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L'Islam et la science

« La science est plus méritoire que la prière », faisait remarquer le Prophète ; « un seul homme de science – ajoutait-il – a plus d’emprise sur le démon, qu’un millier de dévots ». «  Les homme de science sont les héritiers des Prophètes dont le seul patrimoine légué au monde est précisément la science ».

     L’islam selon sa charia incite donc à l’étude et à la recherche dans tous les domaines afin d’accumuler toutes les sciences fondamentales, toutes les techniques et les beaux-arts censées faciliter la vie et la rendre toujours plus commode et toujours plus belles sans toutefois rien corrompre. Méditons à ce propos ces deux versets dont voici le sens : 

-        « Nous avons pourvu la terre d’une beauté, afin de les éprouver (soit les hommes) qui d’entre eux sont les meilleurs en bonnes œuvres » (verset 7 chap.18)  

-        « Dis: "Qui a proscrit l’ornement d'Allah, qu’Il a produit pour Ses sujets, ainsi que le licite en nourritures ?" Dis: "Elles sont destinées à ceux qui ont la foi, dans la vie ici-bas, et exclusivement à eux au Jour de la Résurrection. " Ainsi exposons-Nous clairement les versets pour les gens qui savent. » (Verset 32 chap.7)  

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Communautés et espèces: la science confirme le Coran

{Nulle bête marchant sur terre, nul oiseau volant de ses ailes, qui ne soit comme vous en communauté.} (TSC[1], Al-An’âm ‘Les bestiaux’: 38)

Ce verset figure dans le premier quart de la sourate Al-An’âm (les bestiaux), une sourate révélée à la Mecque qui compte 165 versets après la « basmallah » (formule qui débute toutes les sourates exceptée la 9ème). Comme son nom l’indique, cette sourate fait allusion aux bestiaux, et dans l’un de ses versets est énoncé l’un des principes fondamentaux de la classification des diverses formes de vie.

Indications scientifiques de ce verset:

Le nombre d’espèces vivantes connues à ce jour par les biologistes s’élève à un million et demi d’espèces, vivant dans différents milieux, dans l’eau, sur terre, et dans l’air. A ce nombre s’ajoutent environ 250 000 espèces vivantes primitives découvertes par les spécialistes des fouilles archéologiques. Au rythme annuel des découvertes dans ces deux domaines, les spécialistes estiment que le nombre total d’espèces vivantes sur notre planète pourrait atteindre les quatre millions et demi d’espèces. Or chaque espèce compte des milliards d’individus vivants ou ayant vécu dans les générations successives. La durée de survie moyenne d’une espèce varie entre 500 000 et 5 millions d’années (2 750 000 années en moyenne), et la trace de vie la plus ancienne remonte à 3 milliards 800 millions d’années. Ainsi, quels que soit les progrès scientifiques réalisés et les moyens de dénombrement disponibles, on réalise la difficulté de suivre chacun des milliards d’individus appartenant aux millions d’espèces. C’est ainsi qu’est apparue la nécessité de la classification mentionnée dans la sourate « Les bestiaux » dans le verset :

{Nulle bête marchant sur terre, nul oiseau volant de ses ailes, qui ne soit comme vous en communauté.Nous n’avons rien omis d’écrire dans le Livre. Puis, c’est vers leur Seigneur qu’ils seront ramenés. } (Al-An’âm ‘Les bestiaux’: 38)

Le verset indique que l’unité fondamentale de la classification est l’espèce, qui se divise en communautés comprenant un certain nombre d’éléments de cette espèce vivant dans une région donnée sur terre (une communauté donnée). Les hommes se divisent en différentes races, chaque race représentant une communauté. Et toutes ces communautés ont une origine unique, un père unique Adam (la paix soit sur lui) qu’Allah (qu’Il soit exalté) a décrit en ces termes dans le Coran :

{Ô hommes! Craignez votre Seigneur qui vous a créés d’un seul être, et a créé de celui-ci son épouse, et qui de ces deux là a fait répandre (sur la terre) beaucoup d’hommes et de femmes. Craignez Allah au nom duquel vous vous implorez les uns les autres, et craignez de rompre les liens du sang. Certes Allah vous observe parfaitement.} (An-Nissâ’ ‘les femmes’ :1)

{C’est Lui qui vous a créés d’un seul être dont il a tiré son épouse, pour qu’il trouve de la tranquillité auprès d’elle;} (Al-A’râf : 189)

{Il vous a créés d’une personne unique et a tiré d’elle son épouse. Et Il a fait descendre [créé] pour vous huit couples de bestiaux.} (Az-Zoumar ‘Les groupes’ :6)

Et le dernier des prophètes et des envoyés (BP sur lui) décrit cette origine unique de l’humanité en ces termes : « Vous êtes tous d’Adam, et Adam est de terre.»

Le verset que nous étudions indique que de même que les hommes se divisent en différentes races qui représentent chacune une communauté, toutes ces communautés ayant une origine commune et unique, toutes les espèces vivantes se divisent également en groupes ou communautés (populations) ayant une origine unique. Ceci vient confirmer la multiplicité des communautés à l’intérieur d’une même espèce, ainsi que le fait que chaque espèce est indépendante de l’autre, même s’il y a une certaine ressemblance dans les structures, ressemblance qui nous rappelle l’unicité du Créateur (qu’Il soit exalté). Toute la création, de l’atome au système solaire, aux galaxies, et depuis la cellule vivante jusqu’au corps humain, tout cela est bâti selon une même et unique ordonnance, un système unique où la parité a une place évidente. Toute la création témoigne que le Créateur (que Ses Noms soient sanctifiés) en est l’auteur, le Dieu, le Seigneur, et qu’Il est l’Unicité absolue au dessus de Sa création.

La notion d’espèce dans le Saint Coran et dans la classification du vivant

Pour tenter de cerner ces quantités innombrables de créatures, les biologistes les ont classées en deux grandes familles, les végétaux et les animaux. Cette classification repose sur le fait que les végétaux principaux sont fixés au sol par des racines, et Allah (qu’Il soit exalté) leur a donné la capacité de produire eux-mêmes leur nourriture. Quant aux animaux, Allah leur a donné la faculté de se mouvoir par eux-mêmes et de ramasser, d’ingurgiter, de digérer et d’assimiler la nourriture obtenue d’autrui. Ce classement en deux grandes familles domina jusqu’au début du vingtième siècle, en dépit de la découverte, au moyen du microscope fabriqué au dix-septième siècle, de nombreuses créatures vivantes difficiles à classer dans l’une ou l’autre des familles des végétaux ou des animaux. Parmi ces créatures, se trouvaient de nombreux micro-organismes unicellulaires dont certains s’apparentent aux végétaux, d’autres aux animaux, d’autres aux deux. Ces organismes unicellulaires furent placés dans une famille à part sous le nom de protistes. Avec la découverte des bactéries, il apparut que celles-ci ne sont pas dotées de la structure cellulaire caractéristique des trois grands règnes, les protistes, les végétaux et les animaux. Leur cellule n’est pas pourvue d’un noyau différencié caractéristique des trois grandes familles, et les bactéries s’apparentent en cela aux créatures primitives connues sous le nom d’algues bleu-vert (cyanobactéries) qui sont des créatures unicellulaires, dépourvues de noyaux différenciés. Leur matériel génétique se disperse dans le liquide de la cellule de façon totalement indifférenciée.

De même avec la découverte des virus, il est apparu qu’ils se distinguent aussi des autres créatures. En effet, les virus vivent en parasite sur d’autres créatures, et se reproduisent en introduisant leur matériel génétique simple dans la cellule végétale, animale ou protiste. Le matériel génétique de ces créatures primitives n’est pas bien différencié.

Ainsi les êtres vivants furent classés en quatre règnes : Les monères, les protistes, les végétaux, les animaux. Puis les études montrèrent que les champignons diffèrent des protozoaires car ils absorbent leur nourriture à travers les parois cellulaires comme les végétaux. Cependant les champignons ne produisent pas par eux-mêmes leur nourriture comme le font les plantes, et ne l’ingurgitent pas non plus comme les animaux. Il a donc fallu les séparer et les classer dans un règne à part. Le nombre de règnes qui nous sont connus s’élève donc à cinq :

Le règne des monères comprenant les virus, les bactéries et les algues bleu-vert, généralement unicellulaires au noyau non isolé.

Le règne des protistes qui comprend les protozoaires et autres algues, organismes unicellulaires pourvus d’un noyau figuré.

Le règne des champignons qui comprend tous les types de champignons, mousses et lichens. Ils sont unicellulaires ou pluricellulaires, et leurs cellules sont pourvues d’un véritable noyau. Les champignons diffèrent des végétaux car ils sont dépourvus de chlorophylle. C’est pourquoi ils dépendent pour leur nourriture d’autres êtres vivants ou de matière organique en décomposition. Le champignon parasite vit au dépend d’autres créatures vivantes.

Le règne des végétaux qui comprend des créatures pluricellulaires. Les cellules des végétaux possèdent un véritable noyau, sont spécialisées en tissus et organes, et comportent des pigments végétaux qui leur permettent de métaboliser le carbone pour préparer leur nourriture. Les cellules ont des parois rigides, et en général les végétaux sont fixés dans la terre.

Le règne animal comprend des créatures vivantes pluricellulaires, chaque cellule ayant un noyau défini, et pas de paroi rigide. Les animaux sont capables de se déplacer, de se nourrir de végétaux ou d’animaux.

Cette classification basée sur l’observation expérimentale, même si elle est imparfaite, est un moyen de répertorier, qui est utile aux chercheurs dans leur travail de recensement des innombrables créatures vivantes. C’est pourquoi un expert célèbre de nos jours dans ce domaine en parle ainsi :

« Bien que le système basé sur le fait qu’il y a cinq règnes soit le système préféré dans ce livre, il n’est que le fruit de la raison humaine comme les autres systèmes de classement, c’est donc pour cette raison qu’il est une tentative de mettre des limites arbitraires à la nature. Et comme la nature se caractérise par une grande diversité, faire des classements précis et cohérents s’avère difficile et même impossible. » (Richard A. Goldzbi, « Biology », Tome 1, 1980, p. 394)

La classification actuelle des êtres vivants

Dans un effort de simplification, qui mena en réalité à plus de complexité, chacun des cinq règnes du vivant fut divisé en plusieurs embranchements qui furent eux-mêmes divisés en classes. Les classes furent divisées en ordres qui furent divisés en familles, puis en genres, puis en espèces, puis en variétés, puis en lignées (souches) qui comprennent plusieurs individus.

Et pour plus de complexité encore, chacune de ces unités fut divisée en trois, en permettant l’ajout des préfixes « super » ou « sous », comme super règne, règne, et sous règne, et ainsi de suite pour toutes les unités de la classification proposée.

Tout ceci s’avéra n’être qu’une tentative désespérée de la part des partisans de l’évolution d’effacer la réalité de la création, en niant l’existence du Créateur (qu’Il soit exalté) et en attribuant tout chose à la nature. Mais les découvertes scientifiques qui suivirent, et en premier lieu la génétique, ont commencé à nous confirmer que la véritable unité de classement du vivant est l’espèce que le Créateur (qu’il soit exalté) a divisée en milliards d’individus qu’Il a répartis sur terre et rassemblés en un certain nombre de communautés ou populations. Chacune d’entre elle vit dans une région du monde, dans un environnement particulier, et descend d’une origine unique que le Créateur a créé de par Sa Science, Sa sagesse, et Son pouvoir. Et l’espèce reste la seule unité de classement certaine dans toutes les classifications modernes des créatures vivantes. Et toutes les autres unités de classement sont de pures conjectures auxquelles se mêlent de nombreuses considérations personnelles. Car la personne qui établit une classification, choisit des caractéristiques et en ignore d’autres pour faciliter l’inventaire de ce nombre colossal de créatures.

Ainsi, chaque espèce d’êtres vivants comprend un ensemble de communautés ou de populations qui ont en commun une même morphologie, une même anatomie, les mêmes fonctions des organes, une constitution chimique et biologique identique, des caractéristiques génétiques fondamentales identiques, des conditions d’environnement voisines même si de grandes distances terrestres les séparent, la faculté de s’accoupler entre eux et de produire une descendance fertile fruit de cet accouplement. Ces caractéristiques sont communes aux individus de chacune des communautés, de même que tous les membres d’une communauté font partie d’une même et seule espèce, même s’il apparaît parmi ces communautés quelques disparités dues aux différences d’environnement, ou a l’isolement génétique, du fait que tous ces individus sont issus d’un code génétique unique.

Ainsi il ne peut jamais y avoir d’accouplement entre les individus de deux espèces vivantes différentes produisant une descendance fertile. Et chaque individu ne peut jamais engendrer en dehors de l’espèce dont il fait partie. Et les membres d’une espèce se distinguent très peu les uns des autres à l’intérieur d’une des communautés (populations) de cette espèce. Et ces distinctions proviennent des variations de la part que chaque individu a reçue de l’héritage génétique qu’a placé notre Seigneur (qu’Il soit béni et exalté) dans l’origine de cette espèce. Et il arrive que les différences entre individus de deux communautés augmentent légèrement en raison de l’isolement génétique et des conditions environnementales et climatiques :

Et cette remarque à elle seule suffit à nier l’idée de classement vertical des populations du vivant, idée basée sur l’hypothèse de liens de parenté entre les individus d’un règne (d’une espèce ou d’une lignée jusqu’au règne) et entre tous les règnes, et ceci dans le but de faire triompher l’idée d’évolution organique. Mais la science a mis en pièces cette idée et a réglé cette question grâce à l’apport d’éléments nouveaux. Le principal élément est la lecture du code génétique de l’homme et de nombreuses autres créatures vivantes. Cette lecture débuta par une tentative de classification au milieu du dix-huitième siècle, lorsque le médecin et naturaliste suédois Carl von Linné publia son livre intitulé : « Systema Naturae » en 1758, cent ans avant la publication de « L’origine des espèces » de Charles Darwin. Linné clamait dans son livre la nécessité de classifier les êtres vivants et de les nommer selon un système qu’il avait établi et qu’il a appelé nomenclature binominale

Ce système repose sur l’hypothèse que toutes les espèces du vivant ont une origine unique. Or dans le verset coranique que nous examinons Allah (qu’il soit exalté dit) : {Nulle bête marchant sur terre, nul oiseau volant de ses ailes, qui ne soit comme vous en communauté.} Ce verset indique que chaque espèce vivante, avec ses communautés et ses individus,est une entité propre, isolée des autres individus, communautés ou espèces. Il indique également que tous les liens de parenté concernant cette espèce se limitent à ses seuls membres, et ne s’étendent pas aux autres espèces. Et c’est une réalité qui apparaît dans les conclusions auxquelles aboutissent les sciences nouvelles telles que la génétique, la biologie moléculaire, la biochimie et autres qui abordent clairement cette réalité.

Et le Coran a mentionné cette vérité avant tout autre, il y a 1 400 ans, ce qui confirme que ce Livre ne peut pas être l’œuvre d’un homme, mais les paroles du Créateur qui l’a révélé selon Sa science au dernier de Ses prophètes et envoyés (que la prière, la paix et la bénédiction d’Allah soient sur eux tous). Comme Il s’y est engagé, Il en a préservé chaque mot et chaque lettre dans la langue où il fut révélé, la langue arabe, sur une période s’étendant sur plus de quatorze siècles et jusqu'à ce qu’Allah hérite de la terre et de ce qui s’y trouve.

Qu’Allah soit loué pour cette grâce qu’est le Coran, qu’Il soit loué pour cette grâce qu’est l’islam. {Louange à Allah qui nous a guidés à ceci. Nous n’aurions pas été guidés, si Allah ne nous avait pas guidés} (Al-A’râf : 43)

Prière et paix sur le Prophète, sceau des messagers, qui reçut le noble Coran de la part de son Seigneur, puis nous le transmit en toute intégrité, dans sa pureté divine, sa lumière, et sa vérité, ce Coran qui est tout entier vérité. Prière et paix sur la famille, les compagnons bénis et les épouses bonnes et pures du Prophète, ainsi que sur tous ceux qui le prennent comme guide et implorent comme il l’a fait, jusqu’au jour de la Rétribution.

[1] TSC : Traduction des Sens du Coran. Cette traduction est celle du sens courant le plus connu jusqu'à présent de la sourate sus mentionnée. Lire la TSC ne remplace nullement sa lecture en arabe, la langue de révélation du saint Coran.

http://www.elnaggarzr.com/Test_fre/france/20.htm

La thérapie par la lumière de l’aube

La thérapie par la lumière de l'aube  dans En médecine

QU’EST CE QU’UN SIMULATEUR DE L’AUBE ?

Les grands équilibres de notre organisme sont régulés par une horloge biologique interne.
C’est le cas de l’alternance sommeil / éveil, qui est généralement calquée sur l’alternance de la lumière et de l’obscurité, c’est-à-dire du jour et de la nuit.

La mélatonine joue ici un rôle essentiel. Cette ‘’hormone du sommeil’’ est une molécule fabriquée au centre du cerveau, par l’épiphyse, sensible à la lumière qui est transmise au cerveau par la rétine de notre oeil.

Cette molécule régule nos rythmes quotidiens de veille et de sommeil. Sa sécrétion débute sous l’action de l’obscurité, entraînant un effet d’endormissement. Au milieu de la nuit, elle atteint son taux de production maximal. La lumière diminue la sécrétion de mélatonine.

La désynchronisation de notre horloge biologique

Du fait de cette désynchronisation, notre besoin de sommeil n’est plus rythmé par l’alternance du jour et de la nuit. De nombreux facteurs sont susceptibles d’entraîner une désynchronisation de notre horloge biologique interne :

- Le rythme de la vie moderne génère beaucoup de déséquilibres. Nous avons tendance à vivre notre jour la nuit et vice versa.

- A la suite de certains événements, tels que : opération chirurgicale, maladie, prise de médicaments, l’individu peut ne plus retrouver un sommeil régulier, ou son niveau d’énergie et de rendement habituels. Il en résultera des troubles du sommeil (décalage des phases du sommeil)

- Ce phénomène de désynchronisation du rythme journalier est constaté également dans certains cas d’insomnies, pour des patients n’arrivant pas à s’endormir la nuit. Il peut être également causé par des facteurs stressants.

- Chez les personnes âgées, il arrive fréquemment que leur rythme journalier soit ‘’en avance ’’, les amenant se coucher très tôt. Il s’ensuit des réveils prolongés la nuit et, à terme, des états chroniques de fatigue.

- Enfin, les troubles du rythme journalier apparaissent à l’occasion de vols lointains, (décalage horaire). L’horloge biologique se dérègle lorsque la lumière naturelle et l’obscurité nous apparaissent aux mauvaises heures. Il se crée un décalage entre notre rythme interne habituel et le rythme extérieur du jour et de la nuit.
Mais l’une des sources importantes de désynchronisation de notre horloge biologique demeure l’insuffisance de lumière naturelle.

- Symptômes

· Augmentation des heures de sommeil (hypersomnie),
· Fatigue, humeur dépressive, tristesse,
· Prise de poids, envie de s’isoler,
· Perte d’intérêt pour les activités habituelles, difficultés à se concentrer,
· Pour les enfants, difficultés à se concentrer, résultats scolaires en baisse,

- La luminotherapie : La lumière comme antidépresseur
La recherche médicale a mis au point une thérapie basée sur l’utilisation de la lumière claire ou bleue pour lutter contre la déprime hivernale, les blues de l’hiver, le décalage horaire et certains troubles du sommeil.
Cette thérapie est courante dans les ‘’pays froids’’ et à faible degré d’ensoleillement. Elle s’étend aux lieux de travail et bureaux, avec des lampes spéciales. Ce traitement est généralement pratiqué sur une période de trois semaines.
La thérapie consiste à orienter une source lumineuse spéciale vers le visage du patient, le matin pendant une demi-heure environ. Le spectre de la lumière utilisée est le plus proche possible de la lumière du jour. Par ce biais, la transmission de lumière vive, (de plus de 2000 lux) va bloquer la sécrétion de mélatonine.
Cette thérapie peut être appliquée à d’autres moments de la journée, par exemple le soir pour retarder l’heure habituelle de l’endormissement.
Ce traitement produit des effets positifs au bout de quelques jours et atteint son plein effet au bout de trois semaines. Dans 80% des cas, cette thérapie simple se révèle très efficace.

Le simulateur de l’aube

La simulation artificielle de l’aube est une application de la luminothérapie, et donc un autre moyen de remédier, sans médicaments, aux troubles évoqués.

Simulateur d’aube Lumie 200Cet appareil recrée les conditions naturelles du réveil, en éclairant de façon graduelle la chambre à coucher, par imitation du lever de soleil. L’horloge biologique entre généralement en régulation avec l’aube. Le simulateur recrée donc artificiellement ce « signal de l’aube ».

A l’heure H moins 15, 30 ou 45 minutes selon l’option choisie, le simulateur commence à éclairer la chambre d’une très faible lumière orangée, imitant le lever du soleil.

Cette lumière est suffisante pour transmettre au cerveau l’information que le jour est en train de se lever et organiser la transition hors du sommeil. La production de mélatonine décroit dans les minutes qui suivent.

Quand la lumière augmente encore un peu, l’activité spécifique du cerveau qui caractérise le sommeil entame elle aussi sa transition vers le mode du sommeil léger, puis du réveil complet. Le réveil se fait naturellement, et en douceur.

Pour le soir, le simulateur de l’aube produit l’effet inverse. Il simule le crépuscule, la lumière diminuant progressivement, pour atteindre finalement l’obscurité totale.
Le simulateur de l’aube assure donc une bonne synchronisation de l’horloge biologique, une transition synchronisée d’un état vers l’autre, entre le sommeil et l’éveil.

Son effet sur la dépression saisonnière a été prouvé.

Simulateur de l’aube – Lumie 150D’anciennes études faisaient état de son efficacité dans le traitement de la dépression saisonnière, l’augmentation de l’énergie, l’amélioration de l’humeur.
Deux études scientifiques récentes et plus larges, citées par le réseau médical Proteus, démontrent que la simulation de l’aube serait même plus efficace que la luminothérapie classique, dans le traitement de la dépression saisonnière.

« Lors de l’étude menée par Avery en 2001 aux États-Unis, les 95 participants ont été répartis en trois groupes. 31 patients se sont réveillés avec un simulateur d’aube (luminosité croissante jusqu’à 250 lux), 33 patients ont reçu une luminothérapie classique d’une durée de 30 minutes (luminosité de 10 000 lux) et 31 patients ont été exposés à un placebo (une faible lumière rouge de 0,5 lux) durant six semaines. Le groupe soumis à la simulation d’aube a obtenu la plus grande réduction des symptômes de dépression, et les plus forts indices de rémission » (cité par le réseau Proteus).

- L’ouvrage du Dr. David Servan Schreiber

Le traitement par simulation de l’aube a été porté en France à la connaissance du grand public par l’ouvrage du Dr. Servan Schreiber ‘’Guérir’’. Le simulateur de l’aube est l’une des sept méthodes préconisées pour guérir le stress, l’anxiété et la déprime sans médicaments. Le cas de son patient, Fred, est désormais classique.

GUERIR« Fred était enthousiaste à l’idée d’essayer un simulateur d’aube. Il commanda le petit appareil sur Internet….En moins d’une semaine, il constatait déjà une différence dans sa manière de se réveiller… En moins de deux semaines, il estimait qu’il avait davantage d’énergie pendant la journée et qu’il était capable de penser plus clairement. C’était comme si le brouillard dans sa tête avait commencé à se dissiper. Son humeur s’améliorait aussi progressivement ».

 

Allah exalté soit il dit : Par l’Aube! 30.1
Allah jure dans ce verset par l’aube signalant ainsi l’importance de cette heure .Et vous devez tous savoir qu’Allah ne jure que par des créatures parfaites et majestueuses. L’aube représente le moment d’une prière vertueuse et noble: » Accomplis la Salat au déclin du soleil jusqu’à l’obscurité de la nuit, et [fais] aussi la Lecture à l’aube, car la Lecture à l’aube a des témoins. » 17.78.

Se réveiller à l’aube est parfaitement concordant avec les données de la science moderne , aussi bien sur le plan biologique et organique que sur le plan spirituel.

http://coranmiracles.unblog.fr/2009/05/page/10/

Les levants et les couchants dans le Coran

coran-1.jpg

Lorsqu’on lit attentivement certains versets coraniques on remarque que notre Seigneur évoque les expressions Coucher ou Occident et Lever ou Orient, une fois au singulier comme dans le verset 115 de la sourate 2 - la Génisse- : « A Dieu appartiennent Le Lever et Le Coucher » et une fois à la forme duelle dans le verset 17 sourate 55 - Le Tout Miséricordieux : « le Seigneur des deux Levants et le Seigneur des deux Couchants. » Il a également utilisé le pluriel dans le verset 40 sourate 70 – les Ascensions - « Je ne jurerai pas– ou j’en jure- par le Maître des Levants et des Couchants… »
En lisant les exégètes, on constate qu’ils sont quasiment unanimes sur le sens des termes « Machrik : lever ou levant » c'est-à-dire « le côté duquel se lèvent le soleil, la lune ou une étoile», par rapport à la terre, et « Maghreb : coucher ou couchant » c’est-à-dire le point de l’horizon où ils se couchent.
Selon ces exégètes, la diversité des formes du singulier n’aurait d’autre interprétation que celle de l’Est Géographique où se lève le soleil et celle de l’ouest où il se couche. En d’autres termes, le soleil n’a qu’un seul Orient et un seul Occident. Employé sous la forme duelle, il désignerait le levant (Est) et le couchant (Ouest) du soleil en été et en hiver. Nous savons que la Terre tourne autour du Soleil ; elle fait une révolution complète en un an (365 jours et 6 heures). Et chaque jour, le soleil s’incline et s’écarte un peu plus vers l’Orient pour atteindre 23 degrés d’élongation par rapport à son orbite en hiver. Il se lève avec un décalage plus ou moins grand par rapport à cette direction, puis s’incline petit à petit vers l’Est. La déclinaison en direction de l’Est varie de +23° à -23°. Cela joue sur la position de son lever par rapport à l’horizon. Ce sont ces deux points (+23°, -23°) qui expliqueraient la forme duelle. Quant au sens pluriel des termes « Orient » et « Occident », il s’explique par le fait que ce même soleil se lève et se couche en des points différents selon l’endroit du globe où on se trouve. D’autre part, de l’équinoxe d’hiver à celui de l’été, il apparait chaque jour à un point de l’horizon différent, et à un moment différent du jour ( ou de la nuit)
Ces démonstrations seraient plus explicites si l’on resitue ce corpus dans son contexte d’apparition dans le Livre Saint c’est-à-dire avec les versets qui les précédent, on comprendra alors que l’emploi des deux termes (Lever, coucher) au singulier n’est pas fortuit. Il atteste de l’unicité du Créateur du monde. Quant aux versets dans la sourate (‘Ar Rahmane’ ) le Miséricordieux, où les deux termes sont employés à la forme duelle, ils se rapportent au soleil et à la lune. Quant à la forme plurielle, elle aurait pour objet de restituer l’accord grammatical avec les impies et blasphémateurs évoqués au pluriel. Il est indéniable que cette concordance est un exemple vivant de l’éloquence du texte coranique. Mais ce qui nous intéresse le plus à ce propos c’est la concordance de toutes ces expressions avec l’astronomie contemporaine.
Selon l’agence spatiale NASA, il existe des astres qui gravitent en dehors du système solaire. Ils tournent autour d’étoiles semblables à deux soleils ; ce qui leur confère alors deux levers et deux couchers. Cette découverte a permis à la NASA d’identifier grâce à la nouvelle technique, appelée astrométrie, une immense planète gazeuse dont le volume approcherait celui de Jupiter ; elle est à une distance de 49 années lumière. Elle l’a baptisée Kepler B16
La NASA a pu également découvrir un immense astre gazeux. C’est une planète extrasolaire autour de laquelle se lèvent et se couchent trois soleils, ce qui lui confère trois orients et trois occidents. Cette planète a été nommée HD188753Ab. Les 3 soleils sont : Alpha Centauri A, Alpha Centauri B et Proxima Centauri ou Alpha Centauri C.
Les prises de vues de ce phénomène donnent des images spectaculaires. Voir notamment :
http://www.nasa.gov/vision/universe/newworlds/threesun-071305a.html - http://www.nasa.gov/vision/universe/newworlds/threesun-071305a.html - http://www.daviddarling.info/encyclopedia/etemain.html
Donc, lorsque Dieu, le Tout Puissant, évoque le lever et le coucher, il fait allusion à deux points existant sur notre planète. Quant à l’emploi de ces termes à la forme duelle et plurielle, cela renvoie à leurs observations autour des autres astres.
Cette explication scientifique est conforme aux versets coraniques. Et si les esprits sceptiques et incrédules trouvaient par le passé des arguties pour contester les versets du saint coran, aujourd’hui les démonstrations scientifiques s’accordent avec la parole divine du coran qui n’est que VERITE. La gloire et la grandeur reviennent à Dieu.
Références :
- Abu Elfida Ismaïl Ibnu Kathir « Exégèse du Saint et Coran » Maison d’édition « Tiba » ed. 1420, 1999-2, vol 7, p492./
- Abu Abdallah Mohamed ibn ahmed El- Kortobi: “Recueil de percepts coraniques” Maison d’édition 3alem El kiteb- Riad (Le monde des livres) Ed. : 1423-2003, vol. : 15, p : 69
- www.nasa.gov
- http://www.55a.net/firas/arabic/?pag...s
- www.kaheel7.com/ar
- www.islamona1.jeeran.com
- www.daviddarling.info/encyclopedia/etemain.html
Commentaires du site:
1- Dans son exégèse de la Sourate Arrahman Verset 17, l’Imam Chikh Bayoud souligne à juste titre, que l’emploi du binaire « le Seigneur des deux levants et le Seigneur des deux couchants », est dû au fait que dans les Versets précédents, Allah évoque le soleil et la lune. Il parait donc tout à fait logique, qu’Il se qualifie de « Seigneur de leur lever et de leur coucher ».
Soulignons qu’en matière de direction géographique, le Coran n’à point mentionné le nord ni le sud. On est en droit de se demander pourquoi ?
Plusieurs hypothèses peuvent être avancées :
a- En considérant le lever et le coucher du soleil, de la lune et des étoiles, le nord et le sud ne revêtent aucune importance pour la vie sur terre.
b- La science moderne a prouvé que le nord et le sud du globe terrestre changent au cours des siècles et peuvent même s’inverser.
c- Qu’en disant les deux levants et les deux couchants, le Coran peut très bien avoir inclus le nord avec le couchant ou l’Orient, et le sud avec le couchant ou l’Occident.
2- De nombreux traducteurs traduisent « Al-machrik » par l’Orient et le « Maghrib » par Occident. Ceci est parfaitement exact selon le dictionnaire Larousse. Mais, dans le contexte coranique et surtout astronomique, il s’agit d’un point ou d’un lieu de l’horizon et non pas d’une direction géographique. Et, afin d’éviter toute confusion avec le sens géographique, j’ai préféré les traduire par « levant et couchant ». Ceci m’amène au point suivant :
3- Cette merveille scientifique du Coran vieille de 15 siècles, revêt toute sa beauté quand on rapproche ce phénomène de relativité astronomique des levants et des couchants des astres, avec notre article « Je jure par la position des étoiles » que je vous invite à lire.
4- Vu sous cet angle, il est donc évident que tous les astres de notre univers, possèdent pour chaque jour, ou au bout de chaque révolution, un point d’apparition et un point de disparition. Allah est donc réellement le Seigneur d’une infinité de levants et de couchants, pour une infinité d’astres.
5- Dans la Sourate Assafat, verset 5, Allah dit : « C’est Lui le Seigneur des cieux, de la terre, de ce qu’il y a entre les deux et des levants».
C’est l’unique verset du Coran dans lequel, l’expression « levants » n’est pas couplée avec « couchants ». Il ne s’agit certainement pas d’une omission ou d’une rédaction fortuite. L’explication ne semble pas évidente. Mais ce dont on peut être certain, c’est qu’à la lumière de la science moderne, l’expression : « ce qu’il y a entre les deux » retrouve une signification matérielle. Dans le temps, les exégètes pensaient qu’entre le ciel, Royaume divin et la terre, c’est le vide ; les étoiles faisant partie du ciel. Maintenant nous savons qu’il existe des milliards de galaxies, avec des milliards de milliards d’étoiles, vivantes ou mortes depuis une éternité, mais leur lumière nous parvient encore. Il existe également des radiations cosmiques des liens de force électromagnétiques, et bien d’autres phénomènes que nous n’avons pas encore découverts.
Quant à la singularité des levants sans les couchants, plusieurs interprétations peuvent être données :
a- Qui dit lever dit automatiquement coucher, tout astre qui se lève est appelé à se coucher. Tout nage dans un espace ; ce serait donc une abréviation, comme on en trouve souvent dans le Coran
b- Que le Coran accorde une importance particulière au levant, symbole du début de la vie, du réveil des vivants et de la résurrection. D’ailleurs les hommes d’une manière générale et les scientifiques accordent également plus d’importance au lever du jour, du soleil, de la lune ou d’une étoile, qu’à son coucher ; les horloges physiologiques et le décompte du temps commencent en général, avec le début du jour et non sa fin.
Le Coran cite d’ailleurs Abraham, père des Messages et Prophètes, argumentant devant un roi mécréant. Il prouva la suprématie d’Allah par le « Lever du soleil» (S2-V258):
Devant le Roi tyran Nemroud, il dit :
• Allah donne la vie et la mort Nemroud répondit :
• Moi aussi je donne la vie et la mort Abraham répliqua :
• Allah fait apparaître le soleil à l’Est, fais le venir de l’Ouest.
Le mécréant resta ébahi !

c- Il existe des points du globe notamment aux pôles, ainsi que des astres, où le lever et le coucher se confondent.
6- Dans la Sourate Achouâra, le Coran rapporte une argumentation entre Moïse et Pharaon en ces termes :
En s’adressant à son entourage, Pharaon dit :
- Le Messager qui vous a été envoyé est surement fou !
Moïse reprend :
- C’est le Dieu du Levant et du Couchant et de tout ce qui se trouve entre les deux, si vous savez réfléchir. (S26-V27/28)
C’est sur cette précision de haute signification scientifique qu’il convient de s’arrêter. Si en un point donné du globe, comme la ville de Ramsès II où se tenait ce dialogue par exemple, on considère le Levant et le Couchant, c'est-à-dire l’orient et l’occident, on définit une infinité de cercles (méridiens, parallèles ou autres) passant par ces points. Et si on considère tous les cercles qui passent par ces deux points et tout ce qui se trouve entre les deux, c’est à dire entre l’Est et l’Ouest dans un sens, puis entre l’Ouest et l’Est dans l’autre sens, on aura fait les tour de la terre et balayé toute sa surface, ainsi que celle du ciel entre les deux. D’autre part, s’agissant des deux horizons, on aura non seulement établi une vérité inconnue des Egyptiens du temps de Moïse et inconnue des hommes du temps de Mohammed ; il s’agit évidemment de la sphéricité de la terre et des cieux. Mieux que cela, en s’exprimant ainsi, Moïse a désigné toute l’étendue du royaume d’Allah au sein de notre univers!
N’est-ce pas une merveille scientifique du Livre Saint qui a été édité il y a 15 siècles ?.

Par : Professeur Samira Bouaïcha
Traduit de l’Arabe par : ABIMHAMED Mohamed
Modéré, enrichi et commenté par : Mohamed Messen

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Le Coran: révélations sur les nuages

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«N'as tu pas vu qu'Allah pousse les nuages? Ensuite Il les réunit et Il en fait un amas, et tu vois la pluie sortir de son sein. Et Il fait descendre du ciel, de la grêle [provenant] des nuages [comparables] à des montagnes. Il en frappe qui Il veut et l'écarte de qui Il veut. Peu s'en faut que l'éclat de son éclair ne ravisse la vue» [24:43].

Les études scientifiques menées sur les différents types de nuages ont conclut que ces derniers se forment en suivant des mécanismes et des étapes bien définies et en relation avec différents types de vents.

Parmi les nuages pluvieux on trouve: le “Cumulonimbus” qui s’accompagne généralement d’orages et d’éclairs. Les météorologistes ont étudié comment ce genre de nuages se forme et génère la pluie, la grêle et les éclairs qui les accompagnent. Leurs études ont montré que la formation du “Cumulonimbus” passe par les étapes suivantes :

1- Le “Cumulonimbus” commence a se former quand les vents poussent de petits groupements de nuages appelés: “Cumulus” vers une même région de convergence.

2- Ces petits groupuscules se regroupent ensemble pour former un nuage plus grand.

3- Les courants d’air ascendants à l’intérieur de ce grand nuage augmentent et sont plus fort en son centre. Ils provoquent ainsi une croissance en hauteur du corps du nuage vers des régions de plus en plus élevées de l’atmosphère ou des gouttelettes d’eau et des grains de grêle commencent à se former et à grandir. Les courants d’air ne pouvant plus les supporter parce que devenus trop lourd, ils finissent par retomber sous forme de pluie ou de grêle.

Il est mentionné dans le Coran [24-La Sourate La Lumière: verset 43]: «N'as tu pas vu qu'Allah pousse les nuages? Ensuite Il les réunit et Il en fait un amas, et tu vois la pluie sortir de son sein…».

Ce n’est que récemment que les météorologistes ont découvert ces détails concernant la formation de certains nuages ainsi que leurs structures et ce à l’aide d’équipements et de technologies sophistiquées (avions, satellites, ordinateurs, ballons, instruments de mesure des vitesses des vents et leurs directions, baromètres, etc.).

Le verset précédent, après avoir mentionné les nuages et la pluie, parle de grêle et d’éclairs: “...Et Il fait descendre du ciel, de la grêle [provenant] des nuages [comparables] à des montagnes. Il en frappe qui Il veut et l'écarte de qui Il veut. Peu s'en faut que l'éclat de son éclair ne ravisse la vue”.

Les météorologistes ont aussi découvert que le “Cumulonimbus” peut atteindre des hauteurs allant de 25000 a 30000 pieds (7 a 9 km) semblables à des hauteurs de montagnes comme les a décrit ce verset: «...Et Il fait descendre du ciel, de la grêle [provenant] des nuages [comparables] à des montagnes».

Ce verset suscite aussi quelques interrogations quand il associe ces nuages a grêle avec l’apparition d’éclairs. Cela veut-il dire que la grêle joue un rôle important dans la production d’éclairs? Voyons ce qui est dit a ce sujet dans “Météorologie aujourd’hui”.

Il est dit que les nuages commencent à se charger d’électricité quand les grains de grêle dans leur chute entrent en collision avec des gouttelettes d’eau extrêmement froides ou de cristaux de glace. A chaque collision les gouttelettes gèlent et libèrent une quantité de chaleur qui va permettre aux grains de grêle de garder une température plus élevée que celle des cristaux qui les entourent. Lors de ces collisions, un phénomène important se produit: un courant d’électrons allant des particules froides vers les particules plus chaudes prend naissance. Les particules de grêle se trouvent ainsi chargées négativement alors que les débris de glace ou de cristaux se trouvent charges positivement. Les particules chargées positivement étant petites et légères se laissent entraîner vers haut du nuage par les courants d’air ascendants alors que les grains de grêle plus lourds et charges négativement s’accumulent vers le bas du nuage. La partie inférieure du “Cumulonimbus” se trouve ainsi chargée négativement. Ces charges négatives se déchargent alors vers le sol sous forme d’éclairs.

Il apparaît alors évident que la grêle joue un rôle capital dans le processus ’apparition d’éclairs.

Ces informations sur l’apparition des éclairs ne furent découvertes que très récemment. Jusqu’à l’an 1600 les idées d’Aristote en météorologie étaient prédominantes. Elles préconisaient que l’atmosphère contenait 2 types de souffle: humide et sec et que l’orage était le son généré par la collision du souffle humide avec les nuages avoisinants et que les éclairs étaient le fruit de l’inflammation et de la brûlure du souffle sec par un feu fin et léger. Ceci est un exemple des idées sur la météorologie qui existaient au moment de la révélation du Coran il y a de cela 14 siècles.

http://quran.al-shia.org/fr/mojezeh/14.htm

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Les feuille de l'olivier: remède contre le diabète

Olivier (feuille)


En Islam, « l’olivier est l’arbre central, l’axe du monde, symbole de l’homme universel, du Prophète. L’arbre béni est associé à la lumière, l’huile d’olive alimentant les lampes » lit-on dans le dictionnaire des symboles de J.Chevalier et A.Gheerbant. Dans le Coran, l’olivier est l’arbre des bienheureux et le symbole de l’éternelle félicité des élus. Les Musulmans disent aussi de l’olivier que « l’un des noms de Dieu ou quelque autre mot sacré est écrit dans chacune de ses feuilles ».

L’olive et son huile ont été mentionnées sept fois dans différents endroits du Coran parmi lesquels ce serment par l'olive et par la figue au début de la sourate de “At-Tîne” (La Figue):Par le figuier et l'olivier. (Coran, 95 : 1)

C'est en ces termes que le Coran souligne l'importance de l'huile extraite de l'olivier :Dieu est la lumière des cieux et de la terre. Sa lumière est semblable à une niche où se trouve une lampe. La lampe est dans un [récipient de] cristal et celui-ci ressemble à un astre de grand éclat ; son combustible vient d'un arbre béni : un olivier ni oriental ni occidental dont l'huile semble éclairer sans même que le feu la touche. Lumière sur lumière. Dieu guide vers Sa lumière qui Il veut. Dieu propose aux hommes des paraboles et Dieu est omniscient. (Coran, 24 : 35)

Historique de la feuille d’olivier

On cultive l’olivier depuis au moins 3 500 ans avant notre ère, pour ses fruits et pour l’huile qu’on en tire. Le nom scientifique de l’arbre, Olea, vient d’un mot qui signifiait « huile » chez les Grecs de l’Antiquité. À cette époque, on employait les feuilles pour désinfecter les blessures cutanées. Les Anciens leur attribuaient des vertus antiseptiques et la propriété de combattre toutes sortes d’infections. Au XIXe siècle, on s’en servait pour combattre le paludisme (malaria).

Ces usages sont tombés en désuétude pendant un certain temps en raison de l'omniprésence des antibiotiques. Cependant, depuis quelques années, des extraits de feuille d’olivier sont apparus sur le marché. Certains fabricants en vantent les vertus pour le système immunitaire et contre les infections virales, bactériennes, fongiques et à levure. Aucune étude sur des humains n’est venue appuyer ces allégations pour l’instant.

En Europe, les herboristes recommandent la feuille d’olivier pour améliorer la circulation sanguine, ainsi que pour prévenir et traiter l’hypertension et l’artériosclérose. La feuille d’olivier est souvent combinée à d’autres plantes aux propriétés complémentaires.

Recherches sur la feuille d’olivier

Hypertension artérielle légère. Les effets antihypertenseurs de la feuille d’olivier sont bien documentés chez les animaux1,2. Après un essai préliminaire chez l’humain, publié en 19963, 2 études cliniques récentes ont donné des résultats prometteurs pour faire baisser légèrement la tension artérielle4,5. Cependant, la qualité méthodologique des essais et le niveau de preuve restent insuffisants pour conclure à l’efficacité de l’extrait de feuille d’olivier. En effet, dans les 2 cas, il s’agit d’études comparatives (comparaison entre 2 doses4 et avec un médicament, le Catopril®5) et non pas à double insu avec placebo.

Fait intéressant, dans ces 2 études, le taux de cholestérol des participants ayant reçu 1 000 mg d’extrait a légèrement baissé4,5. Le même extrait a été employé dans ces 2 cas, soit un produit suisse appelé Benolea®, contenant 20 % d’oleuropéine un des composés actifs de la feuille d’olivier.

Divers. Des fabricants de suppléments allèguent que des extraits de feuille d’olivier auraient un effet contre les infections virales, bactériennes, fongiques et à levure. Ces allégations ne reposent toutefois que sur quelques essais in vitro. Ils ont été menés principalement sur l’un de ses constituants, l’oleuropéine1,6-10.

Les chercheurs s’intéressent aussi aux propriétés hypoglycémiantes et antioxydantes de l’extrait de feuille d’olivier et de l’oleuropéine2,6,11, mais on ne dispose pour le moment que d’essais in vitro ou sur des animaux. La seule étude menée sur des humains indique que, par rapport à un placebo, la prise d’un extrait de feuille d’olivier durant 28 jours n’a pas eu d’effet sur la concentration en antioxydants dans l’organisme de jeunes adultes en bonne santé12.

Précautions

Contre-indications

Aucune connue.

Effets indésirables

Troubles gastriques occasionnels13.

Interactions

Avec des plantes ou des suppléments

Le léger effet hypotenseur de la feuille d’olivier pourrait s’ajouter à celui d’autres plantes ou suppléments (huiles de poisson, co-enzyme Q10, ail, par exemple).Le léger effet hypoglycémiant de la feuille d’olivier pourrait s’ajouter à celui d’autres plantes (psyllium, gymnéma, ginseng et momordique, par exemple).

Avec des médicaments

Théoriquement, la feuille d’olivier pourrait augmenter l’effet des médicaments hypotenseurs et hypoglycémiants.

Soigner le diabète par l’olivier et les graines de Nigelle

Le diabète (sucré) est la maladie (ou plutôt le syndrome) endocrinien le plus répandu.
On estime les diabétiques à plus de 100 millions dans le monde et ce chiffre, ainsi que le pourcentage de la population touchée, sont en progression constante (aux alentours de 6% dans les pays « riches »).

Il faut différencier les deux types classiques de diabète :le diabete insulino-dépendant ( type 1, ou diabète maigre ou diabète du jeune) qui représente 20 à 25% des diabétiques, se révélant généralement assez tôt et qui relève principalement d’un traitement par l’insuline avec surveillance stricte de l’alimentation (de l’apport de glucide),les diabètes non insulino-dépendants ( type2 , diabete gras ou de la personne âgée) qui se révèlent plus tardivement et sont équilibrés le plus souvent par un régime (amaigrissant) hypocalorique-hypoglucidique avec ou sans traitement médicamenteux associé (principalement des sulfamides hypoglycémiants, des biguanides , l’insuline).

C’est ce dernier type de diabète qui semble en progression constante et qui peut être soigné par la phytothérapie.

Les feuilles d’olivier sont traditionnellement considérées comme hypoglycémiantes ;
elles contiennent par ailleurs un sécoiridoïde, l’oleuropéoside, aux propriétés hypotensives et antioxydantes (qui permet donc de lutter contre la sclérose des vaisseaux sanguins et l’inflammation de leurs parois)

L’infusion de feuille est moins efficace quel’extrait hydroalcoolique (teinture mère : 60 gouttes par jour)la macération glycérinée de bourgeons en 1D (50 à 100 gouttes par jour)ou la poudre de feuilles cryobroyées(0,5 à 1g par jour)

Quelques recettes

Ingrédients:

50 g de Feuilles d’Olivier

20 grs de graines de Nigelle

Préparation:

Faites bouillir les 20 grs de graines de Nigelle avec 50 grs de feuilles d’olivier.

Laisser refroidir.

Filtrer l’eau dans une bouteille d’eau, qu’on va mettre dans le Réfrigérateur.

Utilisation:

Boire un grand verre avant chaque repas (3 fois par jour)

Après deux semaines vérifier le taux de sucre, vous allez être surpris du résultat.

Hypertension légère à modérée

  • Infusion. Verser 1 litre d’eau bouillante dans un récipient contenant 50 g de feuilles séchées et coupées. Laisser infuser 20 minutes. Filtrer et boire 1 tasse après les repas.
  • Décoction. Faire bouillir 40 g de feuilles séchées et coupées dans 1 litre d’eau durant 10 minutes. Filtrer et boire 1 tasse après les repas.
  • Extrait. Les données sont insuffisantes pour suggérer un dosage.


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http://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=olivier_feuille_ps

http://www.phytomania.com/diabete_phytotherapie.htm

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