« La science est plus méritoire que la prière », faisait remarquer le Prophète ; « un seul homme de science – ajoutait-il – a plus d’emprise sur le démon, qu’un millier de dévots ». « Les homme de science sont les héritiers des Prophètes dont le seul patrimoine légué au monde est précisément la science ».
L’islam selon sa charia incite donc à l’étude et à la recherche dans tous les domaines afin d’accumuler toutes les sciences fondamentales, toutes les techniques et les beaux-arts censées faciliter la vie et la rendre toujours plus commode et toujours plus belles sans toutefois rien corrompre. Méditons à ce propos ces deux versets dont voici le sens :
- « Nous avons pourvu la terre d’une beauté, afin de les éprouver (soit les hommes) qui d’entre eux sont les meilleurs en bonnes œuvres » (verset 7 chap.18)
- « Dis: "Qui a proscrit l’ornement d'Allah, qu’Il a produit pour Ses sujets, ainsi que le licite en nourritures ?" Dis: "Elles sont destinées à ceux qui ont la foi, dans la vie ici-bas, et exclusivement à eux au Jour de la Résurrection. " Ainsi exposons-Nous clairement les versets pour les gens qui savent. » (Verset 32 chap.7)
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… Allah a assigné une mesure à chaque chose. (Sourate at-Talaq, 3)
Celui Qui a créé sept cieux superposés sans que tu voies de disproportion en la création du Tout Miséricordieux. Ramène [sur elle] le regard. Y vois-tu une brèche quelconque? Puis, retourne ton regard à deux fois: le regard te reviendra humilié et frustré. (Sourate al-Mulk, 3-4)
Celui à Qui appartient la royauté des cieux et de la terre, Qui ne S'est point attribué d'enfant, Qui n'a point d'associé en Sa royauté et Qui a créé toute chose en lui donnant ses justes proportions. (Sourate al-Furqane, 2)
LE NOMBRE D’OR SUR LE VISAGE DE L’HOMME
• Le rapport de la largeur totale des deux incisives de la mâchoire supérieure à leur hauteur
• Le rapport de la largeur de la première dent depuis le centre à la seconde dent
• Le rapport de la longueur du visage à sa largeur
• Le rapport de la distance entre les lèvres et l'endroit où se rencontrent les sourcils, à la longueur du nez
• Le rapport de la longueur du visage à la distance entre le bout du menton et l'endroit où se rencontrent les sourcils
• Le rapport de la longueur de la bouche à sa largeur
• Le rapport de la largeur du nez à la distance entre les narines, donnent tous LE NOMBRE D’OR
L’EMPLACEMENT DU NOMBRE D’OR DE LA TERRE : LA MECQUE
LE RAPPORT DE LA DISTANCE DE LA MECQUE AU POLE NORD A SA DISTANCE AU POLE SUD DONNE LE NOMBRE D’OR : 1,618
LE RAPPORT DE LA DISTANCE DE LA MECQUE AU POLE SUD, A LA DISTANCE ENTRE LES DEUX POLES DONNE LE NOMBRE D’OR : 1,618
SELON LA CARTE MONDIALE DE LA LATITUDE ET DE LA LONGITUDE UTILISEE PAR TOUS POUR LA LOCALISATION, L’EMPLACEMENT DU NOMBRE D’OR EST LA MECQUE.
LE RAPPORT DE LA DISTANCE ENTRE LA MECQUE ET LA LIGNE DU SOLSTICE PAR L'OUEST, A LA DISTANCE ENTRE LA MECQUE ET LA LIGNE DU SOLTICE PAR L'EST DONNE LE NOMBRE D’OR : 1,618
LA DISTANCE DE LA LIMITE OUEST DE LA MECQUE A LA LIGNE DU SOLSTICE PAR LA CIRCONFERENCE DE LA TERRE PRISE AU NIVEAU DE CETTE LATITUDE DONNE LE NOMBRE D’OR : 1,618
LE NOMBRE D’OR DANS LE VERSET OU LA MECQUE EST MENTIONNEE :
IL N’Y A QU’UN VERSET DANS LE CORAN DANS LEQUEL LE MOT "MECQUE" EST UTILISE :
SOURATE AL IMRAN, VERSET 96 :
La première Maison qui a été édifiée pour les gens, c'est bien celle de Bakka (la Mecque) bénie et une bonne direction pour l'univers.
LE NOMBE TOTAL DES LETTRES DANS CE VERSET EST DE 47. LORSQUE NOUS DIVISONS LE NOMBRE DES LETTRES PAR LE NOMBRE D’OR, NOUS VOYONS QUE LE RESULTAT INDIQUE LA MECQUE.
47/1,618 = 29
IL Y A 29 LETTRES DU DEBUT DU VERSET JUSQU’AU MOT "MECQUE".
SELON LES MESURES EFFECTUEES AVEC LE COMPAS DE LEONARDO SUR UNE CARTE DU MONDE, LA VILLE DE LA MECQUE SE TROUVE DANS LA REGION DU NOMBRE D’OR DE L’ARABIE ET LA KAABA DANS LA REGION DU NOMBRE D’OR DE LA MECQUE.
Cette proportion extraordinaire qui domine partout sur terre est une très grande preuve qu’Allah a créé tout selon un ordre, une mesure, une symétrie et une perfection. Cette preuve importante suffit à éliminer par elle-même toutes les assertions darwinistes. L’univers entier qui est une manifestation des œuvres sublimes et sans pareil d’Allah, est un signe qui conduit à la foi. Il n’y a aucun doute qu’Allah crée cet art magnifique. Il est puissant et capable d’en créer un autre supérieur et encore plus inimitable .
Haroun Yahya
L'information... Ce concept signifie aujourd'hui beaucoup plus que ce qu'il signifiait il y a un demi-siècle. Les scientifiques développent des théories pour définir l'information. Les sociologues parlent de "l'âge de l'information". L'information est devenue une notion très importante pour l'humanité.
Les biologistes évolutionnistes ne se sont pas rendus compte qu'ils travaillent dans deux domaines plus ou moins incommensurables: celui de l'information et celui de la matière… Le gène est un paquet d'information, pas un objet... Dans la biologie, quand vous parlez des termes comme des gènes, des génotypes et des patrimoines génétiques, vous parlez de l'information, non pas de la réalité physique objective... C manque de descripteurs partagés fait de la matière et de l'information deux domaines séparés d'existence, qui doivent être discutés séparément, en leurs propres termes.1
Une chose que je fais dans les classes pour expliquer cette idée aux étudiants est de leur présenter deux disques d'ordinateur. L'un contient un logiciel, l'autre est vide. Et je leur demande, "Quelle est la différence en masse entre ces deux disques d'ordinateurs à la suite de la différence dans le contenu de l'information qu'ils possèdent?" Bien entendu, la réponse est zéro, nulle, il n'y a aucune différence à la suite de l'information. C'est parce que l'information est une quantité sans masse. L'information n'est pas une entité matérielle.Alors, comment une explication matérialiste peut-elle décrire son origine? Comment une cause matérielle peut-elle expliquer son origine?... Cela crée un défi fondamental aux scénarios évolutionnistes matérialistes.Au 19ème siècle, nous avons pensé qu'il y avait deux entités fondamentales de la science: la matière et l'énergie. Au début du 21ème siècle, nous reconnaissons maintenant qu'il y a une troisième entité fondamentale, et c'est l'information. Elle n'est pas réductible à la matière; elle n'est pas réductible à l'énergie. 2
La dualité réelle à chaque niveau de la biologie est la dualité de la matière et de l'information. Les philosophes de l'esprit ne comprennent pas la vraie nature de l'information parce qu'ils supposent qu'elle est produite par un processus matériel (c'est-à-dire darwinien) et par conséquent, qu'elle n'est pas fondamentalement différente de la matière. Mais c'est simplement un préjugé qui disparaîtrait par la pensée impartiale.3
Un système de codage entraîne toujours un processus intellectuel immatériel. Une matière physique ne peut pas produire un code de l'information. Toutes les expériences prouvent que chaque morceau d'information créatrice représente un certain effort mental et peut être attribué à un donneur d'idée qui a exercé sa propre volonté libre, et qui est doté d'une intelligence... Il n'y a pas de loi connue de la nature, de processus connu et de succession connue d'événements qui peut mener l'information à créer la matière...4
Une seule conscience, une sagesse universelle, est répandue dans l'univers. Les découvertes de la science, qui recherchent la nature quantique de la matière subatomique, nous ont menés à une réalisation ébouriffante: toute l'existence est l'expression de cette sagesse. Dans les laboratoires, nous l'éprouvons comme l'information qui s'est d'abord physiquement articulée en tant qu'énergie et qui s'est ensuite condensée en forme de la matière. Chaque particule, chaque être, de l'atome à l'homme, semble représenter un niveau de l'information, de la sagesse. 5
Jul 19, 2005
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Le miel fait, dans ces deux dernières années, l’objet de plusieurs recherches et publications, ce qui n’était pas le cas il y a quelques décennies. Presque, chaque semaine, une étude est publiée en ce sujet, dans des revues de grande renommée. Dans le Coran, Dieu, dont le nom est béni et exalté, dit « [Et voilà] ce que ton Seigneur révéla aux abeilles : "Prenez des demeures dans les montagnes, les arbres, et les treillages que [les hommes] font. 69. Puis mangez de toute espèce de fruits, et suivez les sentiers de votre Seigneur, rendus faciles pour vous. De leur ventre, sort une liqueur, aux couleurs variées, dans laquelle il y a une guérison pour les gens. Il y a vraiment là une preuve pour des gens qui réfléchissent. » Sourat des abeilles 16, verset 68 et 69. D’autres nombreux Hadith, dans la Sounat, viennent mieux dévoiler les différentes qualités et caractéristiques du miel, notamment dans le domaine médicinal. Ibn Abass rapporte que le Prophète lui a dit : « la guérison réside dans 3 choses : une gorgée de miel, une scarification, ou un point de feu ; et je défend ma communauté du feu » Boukhari. Egalement, Ibn Massoud lui rapporte ce que lui a dit le Prophète : « contentez-vous des deux remèdes, le miel et le Coran » IbnMajah et Elhakim. D’une autre part, les recherches scientifique récentes démontrent, de plus en plus, les qualités du miel dans différents domaines. Parmi les plus récentes de ces recherches, celles d’un enseignant à l’Université de Waikato en Newzeland, le Professeur Peter Molan, qui a investi avec ses collaborateurs 20 ans environs de recherche sur le miel, et qui a fini par publier des dizaines d’articles à ce sujet, dans des revues médicales les plus mondialement recommandées. Le dernier article fut publié en Avril 2003. Cependant, il n’est pas le seul. D(autre chercheurs ont consacré leur travaux à cette substance, et fini par publier de nombreux articles qui ne manquent pas d’intérêt. Certes, le miel était depuis l’antiquité un bon remède pour un ensemble de maladies, et ses effets sur la longévité et la bonne santé étaient très connus. Ne serai-ce comme preuve que l’état de santé quasi parfait des élévateurs d’abeilles. L’histoire elle-même nous rapporte un certains nombre de personnes, célèbres, d’une longévité remarquable, et qui avaient, pour secret, un régime alimentaire à base de miel. Vitagor , à titre d’exemple, mangeait le pain et le miel régulièrement. Son âge dépassait 90 ans. Le grand maître de la médecine Hypochrate, dont l’âge était de plus de 108ans, avait pour repas quotidien le miel. Les exemple sont nombreux. Mais, on est en droit de se demander : les musulmans avancent que le Coran parles des remèdes contenus dans le miel, tout en sachant que de nombreuse nations, tels les Pharaoniens, les Grecs, les Romans.. l’utilisaient autant que remède, et qu’il fut déjà cité dans les autres Livres Saints ; en quoi donc consiste la nouveauté dans le Coran et où ce miracle résides t-il donc ? La réponse s’éclaircit dans les 3 points suivants : 1- Dieu ne cite pas le miel explicitement, mais parle de ce qui sort du ventre des abeilles. Toute le liberté donc, est à l’homme d’étudier les excrétions des abeilles, à savoir, le miel, l’alimentation royale, la cire, voire le poison.., de connaître leur caractéristiques et d’analyser leurs compositions. C’est l’étape de connaissance. 2- Toutes ces substances, citées si-dessus, sont des remèdes. Sans une analyse de près, l’homme serait incapable d’attribuer chaque maladie à son remède. Le Coran l’invite, de ce fait, à faire des recherches et des expériences sur ces substances pour en raffiner les connaissances et en tirer profit. C’est l’étape de l’expérimentation. 3- Le Coran annonce textuellement « une guérison pour les gens. Il n’a pas dit : remède pour tout le monde. Ce qui signifie que pas toutes les maladies vont être traitées par du miel, seulement certaines.
Ces trois petites remarques ont, pour point commun, l’invitation à méditer, à réfléchir et rechercher, qu’ouvre le Coran. C’est ici que réside le miracle. Car à la fin du verset, Dieu dit : « Il y a vraiment là une preuve pour des gens qui réfléchissent ». Voici à présent quelques extraits des publications faites au sujet du miel exposant différentes recherches réalisées et leurs résultats. a- les microbes ne résistent pas au miel : Tel est le titre d’un article publié dans la revue Lancet infect Dis, en Février 2003. dans cet article, le Dr Dixon confirme la grande efficacité du miel à contrôler, irrésistiblement, un grand nombre de microbes. Il finit par recommander le miel comme traitement des brûlures et des plaies. « tous les types de miel – rapporte le Pr Molan - ont un pouvoir anti-microbe, malgré que certains sont plus efficaces que d’autres. Le miel inhibe la croissance microbienne et désinfecte ainsi les plaies ». à le miel est un grand agent cicatrisant : C’est le titre d’un article publié dans J Wound ostomy Continence Nurs, en Novembre 2002 par le Dr Lasby, de l’Université de Charles Tsart, en Australie, qui dit : « Malgré que le miel étai utilisé comme remède traditionnel pour les plaies et les brûlures, sont introduction dans les protocoles thérapeutiques actuels était, pour longtemps, inconnues. ». Le Dr Kingsley, de l’hopital Devan, en Angleterre, dans un article publié en Br J Nurs, Decembre 2001, explique : « les médias ont tellement fait le point sur l’efficacité du miel dans le traitement des plaies, que les patients, en Angleterre, le réclament au près de leurs médecins en cas de plaie ». De nombreuses autres recherches ont démontré les propriétés anti-mircobiennes du mile in vitro. Au même titre, un grand nombre de recherche in vivo, on confirmé que l’utilisation du miel dans les plaies très inflammées, a permis le nettoyage des suppurations et la réduction du temps de cicatrisation. « le miel était – précise le Pr Molan, de l’Université de waikato en Newzeland – un élément de base dans le traitement des plaies, quelques siècles auparavant. Mais avec l’apparition des antibiotiques, il est devenu une « mode dépassée ». Malheureusement, la résistance aux antibiotiques ne cesse de se développer et demeure un grand problème médical. Ce qui a fait ré-surgir le miel dans le traitement de ces cas » . Bref, les études expérimentales, aussi bien in vitro qu’in vivo, ont confirmé que le miel possède de nombreuses propriétés : - efficacité anti-microbienne, - absence d’effet secondaire sur les tissus, - antiseptiques fort et puissant, - stimule les tissus responsables de la cicatrisation, - anti-inflammatoire et antalgique - diminue l’œdème et l’exsudation, - diminue les séquelles de cicatrisation, - son pH est ses effets osmotiques, jouent un rôle déterminant dans son efficacité anti-microbienne.
b- le miel inhibe la bactérie : Pseudomonas aeruginosae : Ceci est rapporté par le Dr Cooperen guise d’introduction à son étude, publiée dans la revue J Bur Care Rehabil, en Décembre 2002 : « En l’absence d’un traitement parfait des brûlures suppurées dont l’agent est Pseudomonas aeruinosea, la recherche d’autres moyens thérapeutiques plus efficace s’imposes ». Certaines études récentes parlent du miel, connu d’ailleurs pour son utilisation ancienne, autant qu’agent anti-pseudomonas. C’est ainsi que le Dr Cooper et ses collaborateurs, de l’Université de Kardief, en Angleterre, ont évalué la sensibilté de 17 sous-types de Pseudomonas, prélevées au niveau de brûlures suppurées, à deux types de miel : le miel « pasture » et « manuka ». tous les sous-types lui étaient sensibles à une concentration inférieure à 10% (g/ml). En plus, les 2 types de miel ont gardé la même efficacité, même après dilution à une concentration dix fois moins. Conclusion : le miel, par ses effets anti-microbes, est apte à être l’un des traitements efficaces des suppurations des brûlures dues à Pseudomonas aeruginosea. Une autre étude, publiée dans la revue J Appl Microbial, en 2002, confirme l’efficacité du miel comme traitement des brûlures suppurées par les bactéries Cocci Gram positif.
c- le miel est un bon pansement des plaies : Dans une étude, publiée dans la revue Ann Plast Surg, en Février 2003, qui a été effectuée sur 60 patients holandais atteint de différentes plaies profondes, classées en plaies chroniques (21 patient), plaies compliquées (23 patients), et plaies aiguës dues au rejet ( 16 patient). Dans cette étude, les chercheurs ont rapporté la facilité de l’utilisation du miel en application, chez tous les malades, à l’exception d’un seul cas, et que le miel a permis la désinfection des plaies, sans qu’aucun effet secondaire soit observé. Lesdits chercheurs ont souligné le nombre de médecins qui hésite encore à utiliser le miel, pour traitement local, sous réserve que son utilisation n’est pas confortable vu sa viscosité et sa collabilité. Aussi, le miel est-il conseillé pour son usage comme protecteur, sur les berges des incisions dans la chirurgie carcinologique. C’est ce que annonce un article des Arch Surgery, publié en 2002.
d- le mile est les brûrlures : A ce sujet, la revue Burns en 1996 à publiée une étude portant sur l’utilité du mile dans le traitement des brûlures. Sur deux groupes de 50 patients, atteints de brûlures ( chaque groupes est fait de 50 patient), le miel était utilisé dans le 1er groupe. Le 2ème était traité par l’application, sur les lésions, de portions de pomme de terre bouillies ( comme élément naturel non pathogène : placebo). Le résultat de cette étude a montré que 90% des brûlures, traitées par du miel, sont devenues stériles dans 7 jours, et que le taux de cicatrisation complète, au bout de 15 jours, était de 100%. Alors que seulement 50% des patients du 2ème groupe ont cicatrisés en 15 jours.
e- le miel est riche en anti-oxydants : Les chercheurs ont comparé, dans une étude publiée en Mars 2003, dans la revue J Agric Food Chem, entre la consommation de 1,5 g/Kg du poids du corps, du miel et la même quantité du jus du maïs. Ils ont comparé l’effet de ces deux éléments sur l’activité anti-oxydative. Le contenu plasmatique en anti-oxydants phénoliques était nettement supérieur après consommation du miel, par rapport au jus du maïs. L’étude a également signalé l’efficacité des anti-oxydants phénoliques, contenus dans le miel, qui permet à l’organisme d’augmenter sa résistance au stress oxidatif. Il est estimé que le citoyen américain consomme, annuellement, plus de 70 Kg des édulcorants. L’utilisation du miel, comme alternative à ces édulcorants, améliorerais mieux le système anti-oxydant au sein de l’organisme humain. Telle est la recommandation que fait le Pr Schramm, le miel au lieu des édulcorants. Dans une autre étude, réalisée en France et publiée dans la revue J Nutr, en Novembre 2002, on a administré à des rats, une alimentation contenant 65g d’amidon, sous forme d’amidon du blé, ou un mélange de fructose et du glucose ; en opposition à une autre alimentation contenant du miel. Les chercheurs ont constaté que les rats, alimentés par du miel, avaient un niveau d’anti-oxydants supérieur, et que le leur cœurs étaient moins exposés à l’oxydation des lipides. D’autres études pour mieux comprendre les mécanismes de ces propriétés anti-oxydatives s’avèrent nécessaires, ainsi commentent les chercheurs.
f- le miel et la santé buccale : Le Pr Molan a insisté, dans un article dans la revue Gent Dent, en Décembre 2001, sur le rôle que jouerait le miel dans le traitement des maladies de la gencive, ainsi que les ulcérations buccales et autres pathologies ; et ce, grâce à ses propriétés anti-bactériennes.
g- le miel dans le traitement des muscites post radiques : La revue Support Care Cancer a publié, en Avril 2003, une étude effectuée sur 40 patients, atteints de cancers dans la région cervicale et la tête, et nécessitant une radiothérapie. Les patients ont été partagés en 2 groupes. Le 1er groupe a reçu la cure de radiothérapie directement après diagnostic. Le 2ème groupe, a bénéficié, avant la cure de radiothérapie, d’une application locale du miel au niveau buccal. Les patients ont pris 20g de miel 15 minutes avant et après la cure, puis 6heures après la cure. L’étude a montré une baisse importante du taux de survenue de muscite chez les patients ayant utilisé du miel, ( 75% dans le 1er groupe, versus 20% dans le 2èmegroupe). La conclusion des chercheurs souligne que l’application du miel localement, au cours des séances de radiothérapie, est une méthode efficace et peu coûteuse, de prévenir les miscites post-radiques au niveau buccal. Une conclusion qui mérite, d’être confirmée par d’autres études multicentriques pour soutenir ces résultats.
h- le miel dans les affections de l’estomac et des intestins : Dans une étude publiée dans la revue Pharmacol Res en 2001, les chercheurs ont prouvé que le miel a bien, une place dans le traitement des gastrites (inflammation de l’estomac). Des lésions et des ulcérations ont été provoquées chez des rats, par l’administration d’alcool alors qu’un 2èmegroupe de rats ont reçu du miel, avant de leur administrer l’alcool. Il a été noté que le miel a protégé l’estomac des lésions que peut provoquer l’alcool. Une autre étude similaire a été publiée, en 1991, par la revue scandinave des maladies gastrologiques. Aussi, les chercheurs ont-ils procédé à tester l’efficacité du miel naturel sur la bactérie la plus communément connue pour son incrimination dans la pathogénie de l’ulcère gastrique, et les gastrites, appelée Helicobacter Pylori. Ils ont montré que l’administration d’une solution de miel concentrée à 20% a inhibé cette bactérie in vitro. Cette étude est publiée dans la revue Trop Gastroent en 1991. D’autres expériences sont nécessaires pour étudier cet effet chez l’homme. En lisant les hadiths du Prophètes, on s’apperçoit que le Prophète a parlé de cette propriété du miel. Dans un Hadith rapporté par Boukhari et Mouslim, un homme venant chez le Prophète et lui dit : Mon frère a une diarrhée. Le Prophète lui répondit : « donne-lui du miel ». Il lui en donna. Puis il revenu chez le Prophète et lui dit : je lui en ai donné, mais il n’a fait que aggraver sa diarrhée. Il répéta la scène à trois reprises. En venant une 4ème fois, le Prophète lui répondit encore : « donne lui du miel », il contesta : je lui en avait donné, il s’aggrave toujours. Le Prophète lui donc précisa : « Dieu a raison, alors que le ventre de ton frère lui, ment ». Il lui en donna, et il guérit. En effet, le fameux BM J a publié en 1985 une étude réalisée au près de 169 enfant atteints de gastro-entérite. 80 parmi eux, ont reçu le sérum glucosé associé à 50 ml de miel au lieu du glucose. Les chercheurs ont noté que la diarrhée, due à la gastro-entérite, a duré 93 heurs chez les enfants n’ayant pas reçu le miel ; alors que les bénéficiers de la cure du miel ont eu une durée moins (58heurs).
i- le miel a-t-il un rôle dans le traitement des colites (inflammation du colon) ? Telle est la question que se sont posées des chercheurs de l’Université d’Istomboule, et ont publié les résultats de leurs recherches dans la revue Dig Surg en 2002. Ils ont constaté que l’administration du miel par voie rectale a la même efficacité que le cortisone, chez des rats, aux quels une colite a été provoquée. Toutefois, cette étude reste à confirmer par d’autres contrôles. De même, la revue Eur J obstet Gynecol Repord Biol a publié, en Septembre 2002, une étude effectuée sur des rats ayants des lésions abdominales. Elle a montré que l’administration en intra péritonéal, du miel, a permis de réduire le taux de survenue d’adhésion péritonéale. Etude qui demeure encore au stade expérimentale seulement sur des rats. Le miel peut-t-il protéger contre les lésions inflammatoires du colon ? Cette question a fait l’objet d’une étude réalisée a l’Université du Roi Saoud , en Arabie Saoudite. Les chercheurs de cette Université ont procédé à provoquer des lésions au niveau du colon, chez des rats, par un acide. Ces rats ont reçu au préalable des doses du miel, du glucose et du fructose, par voie orale et rectale. Ils ont constaté que le miel a eu un rôle primordial de protection du colon contre l’agression de cet acide.
j- le miel et le cuir chevelu : En se basant sur les effets anti-microbiens, antifongiques et anti-oxydants du miel, un chercheur, le Dr Al Willis, a étudié l’effet du miel en traitement de la dermatite séborrhéique. Il a étudié 30 patients, 10 hommes et 20 femmes, atteints de cette maladie qui touche le scalpe, le visage et la partie antérieure du thorax ; avec un âge entre 15 et 60 ans. Les lésions dermatologiques, chez ces patients, étaient des squames blanches sur une surface érythémateuse. Les patients appliquaient une solution à base de miel (90% de miel dans de l’eau tiède) une fois tous les deux jours, sur les zones atteintes, notamment, le scalpe, le visage et le thorax, avec un massage de 2 à 3 minute, pour une durée de 3 heure avant de se rincer par de l’eau tiède. Un suivi quotidien de ces patients était établi, sur les critères de prurit, squames et chute de cheveux. Le traitement a duré 4 semaines, avec une bonne réponse ; les patients ne se plaignent plus de prurit ni de squames à partir de la 1ère semaine de traitement. Les autres lésions ont complètement disparu au bout de 2 semaines. Puis, la surveillance de ces patient a continué pendant 6 mois, avec une application une fois par semaine du miel sur les zones atteintes. Aucune rechute n’a été signalée chez les 15 patients qui n’ont pas arrêté le traitement. Tandis que les lésions ont réapparu chez 12 patients parmi les 15 qui ont arrêté le traitement. Le Dr Willis a conclu, en fin de son étude, que le miel, en traitement local, peut très bien, améliorer les symptômes de la dermatite séborrhéique, et empêche la survenue de rechute s’il est utilisé une fois par semaine.
Dieu dont le nom est béni et exalté a raison de dire : « De leur ventre, sort une liqueur, aux couleurs variées, dans laquelle il y a une guérison pour les gens. Il y a vraiment là une preuve pour des gens qui réfléchissent ».
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Et le Soleil court vers un gîte qui lui est assigné ; telle est la détermination du Tout-Puissant, de l'Omniscient. (Sourate Ya-Sin, 38)
Le Soleil émet de la chaleur depuis environ cinq milliards d’années grâce aux constantes réactions chimiques qui se produisent à sa surface. A un moment déterminé par Allah, ces réactions s’arrêteront et condamneront le Soleil à s’éteindre. Dans ce contexte, le verset cité plus haut semble être une référence au jour où le Soleil cessera de briller. (Allah est le plus Savant.)
Le terme arabe moustaqarrin dans le verset se réfère à un endroit ou à un moment précis. Le mot tajrî traduit par “court, du verbe courir” comprend les sens de “se mouvoir, agir promptement, se déplacer, circuler”. Cela signifie donc que le Soleil continuera sa course dans le temps et dans l’espace, jusqu’à un moment spécifique, prédéterminé. Le verset “Quand le Soleil sera obscurci” (Sourate at-Takwir, 1) décrit le Jour du Jugement, dont la date n’est connue que d’Allah.
Le terme arabe taqdîrou traduit par “détermination” dans le verset couvre plusieurs sens tels que “nommer, déterminer le destin, mesurer”. Le verset 38 de la sourate Ya-Sin nous informe que la durée de vie du Soleil est limitée, comme en a décidé Allah. D’autres versets du Coran le stipulent :
Allah est Celui Qui a élevé les cieux sans piliers visibles. Il S'est établi [istawa] sur le Trône et a soumis le Soleil et la Lune, chacun poursuivant sa course vers un terme fixé. Il règle l'Ordre et expose en détail les signes afin que vous ayez la certitude de la rencontre de votre Seigneur. (Sourate ar-Raad, 2)
Il fait que la nuit pénètre le jour et que le jour pénètre la nuit. Et Il a soumis le Soleil à la Lune. Chacun d'eux s'achemine vers un terme fixé. Tel est Allah, votre Seigneur : à Lui appartient la royauté, tandis que ceux que vous invoquez, en dehors de Lui, ne sont même pas maîtres de la pellicule d'un noyau de datte.(Sourate Fatir, 13)
Il a créé les cieux et la terre en toute vérité. Il enroule la nuit sur le jour et enroule le jour sur la nuit, et Il a assujetti le Soleil et la Lune à poursuivre chacun sa course pour un terme fixé. C'est bien Lui le Puissant, le Grand Pardonneur ! (Sourate az-Zumar, 5)
L’utilisation du mot mousamman dans les versets précédents montre que le Soleil a une durée de vie spécifique. Les analyses scientifiques consacrées à la mort du Soleil ont permis de comprendre qu’à chaque seconde quatre millions de tonnes de matière étaient convertis en énergie et que le Soleil finira par s’éteindre une fois que toute la matière sera consumée.1 La chaleur et la lumière émises par le Soleil correspondent à l’énergie dégagée à mesure que la matière se consume : les noyaux d’hydrogène se transforment en hélium par un processus de fusion nucléaire. L’énergie du Soleil et par conséquent sa vie même s’éteindront quand tout le combustible aura été épuisé. (Allah est certes le plus savant.) Un article intitulé “La mort du Soleil” par le service Sciences de BBC News contient le passage suivant :
… Le Soleil meurt progressivement. Tel le noyau d’une étoile qui s’écrase sur soi, il devient finalement assez chaud pour enflammer un autre de ses atomes composants : l’hélium. Les atomes d’hélium fusionnent pour former du carbone. Quand l’hélium s’épuise, le centre s’effondre encore et l’atmosphère se dilate. Le Soleil n’est pas d’envergure suffisante pour complètement enflammer à nouveau son noyau une troisième fois. Donc il continue à se dilater, évacuant dans son atmosphère une série d’explosions… Le noyau en extinction forme une étoile naine blanche – un diamant sphérique de la taille de la Terre, composé de carbone et d’oxygène. A partir de ce point, le Soleil commencera à produire une lumière de plus en plus terne jusqu’à s’éteindre complètement.2
Un documentaire également intitulé “La Mort du Soleil” diffusé par National Geographic TVdécrit :
Il génère la chaleur et nourrit la vie sur notre planète. Mais comme les êtres humains, le Soleil a une durée de vie limitée. A mesure que notre étoile vieillit, sa température augmente et donc elle se dilate, évaporant tous nos océans et tuant toute forme de vie sur la planète Terre… Le Soleil deviendra de plus en plus chaud en vieillissant et consumera le combustible plus rapidement. Les températures augmenteront, éradiquant toute vie animale, évaporant nos océans et tuant toute la vie végétale… Le Soleil gonflera jusqu’à devenir une étoile rouge géante, avalant les planètes proches. Son attraction gravitationnelle se réduira et peut-être la Terre y échappera. A terme il rétrécira à l’échelle d’une étoile naine blanche, émettant un faible éclat… 3
Les scientifiques n’ont démêlé que très récemment la structure du Soleil et ce qui s’y passe à l’intérieur. Avant cela, personne ne savait d’où le Soleil puisait son énergie ni comment il émettait de la chaleur et de la lumière. Or le Coran, dans sa sublime science, révéla il y a 1400 ans que cette masse géante d’énergie consumera toute son énergie avant de s’éteindre. Ce savoir appartient à notre Seigneur, l’Omniscient.
Un autre verset du Coran révèle :
Mon Seigneur embrasse tout dans Sa science. Ne vous rappelez-vous donc pas ?(Sourate al-An’am, 80)
........................
1 http://en.wikipedia.org/wiki/Sun
2 http://www.bbc.co.uk/science/space/stars/death/index.shtml
3 “Death of the Sun” (La mort du Soleil), National Geographic TV, 20 mars 2006, directeur : Rabinder Minhas, part no. 25, saison 3.
1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité