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L’islam estime que toutes les religions procèdent d’une même source : Allah. De ce fait, elles conservent malgré les péripéties de l’histoire une morale et des valeurs communes. Quand bien même les voies et les moyens diffèrent, les religions - plutôt la religion car en principe il n’y a qu’une seule religion- ont essentiellement pour but d’assurer à l’homme le bonheur ici-bas et dans l’au-delà.
« Il vous a légiféré en matière de religion, ce qu’Il avait prescrit à Noé, ce que Nous t’avons révélé à toi-même, ce que Nous avions prescrit auparavant à Abraham, à Moïse et à Jésus : « Etablissez la religion et n’en faites pas un sujet de divisions. » s42 v13
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Tous les Prophètes (alayhimous salâm) d'Allah sans exception ont annoncé à leur peuple respectif la Fin du Monde, le "Quiyâmah". Cependant, le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) a enseigné à sa communauté que l'Heure était maintenant relativement proche. Il affirmait: "J'ai été envoyé, alors que le moment qui me sépare de l'Heure est comparable à ces deux doigts." (Boukhâri, Mouslim) En disant cela, il joignait son index et son majeur. La comparaison portait sur la petite différence de longueur entre les deux doigts. Allah annonçait déjà au moment de la venue du Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) :
"L'Heure approche et la lune s'est fendue."
(allusion est faite dans ce verset au miracle qu'avait réalisé le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) en fendant la lune sur un signe du doigt.)
(Sourate 54 / Verset 1)
Il est à noter qu'aucune Créature ne connaît avec exactitude le moment exact de la Fin du Monde. Ni le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam), ni même Djibraïl (alayhis salâm) ne possédaient cette information. En effet, lorsque l'ange Djibrail (alayhis salâm) vint rencontrer le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) à la fin de sa vie sous apparence humaine afin de lui poser certaines questions (comme cela est relaté dans le "Hadith Djibraïl" rapporté par Boukhâri et Mouslim, entre autres), il lui questionna au sujet de l'Heure. Le Prophète Mouhammad (sallallâhou alayhi wa sallam) répondit: "Celui qui a été questionné n'en sait pas plus à ce sujet que celui qui l'a interrogé." Par ailleurs, le Qour'aane proclame clairement que le moment exacte du Jour Dernier fait partie des Mystères dont Allah est le Seul à connaître.
"La connaissance de l'Heure est auprès d'Allah"
(Sourate 31 / Verset 34)
Armageddon:Signes proche ou majeur
Les Signes proches ou majeurs des évènements importants qui se succèderont juste avant la Fin du Monde. Bien que de nos jours, leur réalisation puisse paraître comme relevant du domaine du surnaturel, il n'en reste pas moins que chaque musulman doit avoir la conviction qu'ils se passeront réellement, comme nous l'ont annoncé Allah et Son Messager (sallallâhou alayhi wa sallam). Ces Signes, qui sont plus ou moins connus, constitueront un message clair à l'attention de l'Humanité annonçant le Début de la Fin.
Parmi ces signes Armageddon est une grande bataille entre les musulmans et leurs ennemis.
Armageddon (de l'hébreu: הר מגידו, signifiant « colline de Megiddo »), un petit mont en Galilée dans la région nord de l’État d'Israël, terme biblique mentionné dans le Nouveau Testament, est un lieu symbolique du combat final entre le Bien et le Mal
La grande guerre contre les Occidentaux puis la conquête finale de Constantinople
De nombreux hadith authentiques annoncent qu’avant l’apparition de l’Antéchrist les musulmans auront à affronter les chrétiens qui seront plus nombreux dans une guerre impitoyable [299]. Ces hadith annoncent aussi que beaucoup de chrétiens se convertiront à l’islam et combattront, avec les musulmans, leurs anciens coreligionnaires ; et c’est justement ces derniers qui conquerront Constantinople.[300]
Un hadith regroupant certains signes de l’heure : « …puis vous ferez la trêve avec les Banu al-Asfar [301]. Ils vous trahiront et marcheront sur vous sous quatre-vingt étendards, sous chaque étendard, il y aura douze mille soldats. » [302]
Ce hadith montre le très grand nombre de soldats occidentaux dans cette guerre. Dans un autre hadith, le prophète (sws) dit « Lorsque l’heure arrivera, les Romains seront les plus nombreux. » [303]
2- Dhu Mikhar rapporte avoir entendu le prophète (sws) dire : « Vous allez faire une alliance de paix avec les Romains et vous combattrez ensemble un ennemi commun. Vous sortirez vainqueurs de cette guerre et vous acquerrez un grand butin. Puis, vous descendrez dans un pâturage plein de collines ; là, un chrétien lèvera la croix et s’écriera : « c’est la croix qui a gagné ! » Un soldat parmi les musulmans s’irritera cette provocation et cassera la croix. Devant cela, les Romains trahiront leur pacte et se rassembleront pour la grande tuerie. Les musulmans se précipiteront alors vers leur armes et combattrons. Dieu fera grâce à cet escadron du rang de martyr. » [304]
Ce hadith développe la cause de la grande tuerie entre les musulmans et les chrétiens à la fin des temps.
