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L'Islam et la science

« La science est plus méritoire que la prière », faisait remarquer le Prophète ; « un seul homme de science – ajoutait-il – a plus d’emprise sur le démon, qu’un millier de dévots ». «  Les homme de science sont les héritiers des Prophètes dont le seul patrimoine légué au monde est précisément la science ».

     L’islam selon sa charia incite donc à l’étude et à la recherche dans tous les domaines afin d’accumuler toutes les sciences fondamentales, toutes les techniques et les beaux-arts censées faciliter la vie et la rendre toujours plus commode et toujours plus belles sans toutefois rien corrompre. Méditons à ce propos ces deux versets dont voici le sens : 

-        « Nous avons pourvu la terre d’une beauté, afin de les éprouver (soit les hommes) qui d’entre eux sont les meilleurs en bonnes œuvres » (verset 7 chap.18)  

-        « Dis: "Qui a proscrit l’ornement d'Allah, qu’Il a produit pour Ses sujets, ainsi que le licite en nourritures ?" Dis: "Elles sont destinées à ceux qui ont la foi, dans la vie ici-bas, et exclusivement à eux au Jour de la Résurrection. " Ainsi exposons-Nous clairement les versets pour les gens qui savent. » (Verset 32 chap.7)  

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Les Pyramides entre Science et Coran

“Ecoutez Noblesse! En dehors de moi,  je ne connais aucun autre dieu pour vous ! Et toi Hâman, allume pour moi (le feu) sur

l’argile,et érige pour moi un haut palais ; je pourrai peut être accéder au Dieu de Moïse…“ Al-Kassas S28-V38
Commençons d’abord par présenter une traduction adaptée d’un article que le Dr Abdulaziz A.Bin Muammar nous a gracieusement communiqué sur notre site.

La réalité des pyramides, un nouveau miracle Coranique :



Les pyramides que nous connaissons aujourd’hui sont  classées parmi les sept merveilles du monde !
Mais est-ce que les savants ont résolu l’énigme de leur construction? Il y en a qui croient qu’elles avaient été construites par des djinns ? Peut on y croire?
Ces mythes étaient pourtant répandus et ont duré plusieurs siècles. Mais la nouvelle découverte faite par des savants Français  et Américains,va lever cette énigme à jamais et changer complètement le point de vue des savants modernes,
Jusque là, les Egyptologues modernes croyaient que les Pharaons avaient taillé des pierres et les avaient empilées pour bâtir ces énormes édifices. Mais des questions pertinentes restaient sans réponse:
1-  Pourquoi  toutes ces pierres sont-elles identiques et si bien assemble que l’on ne peut même pas glisser un cheveu entre deux pierres voisines ?
2-  D’où provenaient les matériaux qui ont servi à leur confection ?
3-  Quels sont les outils utilisés pour les tailler avec une telle finesse ?
Aucune de ces questions n’avait trouvé une réponse satisfaisante ; et ceci nous permet d’affirmer que les savants qui soutenaient que ces blocs avaient été taillés dans le rocher étaient dans l’erreur.

Nouvelles réalité scientifique
Le professeur Joseph  DAVIDOVITS Directeur   de l’institut Géo polymère France, propose une nouvelle théorie qui soutient que les blocs composant les pyramides auraient été fabriqués à partir de l’argile,
Celle-ci, additionnée à d’autres matériaux aurait été extraite dans la vallée du Nil, Le mélange aurait été placé dans des moules en pierre, et aurait été chauffé à une température élevée, Cette cuisson aurait causé une interaction entre les composts du mélange.  Les blocs ainsi fabriqués ressemblent à des pierres volcaniques datant de quelques millions d’années.
Pr DAVIDOVITS fournit des arguments prouvant que ces agglomérés sont essentiellement  composés   de chaux, ,d’argile et d’eau, La technique Nano utilisée pour l’analyse des composantes, a révélé  la présence de quantités d’eau qu’on ne trouve jamais dans les pierres naturelles .
D’autre part, la cohésion interne de ces pierres prouve qu’elles ne sont pas naturelles et qu’elles ne peuvent pas avoir été extraites du sol et taillées de la sorte.   Il semble donc plus réaliste d’admettre qu’elles auraient été  faites d’argile moulée, ce qui leur a donné une forme régulière et des dimensions identiques.
Les examens au microscope électronique ont révélé la présence de cristaux de quartz  comme conséquence de la cuisson de l’argile ; on a détecté également la présence du bioxyde de silicone.  Ceci démontre encore une fois que les pierres des pyramides ne sont pas naturelles .
Elles seraient plutôt le  résultat d’une réaction chimique entre l’argile, la chaux et l’eau à haute température.
Le Professeur  DAVIDOVITS, a publié en  2OO2 un ouvrage titré : «  Ils ont bâti les pyramides ». Ce livre a levé de multiples énigmes et répondu à de multiples questions concernant la construction des pyramides. Il a convaincu de nombreux savants à travers le monde.
Certains chercheurs confirment qu’on utilisait jadis  des fours de cuisson pour la fabrication des céramiques des statuts et des outils. L’argile était mélangée à des oxydes métalliques et malaxée à l’eau, puis  cuite à haute température. Elle durcissait comme de la pierre. Plusieurs civilisations avaient utilisé l’argile cuite pour fabriquer les pierres de construction, les statuts et les ustensiles.

D’autres recherches et des résultats identiques
D’autres examens aux rayons X ont révélé la présence de bulles d’air dans les échantillons, ces bulles pouvaient provenir de l’air lors de la coulée de l’argile ou de l’évaporation de l’eau contenue dans le mortier au moment de la cuisson, De telles bulles n’existent pas dans les pierres naturelles courantes. Ceci est un argument supplémentaire pour dire que les pierres qui avaient servi à la construction des pyramides étaient artificielles ; elles avaient été fabriquées avec de l’argile calcique, et elles ne pouvaient avoir plus de 4700 années d’existence.
Le professeur Italien Mario Collepardi ,qui a étudié la géométrie  des pyramides ,  affirme que les ouvriers des Pharaons ramenaient de la terre calcique, disponible en grande quantité dans la région , et la mélangeaient avec une terre banale ; ils malaxaient le tout avec l’eau du Nil.  Ensuite, ils versaient le mortier dans un moule qu’ils chauffaient à environ 900 °C, Cette cuisson transformait l’argile en une pierre très dure et lui donnant l’aspect d’une pierre naturelle.
Cette opération ne demandait pas trop d’effort, puisque les ouvriers ne portaient ni ne soulevaient aucun  rocher lourd comme on le croyait au cours des dernières décennies, Tout ce qu’il faisaient c’était de confectionner des moules, de transporter les matériaux et l’eau dans de petits récipients, de malaxer le mortier et de remplir les moules montés sur chantier. Ce qui les attardait le plus, c’était la cuisson. Ils devaient attendre la bonne  prise du l’aggloméré. Grâce à ce procédé, ils s’assuraient qu’il n’y avait pas de vide entre  les blocs, Ils assuraient également à l’édifice une résistance à l’érosion pendant  des millénaires.



Vue aérienne de la pyramide « Khoufou le grand » ; elle mesure 146m de haut. Elle a nécessité des millions de pierres de plusieurs tonnes chacune ; elle date de plus de 4500 ans.





Deux pierres voisines d’une pyramide où on remarque une petite  concavité jumelée à une convexité (au droit de la flèche) , cette géométrie prouve encore une fois que les pierres d’argile avaient été coulées dans un moule en pierre, cette géométrie a été réalisée à la coulée, et ne résulté pas d’une érosion ou d’une dégradation de la pierre.


La réalité scientifique correspond à la réalité Coranique:
Cette technique de construction des pyramides à partir de l’argile de la vallée du Nil, est restée inconnue jusqu’en 1979, lorsque le Professeur Joseph Davidovits a annoncé cette nouvelle thèse. Et ce n’est qu’en 2006 que d’autres savants ont  confirmé la validité de cette théorie a l’aide d’analyses en laboratoire, Il est évident qu’elle était donc inconnue à l’époque de la révélation du Coran. Ce dernier l’avait dévoilé ce secret il y a 14 siècles.
Ceci prouve qu’il est parole d’Allah !



Une des 3 pyramides de Gizeh dont le sommet est recouvert de pierres d’argile de même nature que celui des pierres qui avaient servi à sa construction.


Que dit le Coran ?

Dans la suite de son article, le Dr Abdulaziz A.Bin Muammar donne son interprétation des Versets coraniques en relation avec cette grande découverte archéologique.
Pour cette partie, nous préférons comme de coutume, donner celle de notre site avec nos propres commentaires.

Commentaires du site
Dans le Verset 137 du Chapitre Al-Araf 7 le Coran qualifie les constructions de Pharaon de « Arich » c'est-à-dire d’édifices hauts, avec des toits de verdure ou de vigne grimpante.  Certains interprètes comme le Dr Abdulaziz A.Bin Muammar sont allés jusqu’à déceler dans cette expression, une technique de construction en montée spirale, comme la vigne ?! Ils parlent même de rails en bois, grimpant en hélicoïde autour de l’édifice.
En ce qui nous concerne, nous pensons que le terme « Arich » ou « Yârouchoun », fait plus allusion tel que spécifié dans le dictionnaire arabe à des constructions en bois pour supporter la verdure, la vigne ou toute plante ombrageuse. Le Coran y fait souvent allusion et nous ne prendrons comme exemple que le Verset 68 de la Sourate 16 et le 24 de la Sourate Addoukhan 44.
Il est d’ailleurs  très probable, selon les Egyptologue que la construction des pyramides et autres hauts édifices égyptiens se soit servi de rampes en bois ou d’autre moyens, sur les quels nous reviendrons bientôt.
Mais nous restons intimement convaincus que le Verset 137 de la Sourate 7 n’a aucune relation avec les rampes de construction des pyramides, à supposer qu’elles aient effectivement existé. Nous ne voyons d’ailleurs même pas pourquoi elles auraient fait l’objet d’attention particulière du Coran, comme symbole de la civilisation démolie par ordre divin ? C’est un moyen de construction qui disparaît à la fin du chantier. Les toits de vigne, les jardins luxuriants les allées ombrages des palais,et les grandes constructions  étaient par contre,  les symboles de la civilisation des Pharaons.
Nous profitons de cette occasion pour lancer encore une fois, un appel aux savants musulmans, et leur demander d’éviter des interprétations hâtives et non certifiées.
Toutefois, il nous parait intéressant de s’arrêter un petit instant sur le Verset précité mais sur la partie concernant la destruction des vestiges pharaoniens :
Que dit au juste ce Verset 137 de la Sourate 7 ?
 « … Et nous avons démoli tout ce que faisait Pharaon et son peuple et tout ce qu’ils érigeaient comme édifices verdoyants ».
Ainsi, de toutes les civilisations anciennes, celle qui a bâti le plus et qui été  la plus effacée de la mémoire de l’histoire, c’est bien la civilisation de l’Egypte des Pharaons. Il ne reste que ce que Dieu a bien voulu conserver pour exemple et leçon aux tyrans de ce monde.
L’Egypte des Pharaons a perdu jusqu’à son écriture ; et il a fallu l’ère de la science moderne pour déchiffrer l’hiéroglyphe et déterrer ce que la démolition divine a enfoui sous les sables. Le Coran d’il y a 14 siècles et la science moderne remettent en mémoire les vestiges que nous découvrons. Un véritable miracle du Coran et de la science, n’est-ce pas ?
En ce qui concerne les matériaux de construction et la cuisson de l’argile, la théorie du Pr Joseph Davidovits explique parfaitement les Versets suivants :
 Ghafir S40-V36 : « Pharaon dit: Hâman! Construis- moi un haut palais afin que j’accède aux voies céleste; je pourrai peut être découvrir le Dieu de Moïse… »
Al-Kassas S28-V38: « Ecoutez noblesse! En dehors de moi,  je ne connais aucun autre dieu pour vous ! Et toi Hâman, allume pour moi (le feu) sur l’argile,et érige pour moi un haut palais ; je pourrai peut être accéder au Dieu de Moïse… »
Dans le premier Verset, Pharaon donne l’ordre à son chef des chantiers de construction, de bâtir pour lui un haut palais. La bâtisse devait être si haute que Pharaon pourrait atteindre les voies célestes et accéder au Dieu de Moïse.
Le Coran suggère donc que Pharaon construisait des palais et des édifices très hauts.
C’est dans le second Verset que le Coran nous donne des précisions sur la technique de construction :
a-    Le matériau de base était de l’argile
b-    Cette argile étai cuite
c-    Le feu était allumé directement sur l’argile ou sur le moule
d-    L’argile cuite servait à la construction des édifices, tels que les pyramides.
Le mode de transport n’était donc pas indiqué. L’argile pouvait être  transportée en hauteur ou sur le plat, et ce n’est qu’une fois mélangée aux autres adjuvants et à l’eau, qu’elle était  versée dans des moules. Une fois l’argile bien malaxée, le feu était allumé pour sa cuisson.
Quand au transport en hauteur, il pouvait très bien se faire dans des récipients à bras d’homme, par des bêtes de somme, par des chars sur des rails ou par un système de récipients tirés par corde, comme l’on fait encore de nos jours sur les chantiers de construction traditionnels.
Les preuves scientifiques énumérées ci-dessus pour le coulage dans des moules et la cuisson pouvaient aussi bien se faire en hauteur.
Le plus important est que la découverte du Pr Davidovits et de ses collègues, rejoint parfaitement le Coran autant pour le matériau de construction que pour sa polymérisation.
Pour illustrer ce que nous disons, et après autorisation du Pr. Joseph Davidovits, nous publions ci-dessous le courrier échangé à ce sujet.
Nous conseillons vivement au lecteur de visiter le site du Pr Joseph Davidovits ; il y trouvera des compléments d’information très utiles.
http://www.davidovits.info/8/le-scientifique-et-les-textes-sacres

Nous donnons ci-dessous, uniquement à titre documentaire, une maquette représentant l’hypothétique échafaudage hélicoïdal qui aurait servi à la construction des pyramides et au transport des matériaux.



Maquette représentant un mode de transport hypothétique par rampe hélicoïdale.




Une Photo du scientifique américain Michel Barsoum qui en 2006 a confimé la théorie u Prof. Joseph Davidovitsau pied de la pyramide Rhomboidale de Sneferou. Admirez la ressemblance des pierres.On penserait à des parpaings de nos jours


Par Dr Abdulaziz A.Bin Muammar
Traduit par : Açya Thamina
Revu et adapté par : Mohammed Messe

Référence :
La réalité des pyramides, un nouveau miracle Coranique par Dr Abdulaziz A.Bin Muammar
http://www.davidovits.info/8/le-scientifique-et-les-textes-sacres par le Professeur Joseph Davi



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L’insémination artificielle en Islam: Les objections

La question de l’insémination artificielle a provoqué plusieurs interrogations et a donné lieu à des vues jurisprudentielles divergentes qui l’acceptent ou la rejettent selon les cas en question et selon des considérations liées à la contraception. L’importance de la question et ses conséquences morales et sociales nous appellent à éclairer cette problématique pour dissiper la confusion qui l’entoure et ce en nous référant à son Eminence, l’Autorité religieuse, Muhammad Hussein Fadlallah, pour profiter de ses argumentations et de ses preuves à ce sujet.

Son Eminence considère que l’insémination artificielle qui se fait parfois par l’intermédiaire de volontaires inconnus par les époux qui ne possèdent pas de semence, ou au cas où l’on implante dans l’utérus de la femme une semence autre que celle de l’époux, ou au cas où l’on prend la semence de l’époux pour l’implanter dans l’utérus d’une femme autre que son épouse, sont toutes des questions que nous ne pouvons pas traiter à partir de critères matériels !! Son Eminence met l’accent sur le fait que dans l’ordre de la procréation, il y a une chose qui s’appelle les relations légales et les relations illégales, dans la mesure où la loi religieuse réglemente cette question en vue de préserver la filiation. Aucun problème ne se pose donc au cas où l’on utilise le sperme de l’époux pour féconder l’ovule de l’épouse. Certains émettent des réserves quant à la mise à découvert des parties intimes, mais il y a des moyens pour parer à cette difficulté. Néanmoins, l’insémination artificielle reste loisible en principe à condition qu’elle soit faite entre l’époux et son épouse en prenant l’ovule de celle-ci pour la féconder en-dehors du corps avant de la réimplanter à l’intérieur du corps de l’épouse. Il n’y a aucun problème légal à cela et l’enfant qui naît grâce à cette opération est légal à cent pour cent.

Au cas où le sperme provient d’un homme autre que l’époux, cela est alors illégal, mais il n’équivaut pas à l’adultère et l’enfant n’est pas considéré comme étant celui de l’époux. Il n’est pas non plus un enfant adultérin car l’enfant adultérin est d’un statut différent. Il est l’enfant de l’homme duquel est venu le sperme et non pas de l’époux de la femme.

Pourtant une question se pose : Supposons qu’on prend le sperme de l’époux et qu’on l’utilise pour féconder l’ovule d’une femme autre que l’épouse avant de la réimplanter dans l’utérus de l’épouse. Un tel procédé n’est pas illicite .

Certains pourraient avoir recours à la prévention en introduisant le contrat de mariage dans cette situation, c’est-à-dire au cas où l’époux conclue un acte de mariage avec cette femme qui n’est pas son épouse, faut-il alors prendre l’ovule de cette femme avant la fin du délai du contrat de mariage, ou bien il serait possible d’utiliser l’ovule fécondée avant le contrat de mariage ? Son Eminence répond que « Le recours à la précaution est nécessaire pour ce qui est de la fécondation de l’ovule d’une femme qui n’est pas l’épouse par le sperme de l’époux. Mais cela est loisible si cet homme conclue un acte de mariage avec cette femme sans qu’aucun problème ne se pose pour ce qui est de la fécondation de l’ovule avant ou après la conclusion de l’acte de mariage. Mais le problème se pose quant à savoir de laquelle des deux femmes, celle qui a donné l’ovule et celle qui a porté l’enfant dans son utérus, le nouveau-né sera l’enfant. Notre professeur, l’Ayatollah al-Khou’i (s), voit que l’enfant sera celui de la femme qui l’avait porté dans son utérus. Il se réfère pour appuyer son avis au verset coranique qui dit : ((Ils n’ont d’autre mère que celle qui les a enfantés)) (Coran LVIII, 2) ».

Il y a un autre avis que nous adoptons, comme l’adoptent d’autres jurisconsultes, en tant que fatwa et par prévention, selon lequel l’enfant est celui de la femme de laquelle provient l’ovule, car l’enfant résulte de l’union du sperme et de l’ovule, et Dieu est le plus savant (4). L’argumentation est fondée sur l’idée de l’existence, « car l’ovule est plus fondamentale dans la formation de l’enfant et les spermes et l’ovule jouent un rôle de complémentarité dans cette situation. Pour cette raison, il est de notre avis que la mère est celle de laquelle provient l’ovule et non pas celle qui porte l’enfant dans son utérus. Cette dernière n’est qu’un simple réceptacle ; elle le nourrit et le fait se développer mais elle ne joue aucun rôle dans son existence. Son rôle consiste seulement dans le fait de le faire se développer. L’enfant peut être le sien seulement comme l’enfant qui est allaité par une femme qui n’est pas sa mère, et cela est certes un objet de discussion par les jurisconsultes.

Si la semence provient d’un homme autre que l’époux, ce dernier n’est en rien concerné par la question de paternité, même si la semence est implantée dans l’utérus de son épouse, car le père est un autre homme. L’accord de l’époux ne change rien au problème car il s’agit ici de l’existence de l’enfant à partir d’un autre, et le contrat de mariage entre l’époux et l’épouse n’implique aucune liaison entre lui et l’embryon qui n’est pas le fruit de leur relation conjugale » .

En ce qui concerne le problème de millions d’époux qui souffrent de stérilité et qui ne trouvent d’autre solution que l’adoption d’un enfant, beaucoup d’institutions médicales ont tenté de trouver une solution en menant des études dans le but d’améliorer la qualité de l’insémination artificielle de l’ovule. Ces institutions partent d’une idée selon laquelle il n’est pas nécessaire que les enfants proviennent des époux de leurs mères. La règle qu’on prône à cet effet est le fait d’imposer la liberté sexuel, comme cela a été dit à la conférence de Pékin, pour les femmes non mariées !! Bien sûr, il ne s’agit pas pour nous de cette règle mais de celle qui fonde la question de la paternité sur l’existence de l’enfant à partir de la semence qui provient de l’époux légal de l’épouse. Ton enfant est ainsi celui que tu es une cause de son existence, et non pas celui dont la cause de l’existence est le fruit d’un lien entre ton épouse, en vertu du contrat de mariage, et un autre homme, sans que l’époux lui-même n’ait aucun rapport avec toute cette entreprise » .

Pour cette raison, la différence entre ce procédé et l’adoption est nulle, car les enfants doivent être à la fois ceux de l’époux et de l’épouse. Si les enfants de l’épouse sont ceux d’un homme autre que l’époux, l’homme n’aura aucune présence, et « cela n’offre aucune solution au problème au sens ‘intérieur’, sauf l’illusion de sa paternité du fait que l’enfant est né à l’intérieur de la vie conjugale. Mais cela ne veut pas dire qu’il est le père de cet enfant ».

Son Eminence pense qu’il existe un autre problème, à savoir « que nous avons tendance à nous plnger dans le côté dramatique sans prendre en considération le mouvement de la réalité. Le drame peut t’inciter à pleurer mais il ne construit pas un ordre ou un système. Le drame, nous devons le vivre et chacun de nous a son drame. A propos de la femme qui porte dans son utérus une ovule provenant d’une autre femme, la jurisprudence générale dit que l’enfant n’est pas le sien, car elle n’a pas participé à son existence, mais seulement à son développement. Il n’est pas non plus son enfant ni son enfant par allaitement. Néanmoins, certains jurisconsultes ont commencé à penser que l’allaitement qui implique obligatoirement le « tahrîm » (c’est-à-dire qui donne à l’enfant le statut de frère par rapport aux filles de la mère par allaitement et qui, de ce fait, lui interdit d’épouser l’une d’elles) doit aller au-delà d’un nombre déterminé d’allaitements. Il est naturel que, pour la femme, le fait de nourrir l’enfant en l’allaitant soit équivalent au fait de lui avoir donné quelque chose de son corps, et de devenir ainsi sa mère ne serait-ce que par la voie de l’allaitement. On peut également dire que l’embryon se nourrit pendant neuf mois à partir de la femme qui le porte, mais il s’agit là d’un avis jurisprudentiel qui est encore en discussion et qui n’a pas encore abouti à un résultat définitif » .

Son Eminence donne un avis contraire à celui pour lequel cette insémination constituerait une solution de juste milieu du fait que l’un des deux époux est le procréateur de l’enfant. Il affirme à ce propos que les questions de paternité de maternité et de filiation doivent être considérées à partir de la réalité existentielle, qui fait que l’enfant soit un prolongement de l’existence, que les questions mentionnées soient en relation directe avec l’existence de l’enfant. Toi, tu es un étranger par rapport à l’enfant. Le simple fait que tu sois lié par un contrat de mariage avec la mère de cet enfant n’implique aucune relation de parenté entre toi et cet enfant. Tu es étranger par rapport à lui dans cette situation. Quelle est la différence entre l’enfant que porte ta femme dans son utérus et dont la semence ne provient pas de toi et celui que porte la femme de ton voisin ? Au bout du compte, il y a un contrat de mariage écrit entre toi et ton épouse, mais ce contrat ne suscite en rien le mouvement de l’existence. Tout ce que ce contrat suscite est un mouvement juridique qui te permet d’avoir un statut donné par rapport à ton épouse et qui permet à ton épouse d’avoir un statut donnée par rapport à toi ».

D’autre part, son Eminence attire l’attention sur le fait de « l’absence, dans la loi religieuse, de quelque chose qu’on puisse appeler ‘prêt d’utérus’ sans être fondée sur une autorisation légale. Pour cette raison, il n’est pas loisible de déposer la semence d’un homme étranger dans l’utérus d’une femme mariée, car il ne lui est pas loisible de contracter avec elle un acte de mariage dans la mesure où elle est déjà mariée avec un autre homme. Mais avec la présence d’un contrat légal et dans le cas où la femme est libre (non mariée et ne se trouvant pas en délai de viduité), il est loisible pour l’homme de déposer son sperme dans son utérus ou d’y déposer une ovule fécondée par son sperme ».

Quant au procédé de l’insémination artificielle ou de la « fécondation in vitro », il est loisible à l’avis de son Eminence, comme nous venons de le dire mais « à condition qu’il y ait fécondation de l’ovule d’une femme par le sperme d’un homme qui sont mariés ensembles, le sperme pouvant être extrait de l’homme au moyen d’un outil médical ou au moyen de la masturbation faite par la main de l’épouse et tout en évitant la vue des parties intimes de l’homme par le médecin traitant. La femme, quant à elle, ne doit pas mettre à découvert ses parties intimes devant le médecin sauf en cas d’extrême nécessité et l’impossibilité pour elle d’être enceinte autrement » .

Pour ce qui concerne certaines questions jurisprudentielles en relation avec la différence entre le patient et le médecin en matière de taqlîd (l’imitation d’une autorité religieuse), et la nécessité d’avoir recours à une opération chirurgicale, comme l’ablation des ovaires, le dépôt du stérilet, ou toute autre question parmi celles qui ne font pas l’accord des jurisconsultes, son Eminence pense que, dans ces cas, « le médecin doit respecter son imitation, car il fait son travail et il en est responsable. Par exemple, si une femme qui imite une Autorité ou une référence religieux qui autorise la femme de voire les parties intimes d’une autre femme, est en consultation chez une femme médecin qui imite un jurisconsulte ayant un avis contraire, cela ne donne pas à la médecin femme l’autorisation de la soigner en dehors des situations obligatoires. Mais cela est loisible pour la femme médecin dans le cas où elle imite une référence religieuse n’ayant pas prononcé un avis jurisprudentiel à ce propos » .

Les contraceptifs :

Pour ce qui concerne les contraceptifs, son Eminence pense que « tous les moyens contraceptifs sont loisibles à condition de respecter les considérations légales, sauf l’avortement et la stérilisation » .

Quant à l’usage du stérilet, il pense qu’il est loisible légalement mais avant et non pas après la fixation du fétus » (14).

Pour ce qui est de l’ablation des trompes chez la femme pour des raisons diverses parmi celles qui constitueraient un danger pour elle, ou parce qu’elle subit une situation difficile sur le plan social ou psychique, son Eminence dit que cette ablation est loisible : « s’il n’y a pas d’autres moyens contraceptifs, la femme pour laquelle la conception constituerait un grand danger. Mais si d’autres moyens existent, comme le fait d’opérer une ligature des trompes, ces moyens sont également loisibles, alors que l’ablation des trompes reste problématique sauf en cas de nécessité, l’idée générale étant la permissivité pour l’être humain de mettre son énergie au point mort et non pas de tuer son énergie. Comme le fait de tuer un être humain n’est pas loisible, il n’est également pas loisible de tuer l’énergie sauf en cas de nécessité » .

D’autre part, Son Eminence dit au sujet de la ligature des trompes : « La ligature induisant la stérilité permanente est loisible si le fait de repousser le dégât consécutif à la conception n’est possible autrement. Mais s’il existe d’autres moyens contraceptifs sûrs et n’induisant pas la stérilité permanente, la ligature n’est alors pas loisible » .

http://francais.bayynat.org.lb/Problematiques/1.htm

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La méditation: la science confirme la religion

La méditation a été définie comme: "autorégulation de l'attention, au service de la self-enquête, dans l'ici et maintenant. »

La méditation peut être pratiquée tout en marchant ou en faisant de simples tâches répétitives. Marche de méditation contribue à briser les habituelles catégories mentales automatiques, « donc retrouver la nature primaire des perceptions et des événements, attirant l'attention sur le processus tout en négligeant son objet ou le résultat final. »

La pratique de la méditation modifie le cerveau

On savait déjà que, correctement et régulièrement pratiquée, la méditation pouvait avoir un impact sur la stabilité émotionnelle et l’anxiété. Mais les bénéfices de cette pratique ne s’arrêteraient pas là.

Une nouvelle recherche publiée dans la revue Social Cognitive and Affective Neuroscience Advance Access en mars et réalisée dans le laboratoire du professeur Mario Beauregard, de l’université de Montréal, fait état de différences notables entre le cerveau d’adeptes de la méditation et celui de débutants.

Pour arriver à ces conclusions étonnantes, les chercheurs ont étudié le cerveau de 13 adeptes de la méditation ayant plus de 1 000 heures d’entraînement et celui de 11 débutants en observant, à l’aide de l’imagerie, la synchronisation entre deux ou plusieurs régions cérébrales dans le temps. Pendant quelques minutes, les participants sont restés dans un scanner où il leur a été demandé de ne rien faire. Cette période d’inactivité a permis aux chercheurs de repérer le réseau cérébral par défaut des sujets : un ensemble de zones du cerveau s’activant au repos. Ils se sont alors aperçus que les effets de la méditation persistaient au-delà du moment de la pratique. Le cerveau des adeptes est en quelque sorte organisé différemment : on y constate une plus faible synchronisation entre la zone du cerveau liée aux processus cognitifs associés au soi et celle qui concerne plutôt l’évaluation émotive du soi.


Rien d’étonnant pour Véronique Taylor, l’auteure principale de ces recherches : « Ces individus sont habitués à être dans le moment présent et leurs pensées ne partent donc pas dans tous les sens lorsqu’ils sont au repos. » A contrario, on observe une forte synchronisation entre certaines zones convergeant vers le lobe pariétal droit, connu pour avoir un rôle déterminant dans l’attention. Autrement dit, savoir lâcher prise permettrait d’avoir ensuite des capacités de concentration accrues. 

La méditation dans la religion

Le Christianisme
La Bible mentionne '' méditer '' ou '' méditation '' environ vingt fois, quinze fois dans le livre des Psaumes, les seuls. Lorsque la Bible mentionne la méditation, il mentionne souvent obéissance du souffle prochaine. Un exemple est le livre de Josué: « ne pas laisser ce livre de la Loi s'écarter de votre bouche ; méditer sur ce jour et nuit. »

Traditions chrétiennes ont diverses pratiques méditatives. Citons notamment des traditions monastiques comme la Lectio Divina, méditations du Rosaire et l'Adoration eucharistique dans le catholicisme ou la tradition hésychaste dans l'orthodoxie, ce qui peut impliquer la récitation de la « prière de Jésus ».

Méditation chrétienne est le niveau intermédiaire dans un large caractérisation de trois étapes de la prière : il implique une réflexion plus que la première prière vocale niveau, mais est plus structuré que les couches multiples de la contemplation dans le christianisme. Saints tels que Thomas d'Aquin et Thérèse d'Avila ont insisté sur l'importance de la méditation dans le christianisme.

Méditation chrétienne se distingue et contraste avec les styles cosmiques de méditation orientale. Un document de 1989, généralement appelé '' Aspects de méditation chrétienne '' énoncées à la position du Saint-siège à l'égard des différences entre les styles chrétiennes et de l'est de la méditation.

Le document, publié comme une lettre à tous les évêques catholiques, met l'accent sur les différences entre les approches propice à la méditation chrétiennes et de l'est. Il met en garde contre les dangers d'une tentative de mélanger méditation chrétienne avec des approches orientales depuis qui pourrait être source de confusion et trompeuses et peuvent entraîner la perte de la nature essentielle de christocentrique de méditation chrétienne.

L'Islam

Un musulman est obligé de prier au moins cinq fois par jour : une fois avant le lever du soleil, à midi, dans l'après-midi, après le coucher du soleil et une fois durant la nuit. Au cours de la prière musulman se concentre et médite sur Dieu par la récitation du Coran et de se livrer à dhikr à réaffirmer et à renforcer le lien entre le créateur et la création. Ce guide de l'âme à la vérité. Cette méditation est destinée à aider à maintenir un sentiment de paix spirituelle, face à la quelle défis de travailler, social ou la vie de famille peut-être se présenter.

Les cinq actes quotidiens de prière Pacifique sont à servir de modèle et source d'inspiration pour conduite pendant le reste de la journée, transformer, idéalement, dans une méditation unique et soutenue : sommeil même doit être considéré que comme une autre phase de cette méditation soutenue.

Méditative passivité est dit d'avoir une qualité de guérison, et — dans la terminologie contemporaine — améliorer '' créativité ''. Le prophète Mahomet a passé des périodes prolongées dans la contemplation et à la méditation. C'est pendant une telle période que Muhammad a commencé à recevoir les révélations du Coran.

Insister sur le fait de croire aux données coraniques sans condition, ne veut aucunement dire renoncer à toute réflexion sur le Coran. La foi, au regard de l'islam, n'est pas l'ennemi de la raison. Elle est son complément. Ce sont les deux yeux qui permettent à l'homme de voir, les deux mains qui lui permettent d'agir, ou les deux pieds qui lui permettent de marcher. Avec l'une des deux sans l'autre on est borgne ou handicapé.

C'est le Coran lui même qui nous invite à la réflexion d'une manière générale et à la méditation sur le Coran en particulier:

 [Voici] un Livre béni que Nous avons fait descendre vers toi, afin qu'ils méditent sur ses versets et que les doués d'intelligence réfléchissent! (Coran 38 / 29)

« Nulle adoration n’est comparable à la méditation » (Hadith, Bayhaki, Shuab, IV, 157)

La méditation et la conscience spirituelle sont les deux conditions irréfutables pour atteindre la vérité et élever les cœurs au niveau désiré. À chaque opportunité qu’il présente, du premier verset jusqu’au dernier, le Saint Coran, la seule « carte routière » qui oriente vers la guidance et le bonheur, nous invite à méditer sur la sagesse qui se cache derrière la création de l’homme, l’ordre admirable de l’univers, les signes d’Allah ; à discerner la portée de la puissance divine, des manifestations de la divine Majesté et de la souveraineté absolue que le Tout-Puissant manifeste dans tout l’univers.

À chaque opportunité présentée dans le Saint Coran, le Tout-Puissant adresse un mot d’avertissement à l’attention des croyants avec des expressions telles que :

« Ne réfléchissez donc pas ? », Ne méditent-ils jamais ? » ou bien « Ne comprennent-ils pas ? »[2]

D’autres questions se révèlent être corrélatives :

« N’observent-ils pas le chameau »[3] lorsque le Tout-Puissant veut attirer l’attention sur la création ;
« N’observent-ils pas les nuages, la pluie, les montagnes et comment la verdure disparait en hiver pour resurgir au printemps ? »[4] qui met l’accent sur les phénomènes écologiques ;
Ne réfléchissent-ils pas sur le sort malheureux des nations passées[5] mettant en exergue les événements historiques.

Le Tout-Puissant, de ce fait, nous invite à méditer sur les Lois divines effectives et efficaces dans l’univers et à saisir ce que l’on nomme « adatullah », ou les normes d’Allah, qui sont les conditions pour que ces Lois se manifestent.

Les croyants, d’autre part, qui mènent leur vie en conformité avec l’essentiel de la piété et qui sont capables de s’engager dans la méditation et la conscience spirituelle – et ils sont toujours une minorité – transcendent leur moi profond et acquièrent une maturité dans laquelle ils sont en mesure de reconnaître leur condition humaine et de saisir aussi bien leurs points faibles que leurs vertus, en tandem.

Véronique A. Taylor 

Sources

http://www.terredepaix.com/meditation-sur-lunivers-lhomme-et-le-coran/

http://www.news-medical.net/health/Meditation-Spirituality-and-Religion-(French).aspx

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Communautés et espèces: la science confirme le Coran

{Nulle bête marchant sur terre, nul oiseau volant de ses ailes, qui ne soit comme vous en communauté.} (TSC[1], Al-An’âm ‘Les bestiaux’: 38)

Ce verset figure dans le premier quart de la sourate Al-An’âm (les bestiaux), une sourate révélée à la Mecque qui compte 165 versets après la « basmallah » (formule qui débute toutes les sourates exceptée la 9ème). Comme son nom l’indique, cette sourate fait allusion aux bestiaux, et dans l’un de ses versets est énoncé l’un des principes fondamentaux de la classification des diverses formes de vie.

Indications scientifiques de ce verset:

Le nombre d’espèces vivantes connues à ce jour par les biologistes s’élève à un million et demi d’espèces, vivant dans différents milieux, dans l’eau, sur terre, et dans l’air. A ce nombre s’ajoutent environ 250 000 espèces vivantes primitives découvertes par les spécialistes des fouilles archéologiques. Au rythme annuel des découvertes dans ces deux domaines, les spécialistes estiment que le nombre total d’espèces vivantes sur notre planète pourrait atteindre les quatre millions et demi d’espèces. Or chaque espèce compte des milliards d’individus vivants ou ayant vécu dans les générations successives. La durée de survie moyenne d’une espèce varie entre 500 000 et 5 millions d’années (2 750 000 années en moyenne), et la trace de vie la plus ancienne remonte à 3 milliards 800 millions d’années. Ainsi, quels que soit les progrès scientifiques réalisés et les moyens de dénombrement disponibles, on réalise la difficulté de suivre chacun des milliards d’individus appartenant aux millions d’espèces. C’est ainsi qu’est apparue la nécessité de la classification mentionnée dans la sourate « Les bestiaux » dans le verset :

{Nulle bête marchant sur terre, nul oiseau volant de ses ailes, qui ne soit comme vous en communauté.Nous n’avons rien omis d’écrire dans le Livre. Puis, c’est vers leur Seigneur qu’ils seront ramenés. } (Al-An’âm ‘Les bestiaux’: 38)

Le verset indique que l’unité fondamentale de la classification est l’espèce, qui se divise en communautés comprenant un certain nombre d’éléments de cette espèce vivant dans une région donnée sur terre (une communauté donnée). Les hommes se divisent en différentes races, chaque race représentant une communauté. Et toutes ces communautés ont une origine unique, un père unique Adam (la paix soit sur lui) qu’Allah (qu’Il soit exalté) a décrit en ces termes dans le Coran :

{Ô hommes! Craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être, et a créé de celui-ci son épouse, et qui de ces deux là a fait répandre (sur la terre) beaucoup d’hommes et de femmes. Craignez Allah au nom duquel vous vous implorez les uns les autres, et craignez de rompre les liens du sang. Certes Allah vous observe parfaitement.} (An-Nissâ’ ‘les femmes’ :1)

{C’est Lui qui vous a créés d’un seul être dont il a tiré son épouse, pour qu’il trouve de la tranquillité auprès d’elle;} (Al-A’râf : 189)

{Il vous a créés d’une personne unique et a tiré d’elle son épouse. Et Il a fait descendre [créé] pour vous huit couples de bestiaux.} (Az-Zoumar ‘Les groupes’ :6)

Et le dernier des prophètes et des envoyés (BP sur lui) décrit cette origine unique de l’humanité en ces termes : « Vous êtes tous d’Adam, et Adam est de terre.»

Le verset que nous étudions indique que de même que les hommes se divisent en différentes races qui représentent chacune une communauté, toutes ces communautés ayant une origine commune et unique, toutes les espèces vivantes se divisent également en groupes ou communautés (populations) ayant une origine unique. Ceci vient confirmer la multiplicité des communautés à l’intérieur d’une même espèce, ainsi que le fait que chaque espèce est indépendante de l’autre, même s’il y a une certaine ressemblance dans les structures, ressemblance qui nous rappelle l’unicité du Créateur (qu’Il soit exalté). Toute la création, de l’atome au système solaire, aux galaxies, et depuis la cellule vivante jusqu’au corps humain, tout cela est bâti selon une même et unique ordonnance, un système unique où la parité a une place évidente. Toute la création témoigne que le Créateur (que Ses Noms soient sanctifiés) en est l’auteur, le Dieu, le Seigneur, et qu’Il est l’Unicité absolue au dessus de Sa création.

La notion d’espèce dans le Saint Coran et dans la classification du vivant

Pour tenter de cerner ces quantités innombrables de créatures, les biologistes les ont classées en deux grandes familles, les végétaux et les animaux. Cette classification repose sur le fait que les végétaux principaux sont fixés au sol par des racines, et Allah (qu’Il soit exalté) leur a donné la capacité de produire eux-mêmes leur nourriture. Quant aux animaux, Allah leur a donné la faculté de se mouvoir par eux-mêmes et de ramasser, d’ingurgiter, de digérer et d’assimiler la nourriture obtenue d’autrui. Ce classement en deux grandes familles domina jusqu’au début du vingtième siècle, en dépit de la découverte, au moyen du microscope fabriqué au dix-septième siècle, de nombreuses créatures vivantes difficiles à classer dans l’une ou l’autre des familles des végétaux ou des animaux. Parmi ces créatures, se trouvaient de nombreux micro-organismes unicellulaires dont certains s’apparentent aux végétaux, d’autres aux animaux, d’autres aux deux. Ces organismes unicellulaires furent placés dans une famille à part sous le nom de protistes. Avec la découverte des bactéries, il apparut que celles-ci ne sont pas dotées de la structure cellulaire caractéristique des trois grands règnes, les protistes, les végétaux et les animaux. Leur cellule n’est pas pourvue d’un noyau différencié caractéristique des trois grandes familles, et les bactéries s’apparentent en cela aux créatures primitives connues sous le nom d’algues bleu-vert (cyanobactéries) qui sont des créatures unicellulaires, dépourvues de noyaux différenciés. Leur matériel génétique se disperse dans le liquide de la cellule de façon totalement indifférenciée.

De même avec la découverte des virus, il est apparu qu’ils se distinguent aussi des autres créatures. En effet, les virus vivent en parasite sur d’autres créatures, et se reproduisent en introduisant leur matériel génétique simple dans la cellule végétale, animale ou protiste. Le matériel génétique de ces créatures primitives n’est pas bien différencié.

Ainsi les êtres vivants furent classés en quatre règnes : Les monères, les protistes, les végétaux, les animaux. Puis les études montrèrent que les champignons diffèrent des protozoaires car ils absorbent leur nourriture à travers les parois cellulaires comme les végétaux. Cependant les champignons ne produisent pas par eux-mêmes leur nourriture comme le font les plantes, et ne l’ingurgitent pas non plus comme les animaux. Il a donc fallu les séparer et les classer dans un règne à part. Le nombre de règnes qui nous sont connus s’élève donc à cinq :

Le règne des monères comprenant les virus, les bactéries et les algues bleu-vert, généralement unicellulaires au noyau non isolé.

Le règne des protistes qui comprend les protozoaires et autres algues, organismes unicellulaires pourvus d’un noyau figuré.

Le règne des champignons qui comprend tous les types de champignons, mousses et lichens. Ils sont unicellulaires ou pluricellulaires, et leurs cellules sont pourvues d’un véritable noyau. Les champignons diffèrent des végétaux car ils sont dépourvus de chlorophylle. C’est pourquoi ils dépendent pour leur nourriture d’autres êtres vivants ou de matière organique en décomposition. Le champignon parasite vit au dépend d’autres créatures vivantes.

Le règne des végétaux qui comprend des créatures pluricellulaires. Les cellules des végétaux possèdent un véritable noyau, sont spécialisées en tissus et organes, et comportent des pigments végétaux qui leur permettent de métaboliser le carbone pour préparer leur nourriture. Les cellules ont des parois rigides, et en général les végétaux sont fixés dans la terre.

Le règne animal comprend des créatures vivantes pluricellulaires, chaque cellule ayant un noyau défini, et pas de paroi rigide. Les animaux sont capables de se déplacer, de se nourrir de végétaux ou d’animaux.

Cette classification basée sur l’observation expérimentale, même si elle est imparfaite, est un moyen de répertorier, qui est utile aux chercheurs dans leur travail de recensement des innombrables créatures vivantes. C’est pourquoi un expert célèbre de nos jours dans ce domaine en parle ainsi :

« Bien que le système basé sur le fait qu’il y a cinq règnes soit le système préféré dans ce livre, il n’est que le fruit de la raison humaine comme les autres systèmes de classement, c’est donc pour cette raison qu’il est une tentative de mettre des limites arbitraires à la nature. Et comme la nature se caractérise par une grande diversité, faire des classements précis et cohérents s’avère difficile et même impossible. » (Richard A. Goldzbi, « Biology », Tome 1, 1980, p. 394)

La classification actuelle des êtres vivants

Dans un effort de simplification, qui mena en réalité à plus de complexité, chacun des cinq règnes du vivant fut divisé en plusieurs embranchements qui furent eux-mêmes divisés en classes. Les classes furent divisées en ordres qui furent divisés en familles, puis en genres, puis en espèces, puis en variétés, puis en lignées (souches) qui comprennent plusieurs individus.

Et pour plus de complexité encore, chacune de ces unités fut divisée en trois, en permettant l’ajout des préfixes « super » ou « sous », comme super règne, règne, et sous règne, et ainsi de suite pour toutes les unités de la classification proposée.

Tout ceci s’avéra n’être qu’une tentative désespérée de la part des partisans de l’évolution d’effacer la réalité de la création, en niant l’existence du Créateur (qu’Il soit exalté) et en attribuant tout chose à la nature. Mais les découvertes scientifiques qui suivirent, et en premier lieu la génétique, ont commencé à nous confirmer que la véritable unité de classement du vivant est l’espèce que le Créateur (qu’il soit exalté) a divisée en milliards d’individus qu’Il a répartis sur terre et rassemblés en un certain nombre de communautés ou populations. Chacune d’entre elle vit dans une région du monde, dans un environnement particulier, et descend d’une origine unique que le Créateur a créé de par Sa Science, Sa sagesse, et Son pouvoir. Et l’espèce reste la seule unité de classement certaine dans toutes les classifications modernes des créatures vivantes. Et toutes les autres unités de classement sont de pures conjectures auxquelles se mêlent de nombreuses considérations personnelles. Car la personne qui établit une classification, choisit des caractéristiques et en ignore d’autres pour faciliter l’inventaire de ce nombre colossal de créatures.

Ainsi, chaque espèce d’êtres vivants comprend un ensemble de communautés ou de populations qui ont en commun une même morphologie, une même anatomie, les mêmes fonctions des organes, une constitution chimique et biologique identique, des caractéristiques génétiques fondamentales identiques, des conditions d’environnement voisines même si de grandes distances terrestres les séparent, la faculté de s’accoupler entre eux et de produire une descendance fertile fruit de cet accouplement. Ces caractéristiques sont communes aux individus de chacune des communautés, de même que tous les membres d’une communauté font partie d’une même et seule espèce, même s’il apparaît parmi ces communautés quelques disparités dues aux différences d’environnement, ou a l’isolement génétique, du fait que tous ces individus sont issus d’un code génétique unique.

Ainsi il ne peut jamais y avoir d’accouplement entre les individus de deux espèces vivantes différentes produisant une descendance fertile. Et chaque individu ne peut jamais engendrer en dehors de l’espèce dont il fait partie. Et les membres d’une espèce se distinguent très peu les uns des autres à l’intérieur d’une des communautés (populations) de cette espèce. Et ces distinctions proviennent des variations de la part que chaque individu a reçue de l’héritage génétique qu’a placé notre Seigneur (qu’Il soit béni et exalté) dans l’origine de cette espèce. Et il arrive que les différences entre individus de deux communautés augmentent légèrement en raison de l’isolement génétique et des conditions environnementales et climatiques :

Et cette remarque à elle seule suffit à nier l’idée de classement vertical des populations du vivant, idée basée sur l’hypothèse de liens de parenté entre les individus d’un règne (d’une espèce ou d’une lignée jusqu’au règne) et entre tous les règnes, et ceci dans le but de faire triompher l’idée d’évolution organique. Mais la science a mis en pièces cette idée et a réglé cette question grâce à l’apport d’éléments nouveaux. Le principal élément est la lecture du code génétique de l’homme et de nombreuses autres créatures vivantes. Cette lecture débuta par une tentative de classification au milieu du dix-huitième siècle, lorsque le médecin et naturaliste suédois Carl von Linné publia son livre intitulé : « Systema Naturae » en 1758, cent ans avant la publication de « L’origine des espèces » de Charles Darwin. Linné clamait dans son livre la nécessité de classifier les êtres vivants et de les nommer selon un système qu’il avait établi et qu’il a appelé nomenclature binominale

Ce système repose sur l’hypothèse que toutes les espèces du vivant ont une origine unique. Or dans le verset coranique que nous examinons Allah (qu’il soit exalté dit) : {Nulle bête marchant sur terre, nul oiseau volant de ses ailes, qui ne soit comme vous en communauté.} Ce verset indique que chaque espèce vivante, avec ses communautés et ses individus,est une entité propre, isolée des autres individus, communautés ou espèces. Il indique également que tous les liens de parenté concernant cette espèce se limitent à ses seuls membres, et ne s’étendent pas aux autres espèces. Et c’est une réalité qui apparaît dans les conclusions auxquelles aboutissent les sciences nouvelles telles que la génétique, la biologie moléculaire, la biochimie et autres qui abordent clairement cette réalité.

Et le Coran a mentionné cette vérité avant tout autre, il y a 1 400 ans, ce qui confirme que ce Livre ne peut pas être l’œuvre d’un homme, mais les paroles du Créateur qui l’a révélé selon Sa science au dernier de Ses prophètes et envoyés (que la prière, la paix et la bénédiction d’Allah soient sur eux tous). Comme Il s’y est engagé, Il en a préservé chaque mot et chaque lettre dans la langue où il fut révélé, la langue arabe, sur une période s’étendant sur plus de quatorze siècles et jusqu'à ce qu’Allah hérite de la terre et de ce qui s’y trouve.

Qu’Allah soit loué pour cette grâce qu’est le Coran, qu’Il soit loué pour cette grâce qu’est l’islam. {Louange à Allah qui nous a guidés à ceci. Nous n’aurions pas été guidés, si Allah ne nous avait pas guidés} (Al-A’râf : 43)

Prière et paix sur le Prophète, sceau des messagers, qui reçut le noble Coran de la part de son Seigneur, puis nous le transmit en toute intégrité, dans sa pureté divine, sa lumière, et sa vérité, ce Coran qui est tout entier vérité. Prière et paix sur la famille, les compagnons bénis et les épouses bonnes et pures du Prophète, ainsi que sur tous ceux qui le prennent comme guide et implorent comme il l’a fait, jusqu’au jour de la Rétribution.

[1] TSC : Traduction des Sens du Coran. Cette traduction est celle du sens courant le plus connu jusqu'à présent de la sourate sus mentionnée. Lire la TSC ne remplace nullement sa lecture en arabe, la langue de révélation du saint Coran.

http://www.elnaggarzr.com/Test_fre/france/20.htm

La thérapie par la lumière de l’aube

La thérapie par la lumière de l'aube  dans En médecine

QU’EST CE QU’UN SIMULATEUR DE L’AUBE ?

Les grands équilibres de notre organisme sont régulés par une horloge biologique interne.
C’est le cas de l’alternance sommeil / éveil, qui est généralement calquée sur l’alternance de la lumière et de l’obscurité, c’est-à-dire du jour et de la nuit.

La mélatonine joue ici un rôle essentiel. Cette ‘’hormone du sommeil’’ est une molécule fabriquée au centre du cerveau, par l’épiphyse, sensible à la lumière qui est transmise au cerveau par la rétine de notre oeil.

Cette molécule régule nos rythmes quotidiens de veille et de sommeil. Sa sécrétion débute sous l’action de l’obscurité, entraînant un effet d’endormissement. Au milieu de la nuit, elle atteint son taux de production maximal. La lumière diminue la sécrétion de mélatonine.

La désynchronisation de notre horloge biologique

Du fait de cette désynchronisation, notre besoin de sommeil n’est plus rythmé par l’alternance du jour et de la nuit. De nombreux facteurs sont susceptibles d’entraîner une désynchronisation de notre horloge biologique interne :

- Le rythme de la vie moderne génère beaucoup de déséquilibres. Nous avons tendance à vivre notre jour la nuit et vice versa.

- A la suite de certains événements, tels que : opération chirurgicale, maladie, prise de médicaments, l’individu peut ne plus retrouver un sommeil régulier, ou son niveau d’énergie et de rendement habituels. Il en résultera des troubles du sommeil (décalage des phases du sommeil)

- Ce phénomène de désynchronisation du rythme journalier est constaté également dans certains cas d’insomnies, pour des patients n’arrivant pas à s’endormir la nuit. Il peut être également causé par des facteurs stressants.

- Chez les personnes âgées, il arrive fréquemment que leur rythme journalier soit ‘’en avance ’’, les amenant se coucher très tôt. Il s’ensuit des réveils prolongés la nuit et, à terme, des états chroniques de fatigue.

- Enfin, les troubles du rythme journalier apparaissent à l’occasion de vols lointains, (décalage horaire). L’horloge biologique se dérègle lorsque la lumière naturelle et l’obscurité nous apparaissent aux mauvaises heures. Il se crée un décalage entre notre rythme interne habituel et le rythme extérieur du jour et de la nuit.
Mais l’une des sources importantes de désynchronisation de notre horloge biologique demeure l’insuffisance de lumière naturelle.

- Symptômes

· Augmentation des heures de sommeil (hypersomnie),
· Fatigue, humeur dépressive, tristesse,
· Prise de poids, envie de s’isoler,
· Perte d’intérêt pour les activités habituelles, difficultés à se concentrer,
· Pour les enfants, difficultés à se concentrer, résultats scolaires en baisse,

- La luminotherapie : La lumière comme antidépresseur
La recherche médicale a mis au point une thérapie basée sur l’utilisation de la lumière claire ou bleue pour lutter contre la déprime hivernale, les blues de l’hiver, le décalage horaire et certains troubles du sommeil.
Cette thérapie est courante dans les ‘’pays froids’’ et à faible degré d’ensoleillement. Elle s’étend aux lieux de travail et bureaux, avec des lampes spéciales. Ce traitement est généralement pratiqué sur une période de trois semaines.
La thérapie consiste à orienter une source lumineuse spéciale vers le visage du patient, le matin pendant une demi-heure environ. Le spectre de la lumière utilisée est le plus proche possible de la lumière du jour. Par ce biais, la transmission de lumière vive, (de plus de 2000 lux) va bloquer la sécrétion de mélatonine.
Cette thérapie peut être appliquée à d’autres moments de la journée, par exemple le soir pour retarder l’heure habituelle de l’endormissement.
Ce traitement produit des effets positifs au bout de quelques jours et atteint son plein effet au bout de trois semaines. Dans 80% des cas, cette thérapie simple se révèle très efficace.

Le simulateur de l’aube

La simulation artificielle de l’aube est une application de la luminothérapie, et donc un autre moyen de remédier, sans médicaments, aux troubles évoqués.

Simulateur d’aube Lumie 200Cet appareil recrée les conditions naturelles du réveil, en éclairant de façon graduelle la chambre à coucher, par imitation du lever de soleil. L’horloge biologique entre généralement en régulation avec l’aube. Le simulateur recrée donc artificiellement ce « signal de l’aube ».

A l’heure H moins 15, 30 ou 45 minutes selon l’option choisie, le simulateur commence à éclairer la chambre d’une très faible lumière orangée, imitant le lever du soleil.

Cette lumière est suffisante pour transmettre au cerveau l’information que le jour est en train de se lever et organiser la transition hors du sommeil. La production de mélatonine décroit dans les minutes qui suivent.

Quand la lumière augmente encore un peu, l’activité spécifique du cerveau qui caractérise le sommeil entame elle aussi sa transition vers le mode du sommeil léger, puis du réveil complet. Le réveil se fait naturellement, et en douceur.

Pour le soir, le simulateur de l’aube produit l’effet inverse. Il simule le crépuscule, la lumière diminuant progressivement, pour atteindre finalement l’obscurité totale.
Le simulateur de l’aube assure donc une bonne synchronisation de l’horloge biologique, une transition synchronisée d’un état vers l’autre, entre le sommeil et l’éveil.

Son effet sur la dépression saisonnière a été prouvé.

Simulateur de l’aube – Lumie 150D’anciennes études faisaient état de son efficacité dans le traitement de la dépression saisonnière, l’augmentation de l’énergie, l’amélioration de l’humeur.
Deux études scientifiques récentes et plus larges, citées par le réseau médical Proteus, démontrent que la simulation de l’aube serait même plus efficace que la luminothérapie classique, dans le traitement de la dépression saisonnière.

« Lors de l’étude menée par Avery en 2001 aux États-Unis, les 95 participants ont été répartis en trois groupes. 31 patients se sont réveillés avec un simulateur d’aube (luminosité croissante jusqu’à 250 lux), 33 patients ont reçu une luminothérapie classique d’une durée de 30 minutes (luminosité de 10 000 lux) et 31 patients ont été exposés à un placebo (une faible lumière rouge de 0,5 lux) durant six semaines. Le groupe soumis à la simulation d’aube a obtenu la plus grande réduction des symptômes de dépression, et les plus forts indices de rémission » (cité par le réseau Proteus).

- L’ouvrage du Dr. David Servan Schreiber

Le traitement par simulation de l’aube a été porté en France à la connaissance du grand public par l’ouvrage du Dr. Servan Schreiber ‘’Guérir’’. Le simulateur de l’aube est l’une des sept méthodes préconisées pour guérir le stress, l’anxiété et la déprime sans médicaments. Le cas de son patient, Fred, est désormais classique.

GUERIR« Fred était enthousiaste à l’idée d’essayer un simulateur d’aube. Il commanda le petit appareil sur Internet….En moins d’une semaine, il constatait déjà une différence dans sa manière de se réveiller… En moins de deux semaines, il estimait qu’il avait davantage d’énergie pendant la journée et qu’il était capable de penser plus clairement. C’était comme si le brouillard dans sa tête avait commencé à se dissiper. Son humeur s’améliorait aussi progressivement ».

 

Allah exalté soit il dit : Par l’Aube! 30.1
Allah jure dans ce verset par l’aube signalant ainsi l’importance de cette heure .Et vous devez tous savoir qu’Allah ne jure que par des créatures parfaites et majestueuses. L’aube représente le moment d’une prière vertueuse et noble: » Accomplis la Salat au déclin du soleil jusqu’à l’obscurité de la nuit, et [fais] aussi la Lecture à l’aube, car la Lecture à l’aube a des témoins. » 17.78.

Se réveiller à l’aube est parfaitement concordant avec les données de la science moderne , aussi bien sur le plan biologique et organique que sur le plan spirituel.

http://coranmiracles.unblog.fr/2009/05/page/10/

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