou la sclérodermie. D'ailleurs, les femmes souffrant de sclérodermie ont de 20 à 50 fois plus de cellules fœtales dans le sang que les femmes en bonne santé. "Cette hypothèse est possible, mais d'autres facteurs entrent forcément en jeu dans le déclenchement de ces maladies", tient à souligner Diana Bianchi, du Tufts University School of Medicine à Boston, qui penche pour un rôle autrement plus positif des cellules fœtales. Un rôle crucial, même : elles pourraient constituer une réserve de cellules souches venant à la rescousse de la mère en cas de maladie. Un mécanisme qui a été mis en évidence chez la souris. "On sait avec certitude que les cellules fœtales se dirigent vers des tissus préalablement lésés, comme le foie, et qu'elles les réparent en créant un tissu sain", explique Diana Blanchi.

UNE ARMÉE DE CELLULES FŒTALES

Dans la peau, elles peuvent créer de nouveaux vaisseaux sanguins ; et dans le cerveau, de nouveaux neurones. Car c'est là toute leur qualité : elles sont capables de se différencier en fonction du tissu malade qui les recrute". Ce qui expliquerait d'une tout autre manière le fort taux de cellules fœtales présentes en cas de maladie auto-immune : sorte d'armée appelée en renfort, ces cellules constitueraient une véritable thérapie cellulaire qui, pour Diana Bianchi, "conférerait un avantage évolutif aux femmes ayant enfanté".
Mais si leur rôle semble aujourd'hui éclairci, leur capacité à échapper au système immunitaire de la mère reste, elle, une énigme. Pour réussir à circuler librement, les cellules fœtales empêchent peut-être certaines protéines, susceptibles de révéler leur imposture, de s'afficher à leur sufface, et passent ainsi inaperçues du système immunitaire... mais pas des médecins. De fait, tandis que se poursuivent les recherches fondamentales, ces derniers sont aujourd'hui capables d'isoler ces cellules et de les utiliser pour effectuer un diagnostic précoce du fœtus à pàrtir d'une simple prise de sang de la mère.

http://planete.gaia.free.fr/animal/homme/bio.embryon/cellules.foetus.html

http://e-sante.futura-sciences.com

http://www.chambon.ac-versailles.fr/science/sante/repr/bb.htm

 

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