Abu Hurayra rapporte avoir entendu le prophète (sws) dire : « L’heure ne viendra pas que les Romains descendront à Dabiq [305]. Une armée musulmane regroupant des hommes parmi les meilleurs sur terre à cette époque se dépêchera de Médine pour les contrecarrer. Une fois les deux armée en face, les Romains s’écrieront : « Laissez-nous combattre nos semblables qui se sont convertis ! » Les musulmans répondront : « Par Dieu, nous ne laisserons jamais tomber nos frères. » Puis la bataille s’engagera.
Un tiers s’avouera vaincu ; plus jamais Dieu ne leur pardonnera. Un tiers mourra ; ils seront alors les meilleurs martyrs aux yeux de Dieu. Et un tiers vaincra ; ils ne seront plus jamais éprouvés et ils conquerront Constantinople. Puis, alors qu’ils auront accrochés leurs épées sur des oliviers et se mettront à se partager le butin de guerre, le diable, lancera faussement parmi eux l’appel suivant : « l’Antéchrist vous a remplacé dans vos foyers ! » Alors, ils se hâteront à partir. Une fois arrivés au Sham, celui-ci sortira. Les troupes musulmanes se prépareront alors à le combattre et disposeront leurs rangs ; mais au moment de la prière, Jésus fils de Marie descendra et guidera les fidèles. A sa vue, l’Antéchrist fondra comme fond le sel dans l’eau. S’il l’aurait laissé, il aurait fondu jusqu’à la mort, mais l’envoyé de Dieu le tuera et montrera aux musulmans son sang sur la pointe de sa lance. [306]
« Un tiers sera vaincu ; plus jamais Dieu ne leur pardonnera » signifie qu’il y aura parmi les musulmans en ces moments cruciaux une grande apostasie comme nous allons le voir clairement dans le hadith suivant d’Ibn Mas’ud.
Ce hadiht nous informe que cette grande guerre aura lieu au Sham peu de temps avant l’apparition de l’Antéchrist et que dans les rangs musulmans, il y aura un grand nombre de chrétiens convertis.
Yasir Ibn Djabir raconte : « Un grand vent de sable s’était levé avec violence un jour à Koufa ; alors un homme qui aimait les événements extraordinaires dit à Ibn Mas’ud : « L’heure est venue ! » Ibn Mas’ud, qui était adossé, s’assit et dit : l’heure ne viendra pas que les gens ne se partagerons plus les héritages et ne se contenteront plus des butins. » puis il montra de sa main la direction de Sham et dit : « un ennemi se rassemblera là bas pour combattre les musulmans. Ces derniers aussi se rassembleront pour la bataille . » Je lui dis : « tu insinues par l’ennemi, les Romains ! Il répondit : « Oui. Il y aura au courd de cette guerre une grande apostasie. Les musulmans engageront dans la bataille un premier escadron qui fera le serment de combattre jusqu’à la mort ou bien la victoire. La nuit tombée, après une dure bataille, les deux camps se replieront sans qu’il n’y ait de vainqueurs ; cependant les hommes de cet escadron périront. Les musulmans engageront alors un second escadron qui fera le même serment puis un troisième, et à chaque fois les deux camps se replieront la nuit sans qu’il n’y ait de vainqueurs ; cependant les hommes de ces escadrons tomberont aussi. Le quatrième jour, le reste des musulmans se lèvera et combattra jusqu’à la victoire finale.
L’engagement sera terrible ; comme jamais cela n’a été vu ! Les oiseaux qui voleront dans les airs à proximité du champ de bataille tomberont morts. A la fin de cette guerre, il ne restera d’une famille de cent membres qu’un seul survivant ; Quel butin pourrait consoler alors quiconque ? Et quel héritage se partager ? En ces mêmes moments, les survivants entendront un cri leur annonçant un malheur plus grand : « l’Antéchrist vous a remplacé parmi vos enfants ! » Ils abandonnerons alors tout et retournerons chez eux. Ils enverrons en éclaireurs dix cavaliers. Le prophète (sws) disait : « Je connais leurs noms, les noms de leurs pères ainsi que la couleur de leurs chevaux. Ce seront parmi les meilleurs hommes sur terre en ces temps-las. » [307]
Ce hadith nous renseigne sur l’ampleur de cette guerre et le grand nombre de morts parmi les deux camps.
5- Abu al-Darda’ rapporte que le prophète (sws) a dit : « La capitale des musulmans le jour de la grande tuerie sera Damas, une des meilleures ville du Sham » [308]
6- Abu Hurayra rapporte que le prophète (sws) a dit : « Avez-vous déjà entendu parler d’une ville dont une partie est sur terre et l’autre partie en mer ? » Ses compagnons lui dirent : oui, ô messager de Dieu ! » il dit alors « L’heure ne viendra pas que soixante-dix mille musulmans parmi les fils d’Isaac la conquerront. Lorsqu’ils arriveront, ils ne combattront pas avec leurs armes ni ne lanceront des flèches ; ils diront : La ilaha illa-llah wa-llahu akbar » (Il n’y a pas de divinité sinon Dieu. Dieu est grand) et la première partie qui est en mer tombera. Puis, ils diront une seconde fois : « la ilaha illa-llah allau akbar » et la seconde partie tombera. Puis, ils diront une troisième fois « la ilaha illa-llah allau akbar » et ils l’investiront en bénéficiant de son butin. Puis, alors qu’ils seront en train de partager le butin, ils entendront un cri : « l’Antéchrist est sorti ! Alors, ils abandonneront tout et reviendront. » [309]
Pourles exégètes, cette ville n’est autre que Constantinople comme l’a indiqué le hadith d’Abu Hurayra susdit.
