« La science est plus méritoire que la prière », faisait remarquer le Prophète ; « un seul homme de science – ajoutait-il – a plus d’emprise sur le démon, qu’un millier de dévots ». « Les homme de science sont les héritiers des Prophètes dont le seul patrimoine légué au monde est précisément la science ».
L’islam selon sa charia incite donc à l’étude et à la recherche dans tous les domaines afin d’accumuler toutes les sciences fondamentales, toutes les techniques et les beaux-arts censées faciliter la vie et la rendre toujours plus commode et toujours plus belles sans toutefois rien corrompre. Méditons à ce propos ces deux versets dont voici le sens :
- « Nous avons pourvu la terre d’une beauté, afin de les éprouver (soit les hommes) qui d’entre eux sont les meilleurs en bonnes œuvres » (verset 7 chap.18)
- « Dis: "Qui a proscrit l’ornement d'Allah, qu’Il a produit pour Ses sujets, ainsi que le licite en nourritures ?" Dis: "Elles sont destinées à ceux qui ont la foi, dans la vie ici-bas, et exclusivement à eux au Jour de la Résurrection. " Ainsi exposons-Nous clairement les versets pour les gens qui savent. » (Verset 32 chap.7)
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Nous allons voir à travers cette recherche quelques vérités scientifiques exposées par notre prophète à son époque et que la science moderne a prouvé par la suite ….
Les plus beaux instants que le croyant puisse vivre c’est quand il voit un miracle de la parole de son prophète. Vue qu’on est dans une époque de science et de découvertes scientifiques, on éprouve le besoin de chercher dans ses HADITHS ( les dires du prophète) qui prouvent sa bonne parole. Ce genre de recherche contribue à corriger l’image que les occidentaux ont du prophète de la miséricorde (Mohamed que le salut soit sur lui)
Première vérité
Le messager de dieu dit à ses compagnons : (Cette chose va atteindre ce qu’ont atteint la nuit et le jour) cela dit que l’Islam va se propager dans tout les coins de la terre. Effectivement les statistiques disent que l’Islam est présent dans le monde entier et qu’en l’an 2025, l’Islam sera la religion qui occupera la première place dans le monde. Cette affirmation n’est pas du tout exagérée du fait que ce sont des statisticiens non musulmans qui ont avancé des chiffres réels relatifs à cette propagation.
Des spécialistes en matière de statistiques affirment que l’Islam se propage avec une grande vitesse et qu’un grand pourcentage de musulmans existe dans tout les pays du monde .la question qu’on doit se poser : n’est-ce pas ça ce que le prophète nous a raconté ? (Que le salut d’ALLAH soit sur lui)
Deuxième vérité
Le miracle se situe dans le hadith suivant : le prophète que le salut d’ALLAH soit sur lui a dit :
La terre m’a été crée en lieu de prière et de purification (Raconté par Muslim)
Dans une nouvelle recherche, les scientifiques ont découvert l’existence des anticorps dans la substance de la terre et cette substance peut éliminer les plus dangereux des bactéries. Cela prouve que la terre est une matière purifiante.
Et dans une autre étude récente, les scientifiques affirment qu’il y’a quelques types de terres qui éliminent les plus résistantes des bactéries. Ils ont même fait plusieurs expériences et ont constaté à la fin que la terre peut éliminer toute une colonie de bactérie en 24 heures alors que la même colonie s’est multipliée 45 fois quand ils l’ont mise hors terre.
A partir de cette découverte les scientifiques pensent produire des anticorps soustraits de la matière de la terre pour chasser les bactéries les plus complexes.
S’est avéré récemment que la terre contient des anticorps et s’il n’y avait pas cette particularité purifiante, les virus et les moisissures tueraient tout sur cette planète à commencer par l’homme. Sauf que la miséricorde d’ ALLAH a fait exister cette substance purifiante dans la terre pour assurer la continuité de la vie. Est-ce qu’ ALLAH ne mériterait pas d’être glorifié et remercié pour tout ces dons ?
Troisième vérité
Le prophète a parlé avec précision d’une vérité scientifique qui n’a été observée que ces dernières années par les scientifiques eux-mêmes. Que le salut d’ALLAH soit sur lui dit :
La fin du monde n’arriverait que si la terre des arabes deviendrait vallées et rivières. (Raconté par Muslim)
Il a été prouvé scientifiquement que le golfe d’Arabie était plein de rivières et les traces de leur écoulement d’eau sont visibles jusqu’à nos jours. Les photographies parvenues des satellites exposent clairement des rivières couvertes de sables au golfe d’Arabie. Des grands chercheurs à la NASA affirment que les photos qui ont été prises par le radar sur le Sahara montrent que cette zone a été dans le passé des rivières et des îles, et cet environnement ressemblait à celui de l’Europe et qu’il viendrait le jour ou le golfe d’Arabie Reviendrait comme avant.
Des chercheurs à la NASA affirment que le Sahara du Rub’al khali et de l’Arabie étaient un jour couvertes de rivières, de forets, d’îles et il y’avait une faune importante. Ils affirment que cet environnement reviendrait dans le futur (ce qu’a été démontré dans le saint hadith du prophète).
Quatrième vérité
Quand notre prophète a parlé du pont qu’on devrait traverser au jugement dernier, il a parlé d’un miracle scientifique avec beaucoup de précision. Le prophète que le salut d’ALLAH soit sur lui a dit : Ne voyez-vous pas l’éclair comment il va et revient en un clin d’œil ? (Raconté par Muslim).
La similitude est très claire entre la parole du prophète et ce qui a été découvert par les scientifiques dernièrement. Le prophète a parlé du clin d’oeil de l’éclair et les scientifiques de leur côté parlent de mouvement complexe et précis de l’éclair. L’éclair consiste en la sortie d’un rayon de nuage qui se dirige vers la terre et revient en un laps de temps équivalent à un clin d’œil. C’est exactement ce qui a été annoncé par le prophète.
Les scientifiques ont découvert que l’éclair est constitué de plusieurs étapes dont les plus importantes sont le passage et le retour et que le temps écoulé de l’éclair est de 25 millisecondes. Exactement le temps du clin d’œil (n’est-ce pas ce qui a été apporté par notre prophète que le salut d’ALLAH soit sur lui il y a plus de 14 siècles passés ?!).
Cinquième vérité
Récemment Les scientifiques ont découvert la partie du lobe frontal (en haut et à l’avant du cerveau) c’est dans cette partie que sont prises les décisions, c’est pour cela plus cette partie est efficace et en bonne fonctionnalité plus les décisions sont précises et sages.
Notre prophète que le salut d’ALLAH soit sur lui priait en invoquant ALLAH ainsi : Ma destinée est en entre tes mains (Raconté par Ahmed). Dans ce hadith, le prophète mets tout entre les main de son Dieu et lui dit c’est toi qui me commande et me dirige. Aussi, il a été découvert que cette partie du cerveau joue un rôle important dans la compréhension, l’orientation, la résolution des problèmes et la créativité c’est pour cela que le prophète l’a mise entre les mains de son créateur.
Après des études approfondies sur la fonctionnalité du cerveau, les scientifiques constatent que la partie la plus importante c’est bien le lobe frontal celui- ci est responsable de tous nos actes telles que l’orientation et la créativité pour ces raisons le prophète donne de l’importance à cette partie du cerveau durant sa prière et dans ses invocations. Ceci est un miracle qui prouve la bonne parole du messager de Dieu qui savait cette particularité alors qu’à son époque personne ne savait le moindre détail .c’est ALLAH qui le lui a enseigné en lui adressant ce verset : Sourate les Femmes Anl-Nisa’ 113 Et n'eût été la grâce de Dieu sur toi (Muhammad) et Sa miséricorde, une partie d'entre eux t'aurait bien volontiers égaré. Mais ils n'égarent qu'eux-mêmes, et ne peuvent en rien te nuire. Dieu a fait descendre sur toi le Livre et la Sagesse, et t'a enseigné ce que tu ne savais pas. Et la grâce de Dieu sur toi est immense.
Sixième vérité
Le prophète que le salut d’ALLAH soit sur lui a dit : L’un des signes indiquant l’approche de la fin du monde, c’est la mort subite. (Raconté par Tabarani)
Dans ce hadith, existe un miracle scientifique qui correspond à des vérités médicinales incontestables. Ce miracle témoigne que le prophète Mohamed est bien le messager de Dieu. ALLAH l’oriente et le dirige en toute parole qu’il prononce
D’après les dernières statiques faites par les Nations Unies, on constate une progression importante dans le nombre de morts subites malgré toutes les procédures de préventions.
Des spécialistes en cardiologie affirment que la mort subite s’est propagée ces dernières années. Malgré le développement de la science dans ce domaine le nombre de gens qui meurent subitement est en nette progression. La question qu’on se pose : n’est-ce pas cela, la prédiction de notre prophète ?
Septième vérité
Une grande majorité de scientifiques affirment que la vieillesse est le meilleur moyen pour une fin naturelle. Et tout essai pour prolonger l’âge devrait avoir des résultats néfastes sur la santé comme le cancer. Le professeur LEE SILVER de l’Université Américaine PRINCETON a déclaré que toute tentative pour atteindre l’éternité va à l’encontre de la nature. Les scientifiques ont conclu que dépenser un argent fou pour éviter la vieillesse n’aboutirait à aucun résultat positif. Cette affirmation a été prédite par notre prophète que la salut d’ALLAH soit sur lui : « Guérissez-vous 3ibad allah parce qu’ALLAH ne met pas de mal que s’il met son remède sauf un seul mal : celui de la vieillesse » (Raconté par Ahmed).
Ainsi, la science apporte de nouvelles découvertes qu’elle ignorait auparavant qui, prouvent la bonne parole du prophète et la vérité sur le message de l’Islam.
Et à la fin de nos invocations : Louange à Dieu, Seigneur de l'univers
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Par: Abduldaem Al-Kaheel
www.kaheel7.com/fr
Références:
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D’après des chercheurs de l’Université de Zurich, le lien entre l’activité cérébrale et la générosité serait établi. Leur étude a été menée sur un groupe de personnes, qui devait partager de l’argent avec des inconnus. Pendant cet échange, les chercheurs suisses mesuraient alors l’activité cérébrale et le volume de matière grise.
D’après cette étude, chez une personne peu généreuse, la région du cerveau située derrière l’oreille (lobes pariétal et temporal), était très active dès le partage de petites sommes d’argent. Quant à la personne plus généreuse, cette région du cerveau ne s’est mise en action qu’après le partage de sommes plus importantes. Plus étonnant, la générosité serait en lien avec le fait qu’une personne ai plus ou moins de matière grise.
L’étude a en effet révélée que les personnes avares avaient moins de matière grise que les autres, plus généreuses. La matière grise se trouve à la périphérie du cerveau et forme le cortex cérébral, où sont traitées les informations. La substance grise de notre cerveau contient nos fameux neurones, d’où l’expression « faire fonctionner sa matière grise. »
Que les radins se rassurent ! Les chercheurs concluent cependant l’étude en disant qu’ « il ne faut en aucun cas conclure qu’un caractère altruiste n’a qu’une origine biologique. »
Se montrer généreux n’est pas seulement d’actualité que pendant le mois de Ramadan. Allah, exalté soit-Il, dit: « Donne donc au proche parent son dû, ainsi qu’au pauvre, et au voyageur en détresse. Cela est meilleur pour ceux qui recherchent la face d’Allah (Sa satisfaction) » Sourate 30, verset 38, et un peu plus loin dans la sourate, à propos de ceux qui se montrent généreux: « Ceux-là verront leurs récompenses multipliées » Sourate 30, verset 39.
De nombreux versets et ahadith témoignent de l’importance de la générosité en Islam. Ali ibn Abi Talib, qu’Allah l’agrée, disait: « N’aie pas honte de donner peu, ne rien donner est encore pire. »
http://muzulmans.fr/articles/decrypter-lactualite/le-radin-a-t-il-moins-de-matiere-grise
“Ecoutez Noblesse! En dehors de moi, je ne connais aucun autre dieu pour vous ! Et toi Hâman, allume pour moi (le feu) sur
l’argile,et érige pour moi un haut palais ; je pourrai peut être accéder au Dieu de Moïse…“ Al-Kassas S28-V38
Commençons d’abord par présenter une traduction adaptée d’un article que le Dr Abdulaziz A.Bin Muammar nous a gracieusement communiqué sur notre site.
La réalité des pyramides, un nouveau miracle Coranique :
Les pyramides que nous connaissons aujourd’hui sont classées parmi les sept merveilles du monde !
Mais est-ce que les savants ont résolu l’énigme de leur construction? Il y en a qui croient qu’elles avaient été construites par des djinns ? Peut on y croire?
Ces mythes étaient pourtant répandus et ont duré plusieurs siècles. Mais la nouvelle découverte faite par des savants Français et Américains,va lever cette énigme à jamais et changer complètement le point de vue des savants modernes,
Jusque là, les Egyptologues modernes croyaient que les Pharaons avaient taillé des pierres et les avaient empilées pour bâtir ces énormes édifices. Mais des questions pertinentes restaient sans réponse:
1- Pourquoi toutes ces pierres sont-elles identiques et si bien assemble que l’on ne peut même pas glisser un cheveu entre deux pierres voisines ?
2- D’où provenaient les matériaux qui ont servi à leur confection ?
3- Quels sont les outils utilisés pour les tailler avec une telle finesse ?
Aucune de ces questions n’avait trouvé une réponse satisfaisante ; et ceci nous permet d’affirmer que les savants qui soutenaient que ces blocs avaient été taillés dans le rocher étaient dans l’erreur.
Nouvelles réalité scientifique
Le professeur Joseph DAVIDOVITS Directeur de l’institut Géo polymère France, propose une nouvelle théorie qui soutient que les blocs composant les pyramides auraient été fabriqués à partir de l’argile,
Celle-ci, additionnée à d’autres matériaux aurait été extraite dans la vallée du Nil, Le mélange aurait été placé dans des moules en pierre, et aurait été chauffé à une température élevée, Cette cuisson aurait causé une interaction entre les composts du mélange. Les blocs ainsi fabriqués ressemblent à des pierres volcaniques datant de quelques millions d’années.
Pr DAVIDOVITS fournit des arguments prouvant que ces agglomérés sont essentiellement composés de chaux, ,d’argile et d’eau, La technique Nano utilisée pour l’analyse des composantes, a révélé la présence de quantités d’eau qu’on ne trouve jamais dans les pierres naturelles .
D’autre part, la cohésion interne de ces pierres prouve qu’elles ne sont pas naturelles et qu’elles ne peuvent pas avoir été extraites du sol et taillées de la sorte. Il semble donc plus réaliste d’admettre qu’elles auraient été faites d’argile moulée, ce qui leur a donné une forme régulière et des dimensions identiques.
Les examens au microscope électronique ont révélé la présence de cristaux de quartz comme conséquence de la cuisson de l’argile ; on a détecté également la présence du bioxyde de silicone. Ceci démontre encore une fois que les pierres des pyramides ne sont pas naturelles .
Elles seraient plutôt le résultat d’une réaction chimique entre l’argile, la chaux et l’eau à haute température.
Le Professeur DAVIDOVITS, a publié en 2OO2 un ouvrage titré : « Ils ont bâti les pyramides ». Ce livre a levé de multiples énigmes et répondu à de multiples questions concernant la construction des pyramides. Il a convaincu de nombreux savants à travers le monde.
Certains chercheurs confirment qu’on utilisait jadis des fours de cuisson pour la fabrication des céramiques des statuts et des outils. L’argile était mélangée à des oxydes métalliques et malaxée à l’eau, puis cuite à haute température. Elle durcissait comme de la pierre. Plusieurs civilisations avaient utilisé l’argile cuite pour fabriquer les pierres de construction, les statuts et les ustensiles.
D’autres recherches et des résultats identiques
D’autres examens aux rayons X ont révélé la présence de bulles d’air dans les échantillons, ces bulles pouvaient provenir de l’air lors de la coulée de l’argile ou de l’évaporation de l’eau contenue dans le mortier au moment de la cuisson, De telles bulles n’existent pas dans les pierres naturelles courantes. Ceci est un argument supplémentaire pour dire que les pierres qui avaient servi à la construction des pyramides étaient artificielles ; elles avaient été fabriquées avec de l’argile calcique, et elles ne pouvaient avoir plus de 4700 années d’existence.
Le professeur Italien Mario Collepardi ,qui a étudié la géométrie des pyramides , affirme que les ouvriers des Pharaons ramenaient de la terre calcique, disponible en grande quantité dans la région , et la mélangeaient avec une terre banale ; ils malaxaient le tout avec l’eau du Nil. Ensuite, ils versaient le mortier dans un moule qu’ils chauffaient à environ 900 °C, Cette cuisson transformait l’argile en une pierre très dure et lui donnant l’aspect d’une pierre naturelle.
Cette opération ne demandait pas trop d’effort, puisque les ouvriers ne portaient ni ne soulevaient aucun rocher lourd comme on le croyait au cours des dernières décennies, Tout ce qu’il faisaient c’était de confectionner des moules, de transporter les matériaux et l’eau dans de petits récipients, de malaxer le mortier et de remplir les moules montés sur chantier. Ce qui les attardait le plus, c’était la cuisson. Ils devaient attendre la bonne prise du l’aggloméré. Grâce à ce procédé, ils s’assuraient qu’il n’y avait pas de vide entre les blocs, Ils assuraient également à l’édifice une résistance à l’érosion pendant des millénaires.
La réalité scientifique correspond à la réalité Coranique:
Cette technique de construction des pyramides à partir de l’argile de la vallée du Nil, est restée inconnue jusqu’en 1979, lorsque le Professeur Joseph Davidovits a annoncé cette nouvelle thèse. Et ce n’est qu’en 2006 que d’autres savants ont confirmé la validité de cette théorie a l’aide d’analyses en laboratoire, Il est évident qu’elle était donc inconnue à l’époque de la révélation du Coran. Ce dernier l’avait dévoilé ce secret il y a 14 siècles.
Ceci prouve qu’il est parole d’Allah !
Que dit le Coran ?
Dans la suite de son article, le Dr Abdulaziz A.Bin Muammar donne son interprétation des Versets coraniques en relation avec cette grande découverte archéologique.
Pour cette partie, nous préférons comme de coutume, donner celle de notre site avec nos propres commentaires.
Commentaires du site
Dans le Verset 137 du Chapitre Al-Araf 7 le Coran qualifie les constructions de Pharaon de « Arich » c'est-à-dire d’édifices hauts, avec des toits de verdure ou de vigne grimpante. Certains interprètes comme le Dr Abdulaziz A.Bin Muammar sont allés jusqu’à déceler dans cette expression, une technique de construction en montée spirale, comme la vigne ?! Ils parlent même de rails en bois, grimpant en hélicoïde autour de l’édifice.
En ce qui nous concerne, nous pensons que le terme « Arich » ou « Yârouchoun », fait plus allusion tel que spécifié dans le dictionnaire arabe à des constructions en bois pour supporter la verdure, la vigne ou toute plante ombrageuse. Le Coran y fait souvent allusion et nous ne prendrons comme exemple que le Verset 68 de la Sourate 16 et le 24 de la Sourate Addoukhan 44.
Il est d’ailleurs très probable, selon les Egyptologue que la construction des pyramides et autres hauts édifices égyptiens se soit servi de rampes en bois ou d’autre moyens, sur les quels nous reviendrons bientôt.
Mais nous restons intimement convaincus que le Verset 137 de la Sourate 7 n’a aucune relation avec les rampes de construction des pyramides, à supposer qu’elles aient effectivement existé. Nous ne voyons d’ailleurs même pas pourquoi elles auraient fait l’objet d’attention particulière du Coran, comme symbole de la civilisation démolie par ordre divin ? C’est un moyen de construction qui disparaît à la fin du chantier. Les toits de vigne, les jardins luxuriants les allées ombrages des palais,et les grandes constructions étaient par contre, les symboles de la civilisation des Pharaons.
Nous profitons de cette occasion pour lancer encore une fois, un appel aux savants musulmans, et leur demander d’éviter des interprétations hâtives et non certifiées.
Toutefois, il nous parait intéressant de s’arrêter un petit instant sur le Verset précité mais sur la partie concernant la destruction des vestiges pharaoniens :
Que dit au juste ce Verset 137 de la Sourate 7 ?
« … Et nous avons démoli tout ce que faisait Pharaon et son peuple et tout ce qu’ils érigeaient comme édifices verdoyants ».
Ainsi, de toutes les civilisations anciennes, celle qui a bâti le plus et qui été la plus effacée de la mémoire de l’histoire, c’est bien la civilisation de l’Egypte des Pharaons. Il ne reste que ce que Dieu a bien voulu conserver pour exemple et leçon aux tyrans de ce monde.
L’Egypte des Pharaons a perdu jusqu’à son écriture ; et il a fallu l’ère de la science moderne pour déchiffrer l’hiéroglyphe et déterrer ce que la démolition divine a enfoui sous les sables. Le Coran d’il y a 14 siècles et la science moderne remettent en mémoire les vestiges que nous découvrons. Un véritable miracle du Coran et de la science, n’est-ce pas ?
En ce qui concerne les matériaux de construction et la cuisson de l’argile, la théorie du Pr Joseph Davidovits explique parfaitement les Versets suivants :
Ghafir S40-V36 : « Pharaon dit: Hâman! Construis- moi un haut palais afin que j’accède aux voies céleste; je pourrai peut être découvrir le Dieu de Moïse… »
Al-Kassas S28-V38: « Ecoutez noblesse! En dehors de moi, je ne connais aucun autre dieu pour vous ! Et toi Hâman, allume pour moi (le feu) sur l’argile,et érige pour moi un haut palais ; je pourrai peut être accéder au Dieu de Moïse… »
Dans le premier Verset, Pharaon donne l’ordre à son chef des chantiers de construction, de bâtir pour lui un haut palais. La bâtisse devait être si haute que Pharaon pourrait atteindre les voies célestes et accéder au Dieu de Moïse.
Le Coran suggère donc que Pharaon construisait des palais et des édifices très hauts.
C’est dans le second Verset que le Coran nous donne des précisions sur la technique de construction :
a- Le matériau de base était de l’argile
b- Cette argile étai cuite
c- Le feu était allumé directement sur l’argile ou sur le moule
d- L’argile cuite servait à la construction des édifices, tels que les pyramides.
Le mode de transport n’était donc pas indiqué. L’argile pouvait être transportée en hauteur ou sur le plat, et ce n’est qu’une fois mélangée aux autres adjuvants et à l’eau, qu’elle était versée dans des moules. Une fois l’argile bien malaxée, le feu était allumé pour sa cuisson.
Quand au transport en hauteur, il pouvait très bien se faire dans des récipients à bras d’homme, par des bêtes de somme, par des chars sur des rails ou par un système de récipients tirés par corde, comme l’on fait encore de nos jours sur les chantiers de construction traditionnels.
Les preuves scientifiques énumérées ci-dessus pour le coulage dans des moules et la cuisson pouvaient aussi bien se faire en hauteur.
Le plus important est que la découverte du Pr Davidovits et de ses collègues, rejoint parfaitement le Coran autant pour le matériau de construction que pour sa polymérisation.
Pour illustrer ce que nous disons, et après autorisation du Pr. Joseph Davidovits, nous publions ci-dessous le courrier échangé à ce sujet.
Nous conseillons vivement au lecteur de visiter le site du Pr Joseph Davidovits ; il y trouvera des compléments d’information très utiles.
http://www.davidovits.info/8/le-scientifique-et-les-textes-sacres
Nous donnons ci-dessous, uniquement à titre documentaire, une maquette représentant l’hypothétique échafaudage hélicoïdal qui aurait servi à la construction des pyramides et au transport des matériaux.
Par Dr Abdulaziz A.Bin Muammar
Traduit par : Açya Thamina
Revu et adapté par : Mohammed Messe
Référence :
La réalité des pyramides, un nouveau miracle Coranique par Dr Abdulaziz A.Bin Muammar
http://www.davidovits.info/8/le-scientifique-et-les-textes-sacres par le Professeur Joseph Davi
La question de l’insémination artificielle a provoqué plusieurs interrogations et a donné lieu à des vues jurisprudentielles divergentes qui l’acceptent ou la rejettent selon les cas en question et selon des considérations liées à la contraception. L’importance de la question et ses conséquences morales et sociales nous appellent à éclairer cette problématique pour dissiper la confusion qui l’entoure et ce en nous référant à son Eminence, l’Autorité religieuse, Muhammad Hussein Fadlallah, pour profiter de ses argumentations et de ses preuves à ce sujet.
Son Eminence considère que l’insémination artificielle qui se fait parfois par l’intermédiaire de volontaires inconnus par les époux qui ne possèdent pas de semence, ou au cas où l’on implante dans l’utérus de la femme une semence autre que celle de l’époux, ou au cas où l’on prend la semence de l’époux pour l’implanter dans l’utérus d’une femme autre que son épouse, sont toutes des questions que nous ne pouvons pas traiter à partir de critères matériels !! Son Eminence met l’accent sur le fait que dans l’ordre de la procréation, il y a une chose qui s’appelle les relations légales et les relations illégales, dans la mesure où la loi religieuse réglemente cette question en vue de préserver la filiation. Aucun problème ne se pose donc au cas où l’on utilise le sperme de l’époux pour féconder l’ovule de l’épouse. Certains émettent des réserves quant à la mise à découvert des parties intimes, mais il y a des moyens pour parer à cette difficulté. Néanmoins, l’insémination artificielle reste loisible en principe à condition qu’elle soit faite entre l’époux et son épouse en prenant l’ovule de celle-ci pour la féconder en-dehors du corps avant de la réimplanter à l’intérieur du corps de l’épouse. Il n’y a aucun problème légal à cela et l’enfant qui naît grâce à cette opération est légal à cent pour cent.
Au cas où le sperme provient d’un homme autre que l’époux, cela est alors illégal, mais il n’équivaut pas à l’adultère et l’enfant n’est pas considéré comme étant celui de l’époux. Il n’est pas non plus un enfant adultérin car l’enfant adultérin est d’un statut différent. Il est l’enfant de l’homme duquel est venu le sperme et non pas de l’époux de la femme.
Pourtant une question se pose : Supposons qu’on prend le sperme de l’époux et qu’on l’utilise pour féconder l’ovule d’une femme autre que l’épouse avant de la réimplanter dans l’utérus de l’épouse. Un tel procédé n’est pas illicite .
Certains pourraient avoir recours à la prévention en introduisant le contrat de mariage dans cette situation, c’est-à-dire au cas où l’époux conclue un acte de mariage avec cette femme qui n’est pas son épouse, faut-il alors prendre l’ovule de cette femme avant la fin du délai du contrat de mariage, ou bien il serait possible d’utiliser l’ovule fécondée avant le contrat de mariage ? Son Eminence répond que « Le recours à la précaution est nécessaire pour ce qui est de la fécondation de l’ovule d’une femme qui n’est pas l’épouse par le sperme de l’époux. Mais cela est loisible si cet homme conclue un acte de mariage avec cette femme sans qu’aucun problème ne se pose pour ce qui est de la fécondation de l’ovule avant ou après la conclusion de l’acte de mariage. Mais le problème se pose quant à savoir de laquelle des deux femmes, celle qui a donné l’ovule et celle qui a porté l’enfant dans son utérus, le nouveau-né sera l’enfant. Notre professeur, l’Ayatollah al-Khou’i (s), voit que l’enfant sera celui de la femme qui l’avait porté dans son utérus. Il se réfère pour appuyer son avis au verset coranique qui dit : ((Ils n’ont d’autre mère que celle qui les a enfantés)) (Coran LVIII, 2) ».
Il y a un autre avis que nous adoptons, comme l’adoptent d’autres jurisconsultes, en tant que fatwa et par prévention, selon lequel l’enfant est celui de la femme de laquelle provient l’ovule, car l’enfant résulte de l’union du sperme et de l’ovule, et Dieu est le plus savant (4). L’argumentation est fondée sur l’idée de l’existence, « car l’ovule est plus fondamentale dans la formation de l’enfant et les spermes et l’ovule jouent un rôle de complémentarité dans cette situation. Pour cette raison, il est de notre avis que la mère est celle de laquelle provient l’ovule et non pas celle qui porte l’enfant dans son utérus. Cette dernière n’est qu’un simple réceptacle ; elle le nourrit et le fait se développer mais elle ne joue aucun rôle dans son existence. Son rôle consiste seulement dans le fait de le faire se développer. L’enfant peut être le sien seulement comme l’enfant qui est allaité par une femme qui n’est pas sa mère, et cela est certes un objet de discussion par les jurisconsultes.
Si la semence provient d’un homme autre que l’époux, ce dernier n’est en rien concerné par la question de paternité, même si la semence est implantée dans l’utérus de son épouse, car le père est un autre homme. L’accord de l’époux ne change rien au problème car il s’agit ici de l’existence de l’enfant à partir d’un autre, et le contrat de mariage entre l’époux et l’épouse n’implique aucune liaison entre lui et l’embryon qui n’est pas le fruit de leur relation conjugale » .
En ce qui concerne le problème de millions d’époux qui souffrent de stérilité et qui ne trouvent d’autre solution que l’adoption d’un enfant, beaucoup d’institutions médicales ont tenté de trouver une solution en menant des études dans le but d’améliorer la qualité de l’insémination artificielle de l’ovule. Ces institutions partent d’une idée selon laquelle il n’est pas nécessaire que les enfants proviennent des époux de leurs mères. La règle qu’on prône à cet effet est le fait d’imposer la liberté sexuel, comme cela a été dit à la conférence de Pékin, pour les femmes non mariées !! Bien sûr, il ne s’agit pas pour nous de cette règle mais de celle qui fonde la question de la paternité sur l’existence de l’enfant à partir de la semence qui provient de l’époux légal de l’épouse. Ton enfant est ainsi celui que tu es une cause de son existence, et non pas celui dont la cause de l’existence est le fruit d’un lien entre ton épouse, en vertu du contrat de mariage, et un autre homme, sans que l’époux lui-même n’ait aucun rapport avec toute cette entreprise » .
Pour cette raison, la différence entre ce procédé et l’adoption est nulle, car les enfants doivent être à la fois ceux de l’époux et de l’épouse. Si les enfants de l’épouse sont ceux d’un homme autre que l’époux, l’homme n’aura aucune présence, et « cela n’offre aucune solution au problème au sens ‘intérieur’, sauf l’illusion de sa paternité du fait que l’enfant est né à l’intérieur de la vie conjugale. Mais cela ne veut pas dire qu’il est le père de cet enfant ».
Son Eminence pense qu’il existe un autre problème, à savoir « que nous avons tendance à nous plnger dans le côté dramatique sans prendre en considération le mouvement de la réalité. Le drame peut t’inciter à pleurer mais il ne construit pas un ordre ou un système. Le drame, nous devons le vivre et chacun de nous a son drame. A propos de la femme qui porte dans son utérus une ovule provenant d’une autre femme, la jurisprudence générale dit que l’enfant n’est pas le sien, car elle n’a pas participé à son existence, mais seulement à son développement. Il n’est pas non plus son enfant ni son enfant par allaitement. Néanmoins, certains jurisconsultes ont commencé à penser que l’allaitement qui implique obligatoirement le « tahrîm » (c’est-à-dire qui donne à l’enfant le statut de frère par rapport aux filles de la mère par allaitement et qui, de ce fait, lui interdit d’épouser l’une d’elles) doit aller au-delà d’un nombre déterminé d’allaitements. Il est naturel que, pour la femme, le fait de nourrir l’enfant en l’allaitant soit équivalent au fait de lui avoir donné quelque chose de son corps, et de devenir ainsi sa mère ne serait-ce que par la voie de l’allaitement. On peut également dire que l’embryon se nourrit pendant neuf mois à partir de la femme qui le porte, mais il s’agit là d’un avis jurisprudentiel qui est encore en discussion et qui n’a pas encore abouti à un résultat définitif » .
Son Eminence donne un avis contraire à celui pour lequel cette insémination constituerait une solution de juste milieu du fait que l’un des deux époux est le procréateur de l’enfant. Il affirme à ce propos que les questions de paternité de maternité et de filiation doivent être considérées à partir de la réalité existentielle, qui fait que l’enfant soit un prolongement de l’existence, que les questions mentionnées soient en relation directe avec l’existence de l’enfant. Toi, tu es un étranger par rapport à l’enfant. Le simple fait que tu sois lié par un contrat de mariage avec la mère de cet enfant n’implique aucune relation de parenté entre toi et cet enfant. Tu es étranger par rapport à lui dans cette situation. Quelle est la différence entre l’enfant que porte ta femme dans son utérus et dont la semence ne provient pas de toi et celui que porte la femme de ton voisin ? Au bout du compte, il y a un contrat de mariage écrit entre toi et ton épouse, mais ce contrat ne suscite en rien le mouvement de l’existence. Tout ce que ce contrat suscite est un mouvement juridique qui te permet d’avoir un statut donné par rapport à ton épouse et qui permet à ton épouse d’avoir un statut donnée par rapport à toi ».
D’autre part, son Eminence attire l’attention sur le fait de « l’absence, dans la loi religieuse, de quelque chose qu’on puisse appeler ‘prêt d’utérus’ sans être fondée sur une autorisation légale. Pour cette raison, il n’est pas loisible de déposer la semence d’un homme étranger dans l’utérus d’une femme mariée, car il ne lui est pas loisible de contracter avec elle un acte de mariage dans la mesure où elle est déjà mariée avec un autre homme. Mais avec la présence d’un contrat légal et dans le cas où la femme est libre (non mariée et ne se trouvant pas en délai de viduité), il est loisible pour l’homme de déposer son sperme dans son utérus ou d’y déposer une ovule fécondée par son sperme ».
Quant au procédé de l’insémination artificielle ou de la « fécondation in vitro », il est loisible à l’avis de son Eminence, comme nous venons de le dire mais « à condition qu’il y ait fécondation de l’ovule d’une femme par le sperme d’un homme qui sont mariés ensembles, le sperme pouvant être extrait de l’homme au moyen d’un outil médical ou au moyen de la masturbation faite par la main de l’épouse et tout en évitant la vue des parties intimes de l’homme par le médecin traitant. La femme, quant à elle, ne doit pas mettre à découvert ses parties intimes devant le médecin sauf en cas d’extrême nécessité et l’impossibilité pour elle d’être enceinte autrement » .
Pour ce qui concerne certaines questions jurisprudentielles en relation avec la différence entre le patient et le médecin en matière de taqlîd (l’imitation d’une autorité religieuse), et la nécessité d’avoir recours à une opération chirurgicale, comme l’ablation des ovaires, le dépôt du stérilet, ou toute autre question parmi celles qui ne font pas l’accord des jurisconsultes, son Eminence pense que, dans ces cas, « le médecin doit respecter son imitation, car il fait son travail et il en est responsable. Par exemple, si une femme qui imite une Autorité ou une référence religieux qui autorise la femme de voire les parties intimes d’une autre femme, est en consultation chez une femme médecin qui imite un jurisconsulte ayant un avis contraire, cela ne donne pas à la médecin femme l’autorisation de la soigner en dehors des situations obligatoires. Mais cela est loisible pour la femme médecin dans le cas où elle imite une référence religieuse n’ayant pas prononcé un avis jurisprudentiel à ce propos » .
Les contraceptifs :
Pour ce qui concerne les contraceptifs, son Eminence pense que « tous les moyens contraceptifs sont loisibles à condition de respecter les considérations légales, sauf l’avortement et la stérilisation » .
Quant à l’usage du stérilet, il pense qu’il est loisible légalement mais avant et non pas après la fixation du fétus » (14).
Pour ce qui est de l’ablation des trompes chez la femme pour des raisons diverses parmi celles qui constitueraient un danger pour elle, ou parce qu’elle subit une situation difficile sur le plan social ou psychique, son Eminence dit que cette ablation est loisible : « s’il n’y a pas d’autres moyens contraceptifs, la femme pour laquelle la conception constituerait un grand danger. Mais si d’autres moyens existent, comme le fait d’opérer une ligature des trompes, ces moyens sont également loisibles, alors que l’ablation des trompes reste problématique sauf en cas de nécessité, l’idée générale étant la permissivité pour l’être humain de mettre son énergie au point mort et non pas de tuer son énergie. Comme le fait de tuer un être humain n’est pas loisible, il n’est également pas loisible de tuer l’énergie sauf en cas de nécessité » .
D’autre part, Son Eminence dit au sujet de la ligature des trompes : « La ligature induisant la stérilité permanente est loisible si le fait de repousser le dégât consécutif à la conception n’est possible autrement. Mais s’il existe d’autres moyens contraceptifs sûrs et n’induisant pas la stérilité permanente, la ligature n’est alors pas loisible » .
http://francais.bayynat.org.lb/Problematiques/1.htm
La méditation a été définie comme: "autorégulation de l'attention, au service de la self-enquête, dans l'ici et maintenant. »
La méditation peut être pratiquée tout en marchant ou en faisant de simples tâches répétitives. Marche de méditation contribue à briser les habituelles catégories mentales automatiques, « donc retrouver la nature primaire des perceptions et des événements, attirant l'attention sur le processus tout en négligeant son objet ou le résultat final. »
La pratique de la méditation modifie le cerveau
On savait déjà que, correctement et régulièrement pratiquée, la méditation pouvait avoir un impact sur la stabilité émotionnelle et l’anxiété. Mais les bénéfices de cette pratique ne s’arrêteraient pas là.
Une nouvelle recherche publiée dans la revue Social Cognitive and Affective Neuroscience Advance Access en mars et réalisée dans le laboratoire du professeur Mario Beauregard, de l’université de Montréal, fait état de différences notables entre le cerveau d’adeptes de la méditation et celui de débutants.
Pour arriver à ces conclusions étonnantes, les chercheurs ont étudié le cerveau de 13 adeptes de la méditation ayant plus de 1 000 heures d’entraînement et celui de 11 débutants en observant, à l’aide de l’imagerie, la synchronisation entre deux ou plusieurs régions cérébrales dans le temps. Pendant quelques minutes, les participants sont restés dans un scanner où il leur a été demandé de ne rien faire. Cette période d’inactivité a permis aux chercheurs de repérer le réseau cérébral par défaut des sujets : un ensemble de zones du cerveau s’activant au repos. Ils se sont alors aperçus que les effets de la méditation persistaient au-delà du moment de la pratique. Le cerveau des adeptes est en quelque sorte organisé différemment : on y constate une plus faible synchronisation entre la zone du cerveau liée aux processus cognitifs associés au soi et celle qui concerne plutôt l’évaluation émotive du soi.
Rien d’étonnant pour Véronique Taylor, l’auteure principale de ces recherches : « Ces individus sont habitués à être dans le moment présent et leurs pensées ne partent donc pas dans tous les sens lorsqu’ils sont au repos. » A contrario, on observe une forte synchronisation entre certaines zones convergeant vers le lobe pariétal droit, connu pour avoir un rôle déterminant dans l’attention. Autrement dit, savoir lâcher prise permettrait d’avoir ensuite des capacités de concentration accrues.
La méditation dans la religion
Le Christianisme
La Bible mentionne '' méditer '' ou '' méditation '' environ vingt fois, quinze fois dans le livre des Psaumes, les seuls. Lorsque la Bible mentionne la méditation, il mentionne souvent obéissance du souffle prochaine. Un exemple est le livre de Josué: « ne pas laisser ce livre de la Loi s'écarter de votre bouche ; méditer sur ce jour et nuit. »
Traditions chrétiennes ont diverses pratiques méditatives. Citons notamment des traditions monastiques comme la Lectio Divina, méditations du Rosaire et l'Adoration eucharistique dans le catholicisme ou la tradition hésychaste dans l'orthodoxie, ce qui peut impliquer la récitation de la « prière de Jésus ».
Méditation chrétienne est le niveau intermédiaire dans un large caractérisation de trois étapes de la prière : il implique une réflexion plus que la première prière vocale niveau, mais est plus structuré que les couches multiples de la contemplation dans le christianisme. Saints tels que Thomas d'Aquin et Thérèse d'Avila ont insisté sur l'importance de la méditation dans le christianisme.
Méditation chrétienne se distingue et contraste avec les styles cosmiques de méditation orientale. Un document de 1989, généralement appelé '' Aspects de méditation chrétienne '' énoncées à la position du Saint-siège à l'égard des différences entre les styles chrétiennes et de l'est de la méditation.
Le document, publié comme une lettre à tous les évêques catholiques, met l'accent sur les différences entre les approches propice à la méditation chrétiennes et de l'est. Il met en garde contre les dangers d'une tentative de mélanger méditation chrétienne avec des approches orientales depuis qui pourrait être source de confusion et trompeuses et peuvent entraîner la perte de la nature essentielle de christocentrique de méditation chrétienne.
L'Islam
Un musulman est obligé de prier au moins cinq fois par jour : une fois avant le lever du soleil, à midi, dans l'après-midi, après le coucher du soleil et une fois durant la nuit. Au cours de la prière musulman se concentre et médite sur Dieu par la récitation du Coran et de se livrer à dhikr à réaffirmer et à renforcer le lien entre le créateur et la création. Ce guide de l'âme à la vérité. Cette méditation est destinée à aider à maintenir un sentiment de paix spirituelle, face à la quelle défis de travailler, social ou la vie de famille peut-être se présenter.
Les cinq actes quotidiens de prière Pacifique sont à servir de modèle et source d'inspiration pour conduite pendant le reste de la journée, transformer, idéalement, dans une méditation unique et soutenue : sommeil même doit être considéré que comme une autre phase de cette méditation soutenue.
Méditative passivité est dit d'avoir une qualité de guérison, et — dans la terminologie contemporaine — améliorer '' créativité ''. Le prophète Mahomet a passé des périodes prolongées dans la contemplation et à la méditation. C'est pendant une telle période que Muhammad a commencé à recevoir les révélations du Coran.
Insister sur le fait de croire aux données coraniques sans condition, ne veut aucunement dire renoncer à toute réflexion sur le Coran. La foi, au regard de l'islam, n'est pas l'ennemi de la raison. Elle est son complément. Ce sont les deux yeux qui permettent à l'homme de voir, les deux mains qui lui permettent d'agir, ou les deux pieds qui lui permettent de marcher. Avec l'une des deux sans l'autre on est borgne ou handicapé.
C'est le Coran lui même qui nous invite à la réflexion d'une manière générale et à la méditation sur le Coran en particulier:
[Voici] un Livre béni que Nous avons fait descendre vers toi, afin qu'ils méditent sur ses versets et que les doués d'intelligence réfléchissent! (Coran 38 / 29)
« Nulle adoration n’est comparable à la méditation » (Hadith, Bayhaki, Shuab, IV, 157)
La méditation et la conscience spirituelle sont les deux conditions irréfutables pour atteindre la vérité et élever les cœurs au niveau désiré. À chaque opportunité qu’il présente, du premier verset jusqu’au dernier, le Saint Coran, la seule « carte routière » qui oriente vers la guidance et le bonheur, nous invite à méditer sur la sagesse qui se cache derrière la création de l’homme, l’ordre admirable de l’univers, les signes d’Allah ; à discerner la portée de la puissance divine, des manifestations de la divine Majesté et de la souveraineté absolue que le Tout-Puissant manifeste dans tout l’univers.
À chaque opportunité présentée dans le Saint Coran, le Tout-Puissant adresse un mot d’avertissement à l’attention des croyants avec des expressions telles que :
« Ne réfléchissez donc pas ? », Ne méditent-ils jamais ? » ou bien « Ne comprennent-ils pas ? »[2]
D’autres questions se révèlent être corrélatives :
• « N’observent-ils pas le chameau »[3] lorsque le Tout-Puissant veut attirer l’attention sur la création ;
• « N’observent-ils pas les nuages, la pluie, les montagnes et comment la verdure disparait en hiver pour resurgir au printemps ? »[4] qui met l’accent sur les phénomènes écologiques ;
• Ne réfléchissent-ils pas sur le sort malheureux des nations passées[5] mettant en exergue les événements historiques.
Le Tout-Puissant, de ce fait, nous invite à méditer sur les Lois divines effectives et efficaces dans l’univers et à saisir ce que l’on nomme « adatullah », ou les normes d’Allah, qui sont les conditions pour que ces Lois se manifestent.
Les croyants, d’autre part, qui mènent leur vie en conformité avec l’essentiel de la piété et qui sont capables de s’engager dans la méditation et la conscience spirituelle – et ils sont toujours une minorité – transcendent leur moi profond et acquièrent une maturité dans laquelle ils sont en mesure de reconnaître leur condition humaine et de saisir aussi bien leurs points faibles que leurs vertus, en tandem.
Véronique A. Taylor
Sources
http://www.terredepaix.com/meditation-sur-lunivers-lhomme-et-le-coran/
http://www.news-medical.net/health/Meditation-Spirituality-and-Religion-(French).aspx
1. Par islamiates le 02/07/2024
Salam Les sourates sont données à titre d'exemple. Merci pour votre réactivité