Ce hadith nous informe du grand nombre de chrétiens qui se convertiront à l’Islam à la fin des temps.
[299] le mot emprunté par le prophète (sws) pour dépeindre cette grande guerre est le mot « malhama » qui signifie « boucherie. »
[300] comme nous l’avons déjà vu dans le premier chapitre, Constantinople a été conquise par les musulmans, une première fois, en l’an 1453 et elle sera conquise une seconde fois quelques temps avant l’apparition de l’Antéchrist comme nuos allons le voir dans ce point. Ahmad Shakir considèrent que les musulmans ont perdu cette ville depuis que Kemal Ataturk a fondé au début du xx ième siècle la République laïque de Turquie.
[301] int. « les fils de blonde » : Nom que donnaient jadis les Arabes aux Romains. On pourrait comprendre à travers cette appelation ou celle de « Romains » les Occidentaux d’une façon générale.
[302] Rapporté par Bukhari
[303] Rapporté par Muslim
[304] Rapporté par Abu Dawud et autes. Al-Albani le juge authentique.V. al-qiyama al-sughra
[305] Ville de Syrie proche d’Alep.
[306] Rapporté par Muslim
[307] Rapporté par Muslim
[308]Rapporté par Abu Dawud et autres. Al-Albani le juge authentique. V. al-qiyama al-sughra
[309] Rapporté par Muslim
http://www.muslimfr.com/modules.php?name=News&file=article&sid=33
http://kalam.over-blog.net/article-26406656.html)

Les arabes de la période pré-islamique considéraient que les directions que prenaient les oiseaux et les animaux étaient des signes précurseurs de chance ou de malchance et ils avaient pour habitude de planifier leur vie en fonction de tels signes.
On fait allusion à la lecture des bons ou mauvais présages dans le mouvement des oiseaux ou des animaux en parlant de Tiyara, du verbe arabe Tara qui veut dire "prendre son envol".
Par exemple, si un individu était en train de voyager et qu'un oiseau bifurquait vers la gauche après l'avoir survolé, il y voyait un signe avant-coureur de malchance imminente et il rebroussait chemin pour rentrer chez lui. L'Islam a invalidé ces pratiques parce qu'elles minent les fondements de Tawhid al- 'Ibada et de Tawhid al-Asma was-Sifate...
1. En dirigeant la confiance (Tawakkoul), qui est une forme d'adoration, à d'autres qu'à Allah;
2. En attribuant à l'homme le pouvoir de prédire l'imminence d'un événement heureux ou malheureux
et en lui conférant la capacité d’éviter le destin d’Allah.
C'est un Hadith d'Al Houssein, petit fils du Prophète, qui sert de base à l'interdiction de la Tiyara. Dans ce Hadith, Al Houssein rapporte que le Prophète a dit : "Quiconque pratique la Tiyara ou y a recours, et quiconque fait prédire son futur ou fait ensorceler quelqu'un n’est pas des nôtres." [Recueilli par at-Tirmidhi.]
«Des nôtres», ici, fait référence à la nation islamique. Par conséquent, la Tiyara est considérée parmi les actes qui font sortir ceux qui y croient du giron de l'Islam. Le Prophète a aussi nié les effets de la Tiyara dans un autre Hadith rapporté par Mou'awiyah Ibn al-Hakam. Mou'awiyah dit au Prophète: "II y a certains d'entre nous qui s'en remettent aux présages du vol des oiseaux." Le Prophète répondit : "II ne s'agit que d'une chose que vous avez vous-mêmes imaginée, ne la laissez donc pas vous arrêter. " [Sahih Mouslim (Traduction anglaise) vol. 4, p. 1209, no. 5532.]
C'est-à-dire ne laissez pas ces signes vous empêcher de faire ce que vous avez décidé de faire, puisque les présages que vous y voyez ne sont que le produit fictif de l'imagination de l'homme et ne sont fondés sur aucune réalité. Ainsi, le Prophète d'Allah a expliqué clairement qu'Allah , Le Plus Glorieux, n'a pas fait de la manière dont les oiseaux volent un signe en relation avec les événements. Aucun succès ou et aucune calamité ne provient du mouvement ou du vol des oiseaux, ni ne sauraient être prédits de cette manière, quand bien même certains événements peuvent coïncider avec une telle interprétation pré-islamique.
À chaque fois que les Sahaba (compagnons du Prophète ) ont été confrontés à des manifestations portant à accorder au vol des oiseaux une signification quelconque, soit en provenance de leurs propres compagnons, soit en provenance de leurs élèves, ils s'y sont opposés de manière catégorique. Par exemple Ikrimah a dit : "Alors que nous étions assis avec Ibn Abbas, un oiseau nous survola et lança un cri; Un homme parmi nous s'exclama alors: "Bon signe! Bon signe!" Ibn Abbas le réprimanda en disant : "II n'y a en cela ni bon ni mauvais signe." [Cité dans Taysir al-Aziz al Hamid p. 428.]
De la même manière, les Tabi'oun (élèves des Sahaba) ont aussi rejeté de la part de leurs propres élèves, parmi la troisième génération des musulmans, toute forme de foi en l'interprétation des signes, par exemple, un jour que Tawous entreprenait un voyage en compagnie de l'un de ses amis, un corbeau lança un cri strident; Son compagnon dit alors: "Bon signe!" Tawous répondit. "Qu'y a-t-il de bon en cela ? Ne m'accompagne pas plus avant" [Ibid.]
II y a cependant une déclaration attribuée au Prophète dans Sahih al-Boukhari [Le plus authentique recueil de Hadith (Traditions prophétiques)] dont le sens peut prêter à confusion. "Trois choses peuvent être de mauvaise augure: Les femmes, les montures [animaux que l'on monte] et les maisons" [Sahih al-Boukhari (Arabe anglais), vol. 7, pp. 447-8, no. 666.]
Aïcha a rejeté cette narration en disant: "Par celui qui a révélé le fourqan (Coran) à Aboul-Qasim (Aboul-Qasim était le surnom du Prophète . Le serment ici, signifie "Par Allah"), quiconque relate cela a menti. Le messager d'Allah a dit que les ignorants parmi les gens avaient l'habitude d'affirmer: " II y a certainement de la Tiyara (mauvaise augure) chez les femmes, dans les maisons et dans les bêtes de somme." Puis elle récita le verset : { Nul malheur n'atteint la terre ni vos personnes, qui ne soit enregistré dans un Livre avant que Nous ne l'ayons créé; et cela est certes facile à Allah } [Sourate 57 – Verset 22] [Recueilli par Ahmad, Al-Hakim et Ibn Khouzaimah.]
Cependant, le Hadith est authentique, mais doit être interprété selon l'une de ses autres narrations qui en précise plus le sens: "S'il devait y avoir une mauvaise augure on l'aurait trouvée dans les chevaux, les femmes et les lieux de résidence." [Sahih al-Boukhari (Arabe anglais), p. 435, no. 649, Sahih Mouslim (Traduct. anglaise), vol. 4, p. 1208, no. 5528-29 et Sounan Abou Daoud (Traduct. anglaise), vol.3, p. 1099, no. 3911.]
De ce fait, le Prophète ne confirmait pas l'existence des mauvais présages. Il désignait seulement les domaines où ils étaient le plus susceptibles de se réaliser, si jamais ils avaient été réels. La raison pour laquelle, ces trois domaines ont été identifiés provient de la fréquence des dégâts qui y sont attachés, du fait qu'en ce temps là, ils constituaient les trois pôles les plus importants de la vie d'un homme.
Par conséquent, le Prophète a prescrit certaines invocations protectrices lorsqu'on prend possession de l'un de ces domaines ou que l'on y entre. Le Prophète a dit :
"Si l'un d'entre vous prend une femme ... il doit lui saisir le toupet, mentionner le nom d'Allah, Le Plus Glorieux, invoquer Sa bénédiction puis dire : Allahomma Inni as-alouka khayraha oua khayra ma jabaltaha alayhi oua aoudhou bika min charriha oua i charri ma jabaltaha alayhi. Ô Allah, je Te demande le meilleur de ce qu'il y a en elle et le meilleur de ce vers quoi Tu l'as prédisposée et je me réfugie auprès de Toi du mal qu'il y a en elle et du mal vers lequel Tu l'as prédisposée. [...] " [Rapporté par 'Amr Ibn Chou'ayb et recueilli par Abou Daoud (Sounan Abou Daoud (traduc. anglaise), vol. 2, p. 579, no. 2155) et Ibn Majah.]
II a été aussi rapporté que le Prophète a dit que si l'un d'entre nous entre dans une maison il doit dire: Aoudhou bikalimatillahi at-Tammati min charri ma khalaq - "Je cherche refuge auprès des mots parfaits d'Allah contre le mal qu'il a créé." [Rapporté par Khawlah Bint Hakim et recueilli par Recueilli par Mouslim ( Sahih Mouslim (traduc. anglaise), vol. 4, p. 1421, no. 6521).]
La tradition orale qui va suivre paraît aussi appuyer les présages. Anas Ibn Malik , citant Yahya Ibn Saïd a dit qu'une femme est allée voir le Messager d'Allah et lui a dit: "Ô Messager d'Allah, il y a une maison dont les habitants étaient nombreux et leur richesse abondante. Ensuite leur nombre diminua et leur richesse disparût. Peut-on la quitter ?" Le Prophète répondit: "Quittez-la car elle est maudite par Allah. " [Recueilli Abou Daoud (Sounan Abou Daoud (traduc. anglaise), vol. 3, pp. 1099-1100, no. 3913) et Malik (Mohamed Rahimouddine, Mouwatta al Imam Malik (Traduc. anglaise), (Lahore: Sh. Muhammad Ashrah, 1980), p. 413, no. 1758).]
Le Prophète les a informés que quitter la maison n'était pas une forme de Tiyara puisque l'endroit est devenu pour eux un fardeau psychologique du fait de leurs malheurs et de leur solitude. Il s'agit là d'un sentiment naturel qu'Allah a consigné dans l'homme.
D'une manière générale, l'être humain tend à détester les endroits et les choses qu'il associe à un malheur qui s'est abattu sur lui et il a tendance à vouloir s'en éloigner le plus possible, même si en définitive l'objet ou l'endroit n'ont pas été à l'origine du malheur. On devrait aussi relever que la requête de quitter la maison a été faite après qu'elle ait été affligée par des événements malheureux et non avant. Il est correct de référer à un endroit ou à des personnes comme étant maudits par Allah du fait des malheurs qui s'abattent sur eux; Maudits dans le sens où ils ont été punis par Allah pour quelque mal qu'ils ont fait. De la même manière, l'homme à tendance à aimer et à vouloir être proche de tout ce qui lui apporte succès et bonne fortune. Ce sentiment n'est pas en soi de la Tiyara, bien que, lorsque mal placé, il puisse mener à la Tiyara et au Shirk. La transition s'opère lorsqu'un individu essaye d'éviter des endroits ou des choses où d'autres personnes ont eu des malheurs ou lorsqu'il essaye avidement de rechercher ce qui a déjà porté chance à d'autres que lui. Il commence alors à attribuer la chance et la malchance aux choses et aux endroits en tant que tels et peut même, à la longue, y pratiquer certains actes d'adoration.
Fal (Bonne augure)
Anas a rapporté que le Prophète a dit: "Il n 'y a ni contagion*, ni Tiyara, mais j'aime le Fal" les compagnons demandèrent alors, "Qu 'est-ce que le Fal ?" Il répondit : "Une bonne parole" [Recueilli par al-Boukhari (Sahih al-Boukhari (Arabe anglais), vol. 7, p. 436, no. 651) et Mouslim (Sahih Mouslim (traduc. anglaise), vol. 4, p. 1208, no. 5519). Voir aussi Sounan Abou Daoud (traduc. anglaise), vol. 3, p. 1098, no. 3906.]
[* Dans une autre narration rapportée par Abou Hourayrah et recueillie par al-Boukhari et Mouslim , dans laquelle le Prophète a nié l'existence de contagion, un bédouin demanda: "Ô messager d'Allah, que dis-tu du cas d'un troupeau de chameaux en santé dans le désert, qui lorsqu 'un chameau malade arrive parmi eux, deviennent tous malades à cause de ce dernier ?" Le Prophète répliqua: "Alors qui a infecté le premier ?" (Sahih al-Boukhari (Arabe anglais), vol. 7, p. 411-12, no. 612) et (Sahih Mouslim (traduc. anglaise), vol. 4, p. 1206, no. 5507). Voir aussi Sounan Abou Daoud (traduc. anglaise), vol. 3, p. 1097, no. 3907. Le Prophète nie, ici, la contagion basée sur des croyances pré-islamiques selon lesquelles sa cause était attribuée à des esprits et à des dieux en dehors d'Allah.]
Reconnaître de mauvais présages dans les événements indique de mauvaises pensées à propos d'Allah et la présence d'idées entachées de Shirk. Bien que le fait de croire aux bons présages tende à être d'une approche plus positive envers Allah , cette croyance entraîne le Shirk d'affecter des pouvoirs divins aux choses créées. C'est pour cette raison que les Sahaba furent très surpris lorsque le Prophète a exprimé une inclination pour le Fal, qui est un bon présage. Cependant le Prophète a défini, à leur intention, où devait s'arrêter le Fal pour qu'il soit islamiquement acceptable. Il s'agit de l'usage de termes optimistes. Par exemple surnommer "Salem" (bien portant) une personne malade ou surnommer "Wajid" (celui qui trouve) une personne qui aurait perdu quelque chose. L'usage de ces termes et de termes similaires ranime l'espoir et l'optimisme chez ceux qui sont frappés d'infortune et produit chez eux un sentiment de bien-être. Il est demandé aux croyants de maintenir un optimisme de tout temps envers Allah. [Taysir al-Aziz al Hamid, pp. 434-5.]
Le jugement islamique à propos des présages
À partir des Hadith susmentionnés, on peut voir clairement que la Tiyara réfère au fait de croire aux présages d'une manière générale. Le principe de projeter la bonne ou mauvaise fortune de quelqu'un à partir du mouvement des oiseaux a été rejeté dans sa totalité par la Sunna du Prophète . Les anciens arabes tiraient des présages des oiseaux, d'autres nations vont chercher leurs présages ailleurs; mais le principe mis en jeu est le même. Souvent, lorsqu'on identifie l'origine des présages, le Shirk qui y est contenu devient encore plus évident. Nous présentons ci-après quelques-uns des innombrables présages que l'on observe à l'heure actuelle dans la société occidentale.
Toucher du bois: Lorsque quelqu'un est content de ce qui lui arrive et qu'il espère que sa chance ne va pas tourner, il dit: "Touchons du bois" et regarde autour de lui à la recherche d'un morceau de bois pour le toucher. L'origine de cette croyance remonte au temps où les gens en Europe croyaient que des dieux vivaient dans les arbres. Pour demander une faveur au dieu arbre, ils avaient pour habitude de toucher l'arbre. Si leur voeu se réalisait, ils touchaient l'arbre à nouveau en guise de remerciement au dieu.
Déverser du sel: Bien des gens pensent que si l'on déverse du sel un malheur s'abattra bientôt. Alors, dans le but de contrer cela, ils jettent le sel déversé par dessus leur épaule gauche. L'origine de ce présage réside dans la capacité du sel à préserver les aliments. Les anciens pensaient que cela était dû à un pouvoir magique du sel. Ainsi déverser du sel devint une mise en garde contre un mal. Comme on pensait que les esprits du mal vivaient de notre côté gauche, jeter le sel déversé par dessus l'épaule gauche était censé apaiser les mauvais esprits.
Briser un miroir: De nombreuses personnes pensent que briser accidentellement un miroir est un signe annonçant sept ans de malheur. Les gens anciens pensaient que leur reflet sur l'eau représentait leur âme. Donc si la réflexion de leur image venait à être détruite (comme lorsqu'on jette un caillou dans l'eau), leur âme était alors également détruite. Lorsque l'on fabriqua des miroirs, cette croyance fut étendue pour les inclure.
Les Chats noirs: Lorsqu'un chat noir croise notre chemin, cela annonce, pour beaucoup, une malchance prochaine. Cette croyance remonte au Moyen âge lorsque les gens croyaient que les chats noirs étaient les animaux de compagnie des sorcières. Les sorcières étaient supposées préparer des potions magiques en mélangeant des cervelles de chats noirs et des morceaux de crapauds de serpents et d'insectes. Si le chat noir d'une sorcière vivait sept ans sans finir dans une potion, il était censé se transformer en sorcière.
Le chiffre 13: Aux Etats-Unis, le chiffre 13 est considéré comme porte-malheur; et dans la plupart des immeubles à appartements, le 13ème étage est appelé 14eme étage. Le vendredi 13 est considéré est considéré comme particulièrement malchanceux et beaucoup de gens évitent de voyager ou de prendre des engagements spéciaux ce jour là. Si quoi que ce soit de mauvais leur arrive ce jour là, ils l'attribuent immédiatement à la journée en question. Ce phénomène n'est pas restreint au petit peuple comme on pourrait faussement le croire.
Par exemple, le commandant de bord de la mission lunaire Apollo de 1970, qui a frôlé le désastre, a expliqué à son retour sur Terre qu'il aurait dû savoir que quelque chose allait arriver. Lorsqu'on lui demanda pourquoi, il répondit que le vol avait eu lieu un vendredi 13, que la mise à feu s'était effectuée à 13:00 heures et que le numéro du vol était Apollo 13. L'origine de cette croyance remonte au dernier souper de Jésus, tel qu'il en est fait mention dans la Bible. Au dernier souper, il y avait 13 personnes. L'un des treize était Judas, l'homme qui aurait trahi Jésus. Le vendredi 13 est censé être particulièrement malchanceux pour deux raisons au moins. Premièrement Jésus est supposé avoir été crucifié un vendredi. Deuxièmement, selon une croyance médiévale, le vendredi est le jour où les sorcières tenaient leurs réunions.
Dans toutes ces croyances, la capacité d'Allah de causer la chance et la malchance se trouve partagée avec Sa création. De même, les sentiments de peur du malheur et d'espoir que des événements heureux surviennent, qui ne doivent être investis qu'en Allah, sont investis en dehors de Lui. De plus on prétend accéder à la connaissance du futur et de l'invisible, caractéristiques exclusives d'Allah. Allah a clairement fait référence à cela dans Son attribut de Alim al Ghayb "Connaisseur de l'invisible". Allah a même fait avouer au Prophète dans le Coran que s’il avait eu connaissance du côté futur de l’invisible, il aurait pu éviter tout malheur. [Sourate 7 – Verset 188]
Par conséquent, croire aux présages constitue clairement un acte de Shirk en contradiction avec tous les aspects majeurs du Tawhid. Ce jugement est davantage renforcé par le Hadith rapporté par Ibn Mas'oud dans lequel le messager d'Allah a dit: "La Tiyara est du Shirk". [Recueilli par Abou Daoud (Sounan Abou Daoud (Traduc. anglaise), vol. 3, pp. 1096-7, no. 3901), at-Tirmidhi et Ibn Majah.]
Abdullah Ibn 'Antre Ibn al-'As a également rapporté que le Prophète a dit: "Quiconque s'empêche de faire quelque chose par Tiyara, s'est rendu coupable de Shirk !" Les compagnons demandèrent : "Quelle est alors la manière de s'en repentir? " II répondit : "Dites « Allahomma la khayra illa khayrok oua la tayra illa tayrok oua la ilaha ghayrok » - « Ô Allah, il n'y a de bien que Ton bien, il n'y a d'oiseaux que Tes oiseaux et il n'y a aucun Dieu excepté Toi. » [Recueilli par Ahmad et at-Tabarani.]
Les Hadith précédents indiquent clairement que la Tiyara (présage) n'était, en aucun cas, limitée au vol des oiseaux et qu'elle inclut toutes les formes de croyance aux présages. Ces croyances prennent des formes différentes d'un endroit à l'autre et d'une période historique à une autre, mais elles ont toutes le Shirk pour dénominateur commun.
De ce fait, les musulmans sont dans l'obligation d'éviter soigneusement tous les sentiments qui prennent leur source dans ces croyances. S'ils se surprennent en train d'agir inconsciemment selon de telles croyances, ils doivent chercher refuge auprès d'Allah et réciter le Dou'a (invocation) mentionnée auparavant. Cette question peut sembler insignifiante et on peut se demander pourquoi on en fait grand cas.
L'islam cependant met l'accent sur ce domaine, car il représente la graine qui pourrait, en se développant, donner naissance au Shirk majeur. Historiquement, l'adoration des idoles, le culte voué à des êtres humains, à des étoiles, etc., n’a pas surgi spontanément. De telles idolâtries se sont développées sur de longues périodes. Parallèlement à la lente érosion de la foi de l'homme en l'unité d'Allah, la graine du Shirk majeur prenait racine et se développait.
C'est pourquoi l'islam, en nous indiquant le chemin dans tous les aspects de la vie humaine, tente d'arracher les pousses des mauvaises graines avant qu'elles ne prennent racine et qu'elles ne détruisent la fondation même de la foi d'un musulman.
http://www.sajidine.com/dogme/association/presages.htm

Certaines personnes, parmi lesquelles des athés, affirment que les prophètes et messagers se trompaient comme tous les êtres humains, et ils citent à ce propos l'assassinat de Habil fils d'Adam par Qabil et l'audition par David de la déposition de l'un des deux anges « adversaires » sans entendre la déclaration de l'autre..l'histoire de Jonas avalé par le poisson , l'histoire du Messager (bénédiction et salut soient sur lui) avec Zayd ibn Haritha et sa dissimulation d'un sentiment qu'il devait manifester,son histoire avec des Compagnons à qui il avait dit: vous connaissez mieux vos affaires de ce bas monde: une reconnaissance de son erreur dans ce domaine,enfin son histoire avec l'aveugle évoquée dans ces versets: « Il s' est renfrogné et il s' est détournéparce que l' aveugle est venu à lui.. » (Coran,80 :1-2) Est-ce que les prophètes et messagers pouvaient se tromper réellement?
Oui,les prophètes et les messagers se trompaient.Mais Allah ne laissait pas passer leurs fautes.Il les corrigeait par pitié pour leurs communautés,leur pardonnait et acceptait leur repentir par Sa grâce et Sa miséricorde.Car Allah est pardonneur et clément.
L'imam Ibn Taymiya a dit: " Le propos qui assure que les Prophètes sont préservés de commettre les péchés capitaux sans être préservés des péchés véniels est le propos de la grande majorité des Oulémas et de toutes les communautés musulmanes ! C'est le propos des Achâariyines, des Oulémas du Tafsir, du Hadith et des Foukahas. Il ne nous a été rapporté de nos prédécesseurs - des imams, des Compagnons du Prophète et de leurs adeptes - que ce qui confirme ce propos. " Les preuves qu'ils peuvent commettre des péchés véniels sans être approuvés sont les suivantes :
1/ Allah dit à propos d'Adam: " Adam désobéit ainsi à son Seigneur et il s'égara. Son seigneur l'a ensuite élu, agréé son repentir et l'a guidé. " (Sourate 20/verset 121,122)
2/ Allah dit à propos de Moïse: " Il dit: " Seigneur, je me suis fait du tort à moi-même; pardonne-moi. " Et Il lui pardonna. C'est Lui vraiment le Pardonneur, le Miséricordieux. " (Sourate 28/verset 16)
3/ Allah dit à propos de David: " Et David pensa alors que nous l'avions mis à l'épreuve. Il demanda donc pardon à son Seigneur et tomba prosterné et se repentit. Nous lui pardonnâmes. Il aura une place proche de nous et un beau refuge. " (Sourate 38/verset 24,25)
Le péché de David était de s'être empressé dans son jugement avant d'avoir écouté la partie adverse.
Il y a aussi notre Prophète à qui Allah le Très Haut reproche des choses qu'Il a citées dans le Coran ! Parmi elles: Ce verset: "O Prophète ! Pourquoi en recherchant l'agrément de tes femmes, t'interdis-tu ce qu'Allah t'a rendu licite ? Et Allah est Pardonneur, Très Miséricordieux. " (sourate 66/verset 1)
Comme il lui a reproché le problème des prisonniers de " Badre " (8/66,67) et l'histoire d'Ibn Oummi Maktoum (80/1à11) !
Il se peut que certains gens désavouant cela, veuillent interpréter les textes du Coran et de la Sunna et les dénaturer. Ce qui les pousse à ce propos ce sont deux suspicions (présomptions).
La première : Allah nous a ordonné de suivre ces Messagers et de les prendre comme exemple. L'ordre de les suivre nécessite que tout ce qui émane d'eux soit sujet à suivre, et que tout acte ou croyance émanant d'eux soit une obéissance. Or s'il est permis au Messager de commettre un péché alors ce serait une contradiction! Car cela exigerait que se réunisse dans ce péché commis par le Messager l'ordre de le suivre et de l'accomplir - puisque nous sommes contraints de prendre exemple sur lui - et le fait qu'il nous soit interdit de l'admettre puisque c'est un péché !! Cette présomption est exacte si le péché était caché et non pas flagrant de sorte qu'il s'entremêlerait avec l'obéissance ! Néanmoins Allah Le Très Haut prévient chaque fois ses Messagers, leur éclaircit leur désobéissance et leur facilite le repentir sans le moindre retard.
La deuxième: Les péchés sont un défaut et réfutent la perfection. Ceci est vrai s'ils ne s'accompagnaient pas de repentir. Or le repentir efface le péché et ne contredit pas la perfection. Donc on ne peut adresser au fautif une quelconque réprimande. D'ailleurs l'homme dans la plupart des cas devient après son repentir meilleur qu'avant qu'il ne commette le péché.
L'un de nos pieux prédécesseurs disait: " David était meilleur (dans son obéissance) après le repentir qu'avant d'avoir péché. "
Un autre disait: " Si le repentir n'était pas la chose la plus aimable à Allah, Il n'aurait pas éprouvé par le péché la plus noble de Ses créatures."
Il est bien connu que chaque Prophète qui avait commis un quelconque péché, s'était empressé de se repentir et de demander pardon à Allah. Les Prophètes ne sont point approuvés dans leurs péchés et ne retardent point le repentir. Allah les a préservés de cela et ils sont après le repentir plus parfaits qu'ils ne l'étaient avant !
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Pour tous les amoureux, la fête de Saint Valentin est très populaire. On aime tous faire des cadeaux, se dire des mots doux, avoir une occasion d'avouer nos sentiments. L'amour a toujours été fêté, et cela depuis l'antiquité, si on pense aux Lupercales, les fêtes romaines annuelles en l'honneur de Lupercus, qui sont considérées comme à l'origine de la Saint Valentin. Lupercus était le protecteur des champs et des troupeaux, et la fête qui avait lieu aux environ du 14 février était consacrée à l'amour et à la fécondité. C'étaient des fêtes païennes pendant lesquelles on chantait et on dansait pour s'attirer la grâce du dieu.
De nombreux historiens associent l'origine de la St Valentin aux lupercales romaines célébrées le 14 ou 15 février, qui étaient aussi l' occasion de trouver un jeune homme ou une jeune femme par l'intermédiaire d'une loterie organisée à cette occasion.
St. Valentin, fête des amoureux
En ce qui concerne l'identité propre de St Valentin, considéré aussi le patron des amoureux, les historiens ne sont pas d'accord sur le sujet, car il y aurait 7 saints chrétiens prénommés Valentin célébrés le 14 février. Il y a plusieurs versions en ce qui concerne l'histoire de la vie de Saint Valentin. On pense que le St Valentin de l'amour, l'ami aussi des enfants, est le prêtre Valentin emprisonné et décapité un certain 14 février, parce qu'il refusait de sacrifier à leurs dieux.
On dit que les enfants, qui aimaient bien leur ami, lui passaient des messages à travers les barreaux de sa cellule. C´est peut-être l'explication des petits mots doux qu´on échange, avec des fleurs et des cadeaux, le 14 février.
D'autres considèrent que Saint Valentin, à une époque où Rome était engagée dans des campagnes militaires sanglantes, bénissait les mariages des couples interdits par l'empereur Claude. L'empereur pensait que l'amour était la cause de sa pénuerie de soldats, car les hommes préféraient de rester à la maison, avec leurs femmes ou leurs bien aimées au lieu d'aller guerroyer. La légende raconte qu'avant d'être torturé et décapité un 14 février, il offrit à la fille de son gardien des feuilles rappelant la forme d'un cœur et signées « De ton Valentin ». Cette formule serait donc à l'origine des voeux présentés sur les cartes de Saint Valentin. Plus tard, afin d'honorer son sacrifice pour l'amour Valentin a été canonisé.
On dit aussi que le 14 février, les jeunes filles essayaient de deviner qui serait leur futur époux. Pour cela, elles devaient observer les oiseaux : si elles voyaient un rouge-gorge, elles épouseraient un marin , un moineau signifiait un mariage heureux avec un homme peu fortuné et un chardonneret, un mariage avec un homme riche.
http://www.navi-mag.com/tout-savoir-sur-l-origine-de-la-saint-valentin-id-2033.html
1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité